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Les films de ce courant se caractérisent par une écriture baroque et décalée qui tranchait alors sur le tout venant du cinéma naturaliste français. Certains films reprennent le rythme et l'esthétique des clips ou des spots publicitaires. Le texte de référence, « Trois néobaroques français : Beineix, Besson, Carax, de Diva au Grand Bleu », écrit par Raphaël Bassan, est publié dans La Revue du cinéma no 449[1]. Son influence a été grande surtout pour la critique américaine et anglo-saxonne. Le texte est traduit en anglais en 2007[2].
Avec Holy Motors, Leos Carax revient, sous la forme d’un manifeste, au cinéma du look de ses débuts, esthétique qu’il magnifie de manière exemplaire, comme le note Scott Fundas dans Film Comment(en)[4].
↑The French neobaroques directors : Beineix, Besson, Carax from Diva to le Grand Bleu (p. 11-23), in The Films of Luc Besson: Master of Spectacle (sous la direction de Susan Hayward et Phil Powrie) Manchester: Manchester University Press, 2007.