Dans les années 1650, il ouvre une officine à Paris. Antoine Vallot, surintendant du Jardin du roi, lui offre la chaire de chimie devenue vacante après le départ de Nicaise Le Febvre en 1660. Mais en 1665, Guy-Crescent Fagon reçoit la seconde chaire de chimie en remplacement d’Urbain Baudinot. Glaser se voit alors contraint de devenir l’assistant de Fagon, ce qui ne se fit pas sans conflit. Il finit par quitter ses fonctions en 1671.
Il publie en 1663 à Paris, le Traicté de la chymie, enseignant par une briève et facile méthode toutes ses plus nécessaires préparations, qui comporte certaine partie d’alchimie. Son traité se base sur cinq principes : l’esprit, le sel, le soufre, l’eau et la terre.