En 1944, la ville qui subit de nombreux et destructeurs bombardements offre encore un nombre important de vestiges. L'enceinte urbaine est encore bien visible sur son parcours : rue Montgomery, rue des Fossés-Plissons au sud, rue des Barbacanes, à l'est, rue de la Poterne et au Belvédère, sur le font nord[1]. À noter, que les sept tours, du front sud, encore assez bien conservées, sont partiellement noyées dans les maisons particulières.
La place est flanquée de grosses tours rondes à mâchicoulis : tours Guérin-Lécrivain, Lafaye ou Chicault, Coroller (la mieux conservée), Bigeon, Patry, Chemineau[note 1], d'Alençon située au-dessus de la promenade des Fossés Plisson, de la poterne au nord, à l'angle de la rue de la Poterne et de la ruelle du Pissot et percée de portes dont la porte de Brière avec ses deux tours jumelles (les tours Godras), aujourd'hui écrêtées[3].
les restes des deux tours d'enceinte de l'ancienne poterne du château de Gadras sont classés par arrêté du ;
les murs d'enceinte de la ville : tours et vestiges de remparts sont classés par arrêté du .
Escaliers.
Tour.
Vestiges.
Vestiges.
Notes et références
Notes
↑Elles portent les noms des propriétaires installés sur le rempart au XVIIe siècle.
Références
↑ ab et cGuy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN978-284673-215-4), p. 126.