Évolution démographique du territoire communautaire tel qu'existant au
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
20 052
18 583
17 973
17 360
17 111
17 291
17 227
16 673
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes. Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au . (Source : INSEE RGP 2016[5])
Administration
Siège
Le siège de la communauté de communes est à La Châtre, Place du Général de Gaulle[2],[6].
Pour tenir des évolutions démographiques des communes, la composition du conseil communautaire est remanié à compter des élections municipales de 2020 dans l'Indre, avec un nombre de sièges réduit à 48 conseillers répartis comme suit[7] :
- 11 délégués pour La Châtre ;
- 4 délégués pour Montgivray ;
- 3 délégués pour Le Magny ;
- 2 délégués pour Saint-Août, Sainte-Sévère-sur-Indre et Pouligny-Notre-Dâme ;
- 1 délégué ou son suppléant pour les autres communes.
François Daugeron (commission économie et voirie) ;
Alain Verrier (finances) ;
Maryse Rouillard (commission personnel et bibliothèque et cadre de vie) ;
Roger Génichon (commission abattoir) ;
Patrick Judalet (commission environnement) ;
Pascal Chéramy (commission jeunesse, équipements sportifs et de loisirs) ;
Danielle Lamy (commission tourisme et culture[8]).
Nicolas Forissier ayant été élu député de la deuxième circonscription de l'Indre en 2017 et, frappé par la légismation limitant le cumul des mandats en France, démissionne de son mandat de président de l'intercommunalité[9]. Le conseil communautaire de a élu son nouveau président, François Daugeron, maire de Sainte-Sévère-sur-Indre, et ses vice-présidents pour la fin de la mandature 2017-2020, qui sont[10] :
Patrick Judalet, maire de La Châtre ;
Maryse Rouillard, maire de La Motte-Feuilly ;
René Génichon, maire de Vigoulant ;
Pascal Chéramy, maire de Lourouer-Saint-Laurent ;
Danielle Lamy, maire de Pouligny-Notre-Dame ;
Céline Bihel, conseillère municipale d'opposition à La Châtre ;
Jean-Luc Mançois, maire de Saint-Christophe-en-Boucherie
Le président, les vice-présidents et 7 autres membres forment ensemble le bureau communautaire, qui est l'exécutif de l'intercommunalité pour la fin de la mandature 2014-2020[10].
la création, aménagement, entretien et gestion de zones d'activités industrielles, commerciales, tertiaires, artisanales ou touristiques ;
les mesures d'accompagnements permettant de renforcer les investissements réalisés par les collectivités, l’État ou l'Europe dans le domaine des TIC (réalisation des infrastructures de haut débit) ;
la gestion et développement de l'abattoir régional du Boischaut ;
la création et extension d'immobilier d'entreprises ;
les actions de promotion et d'animation dans les domaines économique et touristique ;
l'aménagement, développement et gestion du circuit automobile ;
l'aménagement, développement et gestion de sites touristiques ;
l'aménagement, développement et gestion des offices de tourisme et syndicats d'initiative publics ;
la collecte, élimination et valorisation des déchets ménagers ;
les actions favorisant la connaissance, la mise en valeur, l'entretien et la protection du paysage afférents aux cours d'eau (restauration des berges à l'exception de leur curage et des ouvrages d'art) ;
la proposition de zone de développement et de toutes actions permettant de favoriser les énergies renouvelables ;
les actions permettant de favoriser les économies de l'eau ;
la création, aménagement et entretien de la voirie des voies d'accès des zones d'activités ;
la construction, aménagement, entretien et gestion des équipements culturels, sportifs ou de loisirs ;
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[2] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
Elle ne verse pas de dotation de solidarité communautaire[12] (DSC) à ses communes membres[2].
Budgets
2010
Budgets fonctionnement
4 182 216 €
Budgets investissement
4 017 201 €
Budgets total
8 199 417 €
Identité visuelle
Logos successifs de la communauté de communes.
Le logo depuis 2001.
Projets et réalisations
Les projets sont cités ci-dessous :
maison de santé pluridisciplinaire ;
maison des jeunes, de la culture et des savoirs.
Notes et références
Notes
↑Les densités de populations sont calculées automatiquement dans un SIG en utilisant la superficie géographique de la commune et non la superficie cadastrale définie par l'Insee. Des différences de classe peuvent ainsi éventuellement apparaître pour les communes qui se situent en limite de franchissement de seuil de classe.
↑« Arrêté préfectoral du 23 octobre 2019 portant composition du conseil communautaire de la communauté de communes de la Marche berrichone en vue des échéances électorales de mars 2020 », Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Indre, nos 36-2019-087 spécial, , p. 74-78 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑Nicolas Barraud, « Nicolas Forissier réélu à la tête de la CDC : La première réunion post- municipales de la Communauté de communes de La Châtre et Sainte- Sévère a notamment vu l’élection du président et des vice- présidents », L'Echo du Berry, Indre, no 3127, , p. 7.
↑ ab et cÉvelyne Pubert, « François Daugeron succède à Nicolas Forissier », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, (lire en ligne, consulté le )« Le maire de Sainte-Sévère, qui était premier vice-président de la CDC, était le seul candidat déclaré. Il a été élu par 44 voix, contre 2 à Céline Bihel, conseillère d'opposition à La Châtre, et une pour Patrick Judalet, maire de La Châtre. Trois votes blancs et deux nuls ont été comptabilisés ».