Il naît à Séville. Alors membre du Parti républicain radical, il est ministre dans un gouvernement d'Alejandro Lerroux, bien qu'il quitte plus tard le parti en raison de divergences et de désaccord avec la politique de ce dernier.
Martínez Barrio fonde et dirige ensuite l'Union républicaine, dont il mène ensuite l'intégration au Front populaire. Il est membre du gouvernement et porte-parole aux Cortes en 1936.
Franc-maçon, il fut deux fois grand-maître du Grand Orient espagnol[1].
Il rentre finalement à Paris, où il meurt le . Inhumé dans un premier temps au nouveau cimetière de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), il est transféré au cimetière San Fernando de Séville en 2000[2].
Note
↑Esteban Cortijo, La masonería en la provincia de Cáceres: Logias y nombres propios, in: Masonerìa y Extremadura (Esteban Cortijo, Coord.),
Cáceres, s.d., pag. 263