Faverolles-sur-Cher

Faverolles-sur-Cher
Faverolles-sur-Cher
Église Saint Aubin à Faverolles-sur-Cher.
Blason de Faverolles-sur-Cher
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Romorantin-Lanthenay
Intercommunalité Communauté de communes Val-de-Cher-Controis
Maire
Mandat
Olivier Racault
2020-2026
Code postal 41400
Code commune 41080
Démographie
Gentilé Faverollais[1]
Population
municipale
1 401 hab. (2021 en évolution de +3,24 % par rapport à 2015)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 20″ nord, 1° 11′ 11″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 146 m
Superficie 15,51 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Montrichard Val de Cher
(banlieue)
Aire d'attraction Montrichard Val de Cher
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montrichard Val de Cher
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Faverolles-sur-Cher
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Faverolles-sur-Cher
Géolocalisation sur la carte : Loir-et-Cher
Voir sur la carte topographique de Loir-et-Cher
Faverolles-sur-Cher
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Faverolles-sur-Cher
Liens
Site web http://www.faverollessurcher.fr/

Faverolles-sur-Cher est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

Localisée au sud-ouest du département, la commune fait partie de la petite région agricole « les Plateaux bocagers de la Touraine méridionale », regroupant des milieux très hétérogènes, plateau dénudé de Pontlevoy, vallée du Cher bordée de coteaux de vignes et aspects de gatine au-delà. Elle est drainée par le Cher, l'Aiguevives le Senelles et par divers petits cours d'eau.

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est toutefois recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 14 en 1988, à 17 en 2000, puis à 11 en 2010.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux bâtiments portés à l'inventaire des monuments historiques : la chapelle du prieuré de Belvau, inscrite en 2006, et l'abbaye Notre-Dame d'Aiguevive, classée en 1875.

Géographie

Localisation et communes limitrophes

Carte

La commune de Faverolles-sur-Cher se trouve au sud-ouest du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole des Plateaux bocagers de la Touraine méridionale[2],[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 31,5 km de Blois[4], préfecture du département, à 42,6 km de Romorantin-Lanthenay[5], sous-préfecture, et à 2,5 km de Montrichard Val de Cher, chef-lieu du canton de Montrichard dont dépend la commune depuis 2015[6]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montrichard[7].

Les communes les plus proches sont[8] : Saint-Julien-de-Chédon (2,4 km), Montrichard (2,5 km), Chissay-en-Touraine (4 km), Bourré (4,3 km), Saint-Georges-sur-Cher (4,3 km), Angé (4,6 km), Chisseaux (6,7 km, Indre-et-Loire), Céré-la-Ronde (7 km, Indre-et-Loire) et Épeigné-les-Bois (7,1 km, Indre-et-Loire).

Paysages et relief

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[9]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[10]. La commune fait partie de deux unités de paysage : les « coteaux du Cher » et « le Cher urbanisé de Montrichard », dans « la vallée du Cher »[11].

Les coteaux du Cher, plus vastes que la simple marge de la vallée, s'étendent sur une épaisseur de 4 à 8 kilomètres en moyenne pour une longueur totale de 25 kilomètres environ. Ils s'organisent en une succession de collines et de vallées qui prennent leurs sources sur la crête dessinée par la confluence de l'Indre et du Cher[12].

Autour de Montrichard Val de Cher, la vallée du Cher présente un fond relativement plat et régulier, ondulant légèrement en vis-à-vis de la ville. La rivière s'écoule lentement, formant quelques îles comme l'Île Picard ou l'Île de la Salle, toujours verdoyantes. Les berges restent assez difficiles à longer bien que quelques chemins donnent accès au bord de l'eau[13].

L'altitude du territoire communal varie de 57 mètres à 146 mètres[14],[15].

Hydrographie

Carte en couleur présentantle réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Faverolles-sur-Cher.

La commune est drainée par le Cher (2,361 km), l'Aiguevives le Senelles et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13,94 km de longueur totale[16].

Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source dans la commune de Mérinchal (Creuse) et se jette dans la Loire à Cinq-Mars-la-Pile (Indre-et-Loire), après avoir traversé 117 communes[17]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[18].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[20].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Sublaines à 16 km à vol d'oiseau[21], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,3 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[25],[26],[27].

Urbanisme

Typologie

Au , Faverolles-sur-Cher est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montrichard Val de Cher[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[29],[7]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montrichard Val de Cher, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[7]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (89,5 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (23,4 %), cultures permanentes (20 %), zones agricoles hétérogènes (18,2 %), prairies (8,3 %), forêts (18,4 %), zones urbanisées (10 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %), eaux continentales (1,2 %)[16].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Planification

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'un plan d'occupation des sols approuvé, un plan local d'urbanisme était en révision[32]. Par ailleurs, à la suite de la loi ALUR (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de mars 2014, un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes Val-de-Cher-Controis a été prescrit le [33].

Habitat et logement

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Faverolles-sur-Cher en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (8,7 %) par rapport au département (18 %) et à la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,4 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à Faverolles-sur-Cher en 2016.
Faverolles-sur-Cher[34] Loir-et-Cher[35] France entière[36]
Résidences principales (en %) 84,5 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,7 18 9,6
Logements vacants (en %) 6,8 7,5 8,1

Risques majeurs

Le territoire communal de Faverolles-sur-Cher est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement du Cher ou par ruissellement), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques : le risque industriel et le transport de matières dangereuses[37],[38].

Risques naturels

Zones inondables de la commune de Faverolles-sur-Cher.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains[37]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[39]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[40].

Les crues du Cher sont moins importantes que celles de la Loire, mais elles peuvent provoquer des dégâts importants. Les crues historiques sont celles de 1856 (5 m à l'échelle de Noyers-sur-Cher), 1940 (4,03 m) et 1977 (3,58 m). Le débit maximal historique est de 1 560 m3/s et caractérise une crue de retour supérieur à cent ans pour Montrichard Val de Cher[41]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du Cher[42].

Risques technologiques

Storengy, société spécialisée dans le stockage de gaz souterrain à Céré-la-Ronde (Indre-et-Loire), est une entreprise de statut Seveso seuil haut[43]. À ce titre, en cas d'accident, elle représente un risque majeur pour l'environnement qui doit être pris en compte dans les documents d'urbanisme. Un Plan de prévention des risques technologiques a été élaboré et approuvé à cet effet[44].

Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[45].

Toponymie

Le nom de la commune dérive du latin faba (fève), d'où « le champ où l'on cultive des fèves »[réf. souhaitée].

C'est en 1953 que la commune adopta, pour se différencier des 10 communes homonymes[Note 5], le nom unique de Faverolles-sur-Cher, en vertu du décret du de la même année[46].

Histoire

L'histoire de la commune est liée à celle du chef-lieu Montrichard, mais elle a aussi son histoire propre : la construction de l'abbaye d'Aiguevives (XIIe siècle) sur son territoire.

Révolution française et Empire

Nouvelle organisation territoriale

Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[47], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Faverolles-sur-Cher devient formellement « commune de Faverolles-sur-Cher »[47],[48].

En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Montrichard et au district de Saint Aignan[48]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[49],[50]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795), supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[49]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[51]. Faverolles-sur-Cher est alors rattachée au canton de Montrichard et à l'Arrondissement de Blois par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[52],[48],[53]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.

Époque contemporaine

Entre les 29 janvier et 8 février 1939, plus de 3 100 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant Franco, arrivent dans le Loir-et-Cher. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (les haras de Selles-sur-Cher sont notamment utilisés), 47 villages sont mis à contribution[54], dont Faverolles-sur-Cher[55]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[56]. Au printemps et à l'été, les réfugiés sont regroupés à Bois-Brûlé (commune de Boisseau)[57].

Politique et administration

Liste des maires

Découpage territorial

La commune de Faverolles-sur-Cher est membre de la communauté de communes Val-de-Cher-Controis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [58].

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Romorantin-Lanthenay, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[7], en tant que circonscriptions administratives[7]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de Montrichard depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[59] et à la Première circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[60].

Politique et administration municipale

Conseil municipal et maire

Le conseil municipal de Faverolles-sur-Cher, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel plurinominal avec prime majoritaire[61]. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[62].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 mars 2021[63] Bernard Girault[64],[65]   Ancien ouvrier
avril 2021 En cours Olivier Racault[66] DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[67].

Équipements et services

Eau et assainissement

L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[68].

Alimentation en eau potable

Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[69]. En 2019, la commune est membre du syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de Montrichard qui assure le service en régie[70].

Assainissement des eaux usées

En 2019, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Faverolles-sur-Cher est assurée par le syndicat Intercommunal d'Assainissement de l'Agglomération de Montrichard qui a le statut de régie à autonomie financière[71]. Une station de traitement des eaux usées est en service au sur le territoire communal[72] : « La Larderie », un équipement utilisant la technique du filtre biologique, dont la capacité est de 70 EH , mis en service le [73].

Sécurité, justice et secours

La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Montrichard-Val-de-Cher qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[74].

En matière de justice, Faverolles-sur-Cher relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[75], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[76].

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[77]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[78].

En 2021, la commune comptait 1 401 habitants[Note 6], en évolution de +3,24 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
374359455497532562568630643
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
663706741783758808817784785
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
787728666662663675643645835
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7907628071 0081 0561 1201 2181 2371 281
2014 2019 2021 - - - - - -
1 3271 3881 401------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[79] puis Insee à partir de 2006[80].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,4 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 676 hommes pour 711 femmes, soit un taux de 51,26 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,45 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[81]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,7 
9,3 
75-89 ans
10,3 
21,0 
60-74 ans
20,9 
20,1 
45-59 ans
21,1 
17,3 
30-44 ans
17,0 
12,4 
15-29 ans
13,1 
19,2 
0-14 ans
17,0 
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2021 en pourcentage[82]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,2 
75-89 ans
11,9 
19,7 
60-74 ans
20,4 
20,7 
45-59 ans
20 
16,5 
30-44 ans
16,2 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17,6 
0-14 ans
15,7 

Économie

Secteurs d'activité

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Faverolles-sur-Cher selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[83] :

Établissements actifs par secteur d'activité au .
total % com (% dep[84]) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
Ensemble 88 100,0 (100) 64 19 3 1 1
Agriculture, sylviculture et pêche 11 12,5 (11,8) 7 3 1 0 0
Industrie 3 3,4 (6,5) 2 1 0 0 0
Construction 9 10,2 (10,3) 9 0 0 0 0
Commerce, transports, services divers 57 64,8 (57,9) 41 13 2 1 0
dont commerce et réparation automobile 17 19,3 (17,5) 10 5 1 1 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 8 9,1 (13,5) 5 2 0 0 1
Champ : ensemble des activités.

Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (57 entreprises sur 88) néanmoins le secteur agricole reste important puisqu'en proportions (12,5) %, il est plus important qu'au niveau départemental (11,8 %). Sur les 88 entreprises implantées à Faverolles-sur-Cher en 2016, 64 ne font appel à aucun salarié, 19 comptent 1 à 9 salariés, 3 emploient entre 10 et 19 personnes.1 emploie entre 20 et 49 personnes.

Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[85]

Agriculture

En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[86]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[87]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 34 en 1988 à 17 en 2000 puis à 11 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 23 ha en 1988 à 45 ha en 2010[86]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Faverolles-sur-Cher, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l'agriculture à Faverolles-sur-Cher (41) entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[86]
Nombre d'exploitations (u) 34 17 11
Travail (UTA) 54 36 41
Surface agricole utilisée (ha) 772 486 495
Cultures[88]
Terres labourables (ha) 474 341 398
Céréales (ha) 317 194 225
dont blé tendre (ha) 104 180 184
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 53 s s
Tournesol (ha) 48 s
Colza et navette (ha) 34 80 91
Élevage[86]
Cheptel (UGBTA[Note 7]) 231 159 286

.

Produits labellisés

La commune de Faverolles-sur-Cher est située dans l'aire de l'appellation d'origine protégée (AOP)[Note 8] de cinq produits[89] : deux fromages (le Sainte-maure-de-touraine[90] et le Selles-sur-cher[91]) et trois vins (le crémant-de-loire[92], le rosé-de-loire[93] et le Touraine[94]).

Le territoire de la commune est également intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : les rillettes de Tours[95], le vin Val-de-loire[96] et les volailles de l’Orléanais[97],[89].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'abbaye royale Notre-Dame d'Aiguevive

Héraldique

Les armoiries de Faverolles-sur-Cher se blasonnent ainsi :

D'azur à la tige de trois gousses de fèves accostée en chef de deux étoiles et soutenue d'un croissant le tout d'or.

Ce sont les armes de la famille Faverolles, seigneurs du lieu au XVe siècle. Adoptées en 1993.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

  1. Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Montrichard Val de Cher comprend une ville-centre et quatre communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Voir Saint-Firmin Ce lien renvoie vers une page d'homonymie.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  8. Nomenclature européenne, appellation d'origine contrôlée (AOC) dans la nomenclature française.

Références

  1. « Loir-et-Cher », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
  3. [PDF]« Carte des petites régions agricoles de Loir-et-Cher », sur la plateforme de l'information territoriale de Loir-et-Cher (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre "Faverolles-sur-Cher" et "Blois" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre "Faverolles-sur-Cher" et "Romorantin-Lanthenay" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre "Faverolles-sur-Cher" et "Montrichard Val de Cher" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  7. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Faverolles-sur-Cher ».
  8. « Communes les plus proches de Faverolles-sur-Cher »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Loir-et-Cher ? », sur le site de l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  10. « Comment s'organise le contenu Internet de l'Atlas ? », sur le site de l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  11. « Unité de paysage : Les coteaux du Cher - intro », sur le site de l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  12. « Unité de paysage : Les coteaux du Cher - description », sur le site du CAUE dédié à l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  13. « Unité de paysage : Le Cher urbanisé de Montrichard - description », sur le site du CAUE dédié à l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  14. Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
  15. Carte de Faverolles-sur-Cher, sur Géoportail, consulté le 15 mars 2020.
  16. a et b « Fiche communale de Faverolles-sur-Cher », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  17. Sandre, « le Cher ».
  18. « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories - Version consolidée », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  19. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  20. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  21. « Orthodromie entre Faverolles-sur-Cher et Sublaines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  22. « Station Météo-France « Sublaines », sur la commune de Sublaines - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  23. « Station Météo-France « Sublaines », sur la commune de Sublaines - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  24. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Faverolles-sur-Cher » (consulté le ).
  26. « Liste des ZNIEFF de la commune de Faverolles-sur-Cher » (consulté le ).
  27. « Liste des espaces protégés sur la commune de Faverolles-sur-Cher » (consulté le ).
  28. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  29. « Unité urbaine 2020 de Montrichard Val de Cher », sur insee.fr (consulté le ).
  30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montrichard Val de Cher », sur insee.fr (consulté le ).
  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Les PLUi (Plans locaux d'urbanisme intercommunaux) de Loir-et-Cher », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Chiffres clés - Logement en 2016 à Faverolles-sur-Cher », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  35. « Chiffres clés - Logement en 2016 dans le Loir-et-Cher », sur insee.fr (consulté le ).
  36. « Chiffres clés - Logement en 2016 dans la France entière », sur insee.fr (consulté le ).
  37. a et b [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de Loir-et-Cher - Liste des risques par commune », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ), p. 74-86.
  38. « Rapport présentant les risques affectant la commune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur l'observatoire national des risques naturels, (consulté le ).
  39. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  40. « Carte de zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Faverolles-sur-Cher »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  41. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de Loir-et-Cher - Liste des risques par commune », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ), p. 18-23.
  42. « PPRI du Cher », sur le site de la préfecture de Loir-et-Cher (consulté le ).
  43. « Fiche descriptive de l'établissement Storengy »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur la base des installations classées de l'Observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  44. « Plan de prévention des risques technologiques en Loir-et-Cher », sur le site de la préfecture de Loir-et-Cher (consulté le ).
  45. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de Loir-et-Cher - Liste des risques par commune », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ), p. 58-66.
  46. « Décret portant changement de nom de la commune de Faverolles », Journal officiel de la République française,‎ , p. 6914 (lire en ligne)
  47. a et b Motte 2003, p. 23-24.
  48. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Faverolles-sur-Cher », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  49. a et b Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.3. : l'œuvre révolutionnaire », sur projetbabel.org, (consulté le ).
  50. « Historique de la décentralisation »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ), p. 6.
  51. Christian Poitou 1997, p. 48.
  52. « Arrêté du 5 vendémiaire an IX portant réduction des justices de paix du département du Loiret - Bulletin des lois de 1801 - page 32 », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  53. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur projetbabel.org, (consulté le ).
  54. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
  55. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
  56. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
  57. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
  58. « CC Val-de-Cher-Controis - fiche descriptive au 1er janvier 2019 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  59. « Décret n° 2014-244 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Loiret », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  60. « Découpage électoral de Loir-et-Cher (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  61. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de plus de 1000 habitants », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  62. « Les fonctions d'un maire », sur vie-publique.fr (consulté le ).
  63. « Bernard Girault est décédé » sur lanouvellerepublique.fr, 23 mars 2021
  64. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  65. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  66. « Olivier Racault prend la suite de Bernard Girault », sur lanouvellerepublique.fr, 8 avril 2021
  67. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
  68. « Le service public local de l'eau potable et de l'assainissement », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  69. « L'alimentation en eau potable », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  70. « syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de Montrichard - Fiche descriptive », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  71. « composition communale des services d'assainissement collectif pour l'année 2019 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur services.eaufrance.fr, (consulté le ).
  72. « Catalogue des stations d'épuration en service en Loir-et-Cher au 31 janvier 2019 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de l'agence de l'eau Loire-Bretagne (consulté le ).
  73. « Fiche descriptive de l'ouvrage « La Larderie » », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  74. « Compétence territoriale gendarmerie et police nationales », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  75. « Les tribunaux - Juridictions du ressort », sur cours-appel.justice.fr (consulté le ).
  76. « Liste des juridictions compétentes pour la commune de Faverolles-sur-Cher », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le ).
  77. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  78. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  79. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  80. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  81. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Faverolles-sur-Cher (41080) », (consulté le ).
  82. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Loir-et-Cher (41) », (consulté le ).
  83. « CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité à Faverolles-sur-Cher (41) au 31 décembre 2015 », sur insee.fr (consulté le ).
  84. « CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité pour le département de Loir-et-Cher », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  85. « Etat des ZRR au 1er juillet 2017 », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  86. a b c et d « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Faverolles-sur-Cher », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  87. « Économie et conjoncture - Agriculture », sur la plateforme de l'information territoriale de Loir-et-Cher (consulté le ).
  88. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Faverolles-sur-Cher », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  89. a et b « Liste des produits par commune - Faverolles-sur-Cher », sur le site de l'Institut national de l'Origine et de la Qualité (consulté le ).
  90. « Fiche produit - le Sainte-Maure de Touraine », sur le site de l'Institut national de l'Origine et de la Qualité (consulté le ).
  91. « Fiche produit - le Selles-sur-Cher », sur le site de l'Institut national de l'Origine et de la Qualité (consulté le ).
  92. « Fiche produit - le Crémant de Loire », sur le site de l'Institut national de l'Origine et de la Qualité (consulté le ).
  93. « Fiche produit - le Rosé de Loire », sur le site de l'Institut national de l'Origine et de la Qualité (consulté le ).
  94. « Fiche produit - le Touraine », sur le site de l'Institut national de l'Origine et de la Qualité (consulté le ).
  95. « Fiche produit - les rillettes de Tours », sur le site de l'Institut national de l'Origine et de la Qualité (consulté le ).
  96. « Fiche produit - le Val de Loire », sur le site de l'Institut national de l'Origine et de la Qualité (consulté le ).
  97. « Fiche produit - les volailles de l’Orléanais », sur le site de l'Institut national de l'Origine et de la Qualité (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Michel Provost, Carte archéologique de la Gaule - Le Loir-et-Cher, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, , 159 p. (ISBN 2-87754-003-0)
  • Christian Poitou, Paroisses et communes de France - Loir-et-Cher, Paris, CNRS Editions, , 591 p. (ISBN 2-271-05482-6)
  • Stéphane Gendron, Les noms de lieux du Centre, Paris, éditions Bonneton, , 232 p. (ISBN 978 2 862 53226 4).
  • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui - Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4)

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Liens externes