Eugène Cauchy, Jus romanum : De negotiis gestis ; Droit français : De la Communauté conventionnelle, thèse pour le doctorat, Paris, imprimerie de Rignour, 1823[3].
Eugène Cauchy, Les Précédents de la Cour des Pairs, recueillis et mis en ordre par E. Cauchy, Paris, imprimerie royale, 1839, 710 p.[7]
Eugène Cauchy, Rapport fait, le 11 janvier 1842, à la Cour royale de Paris au nom d'une Commission chargée d'étudier les modifications à faire à la partie du Code civil relative aux privilèges et hypothèques, Paris, imprimerie de J.-B. Gros, 1842, 34 p.[8]
Eugène Cauchy, Du Duel considéré dans ses origines et dans l'état actuel des mœurs, Paris, C. Hingray, 1846, 2 volumes[9].
Eugène Cauchy, De la Propriété communale et de la mise en culture des communaux, à l'occasion du projet de décret proposé à l'Assemblée nationale par son comité de l'administration départementale et communale, Paris, Hingray, 1848, 155 p.[10]
Eugène Cauchy, Un mot sur la question du duel, Paris, imprimerie de A. Guyot et Scribe, 1849, 8 p.[11]
Eugène Cauchy, « Études sur Domat, lectures faites à l'Académie des sciences morales et politiques », in Revue de législation et de jurisprudence, Batignolles, imprimerie de Hennuyer, novembre-décembre 1851 et mars 1852, 87 p.[12]
Eugène Cauchy, Le droit maritime international considéré dans ses origines et dans ses rapports avec les progrès de la civilisation, Paris, Guillaumin et Cie, 1862 (réédité en 1984), 2 volumes, 549 p.[13]
Eugène Cauchy, « La Neutralité, résumé d'histoire et de droit » in Dictionnaire général de la politique dirigé par Maurice Block, Strasbourg, imprimerie de Vve Berger-Levrault, 1864, 8 p.[14]
Eugène Cauchy, De nepote rapto et recepto : avitum carmen, traduit en français sous le titre de L'Enfant perdu et retrouvé : poème latin par son grand-père par Henri Patin, Paris, imprimerie J. Claye, 1865, 67 p.[15]
Eugène Cauchy, « Du respect de la propriété privée dans la guerre maritime : mémoire lu à l'Académie des sciences morales et politiques dans les séances des 12, 19 et 26 mai 1866 » in Compte rendu de l'Académie des sciences morales et politiques, Paris, Amyot, Guillaumin et Cie, 1866, 155 p.[16]
Eugène Cauchy, Vidui desideria, consolatorius liber ; Mon veuvage, regrets et consolations, Paris, imprimerie de J. Claye, 1866, 101 p.[17]
Eugène Cauchy, « Du Jugement des crimes politiques et en particulier de la Cour des Pairs et de la Haute Cour, mémoire lu à l'Académie des sciences morales et politiques, dans les séances des 12 janvier et 9 février 1867 » in Comptes rendus de l'Académie des sciences morales et politiques, t. LXXX, Paris, Guillaumin, 1867, 51 p.[18]
Eugène Cauchy, « Observations sur Lucrèce, considéré comme poète et comme philosophe, au sujet d'une étude de M. Martha sur le poème de la Nature » in Compte rendu de l'Académie des sciences morales et politiques, Orléans, imprimerie de E. Colas, 1868, 15 p.[19]
Eugène Cauchy, « Rapport présenté à l'Académie des sciences morales et politiques sur un ouvrage de M. César Cantù, intitulé Histoire de la littérature latine » in Compte rendu de l'Académie des sciences morales et politiques, Paris, 1868, 17 p.[20]
Eugène Cauchy, « De Quelques Moyens d'atténuer les calamités de la guerre par voie de conventions internationales », in Compte rendu de l'Académie des sciences morales et politiques, Paris, 1869, 43 p.[21]
Eugène Cauchy, « Rapport sur un ouvrage de M. Du Boys, intitulé De l'influence sociale des Conciles » in Comptes rendus de l'Académie des sciences morales et politiques, t. LXXXIX, Orléans, imprimerie de E. Colas, 1869, 8 p.[22]
Eugène Cauchy, « Rapport sur le concours relatif à l'administration locale en France et en Angleterre, fait au nom de la section de législation, droit public et jurisprudence, lu dans les séances des 13, 23 et 30 avril 1870 » in Comptes rendus de l'Académie des sciences morales et politiques, t. XCIII, Paris, 1870, 91 p.[23]
Eugène Cauchy, « Rapport sur un ouvrage de M. Sargeret, intitulé Du Progrès maritime » in Compte rendu de l'Académie des sciences morales et politiques, Orléans, imprimerie de E. Colas, 1870, 11 p.[24]
Eugène Cauchy, Notice sur la vie de M. Augustin Cochin lue à l'Académie des sciences morales et politiques, dans ses séances des 13 et 20 avril 1872, Paris, C. Douniol, 1872, 56 p.[25]