un réacteur à eau pressurisée K48, deux turbo-alternateurs, un moteur électrique de propulsion, une hélice ou pompe hélice - 9 500 ch (7 000 kW)
Caractéristiques militaires
Armement
4 tubes lance-torpilles de calibre 533 mm qui peuvent lancer des torpilles F17 mod 2 de lutte antinavire et anti-sous-marines ou des missiles SM 39 à changement de milieu contre buts de surface.
Il a été mis en chantier en 1981 à l'arsenal de Cherbourg, lancé en 1984 et admis au service actif en 1987. Il est affecté à l'escadrille des sous-marins nucléaires d'attaque (ESNA) et basé à Toulon. Sa ville marraine est Moulins depuis le et est l'unité marraine du centre de Préparation Militaire Marine de Roanne. Le Casabianca, de retour le 15 février 2019 à Toulon après avoir bouclé 137 jours de déploiement et 2 678 heures de plongée, a effectué un record pour les forces sous-marines françaises[2].
Après un ultime accostage à la base navale de Cherbourg le 4 septembre 2023, il est désarmé le 28 septembre 2023[3].
Les villes de Cherbourg et Toulon souhaitent le transformer en bateau-musée[4].
Caractéristiques
Navigation
Le Casabianca est équipé de deux centrales de navigation inertielle SIGMA 40 XP à technologie Gyrolaser (Ring Laser Gyro) créées par Sagem pour les sous-marins de type SNA[5].
Galerie photo
Le Casabianca appareille de Toulon le 5 avril 2005 pour participer à l'exercice Trident d'Or.
Alain Boulaire, La Marine française : De la Royale de Richelieu aux missions d'aujourd'hui, Quimper, éditions Palantines, , 383 p. (ISBN978-2-35678-056-0)