Il expose une première fois des gravures au Salon de 1847[1]. Il obtient la médaille de bronze du Salon des artistes français en 1881, pour lequel il expose jusqu'en 1890[2].
Vers 1864, il se lance brièvement dans la la production lithographique.
Il fut l'un des plus importants contributeurs au magazine L'Art. Il contribua aussi à la Gazette des beaux-arts.
On lui doit également de nombreux portraits et des traductions de maîtres anciens comme Rubens, Rembrandt, et de modernes comme Rosa Bonheur. Il meurt à Paris le 18 octobre 1890[3],[4].
