Stationné à Ngaoundéré, le BM 13 est rapidement rattaché à la 2e brigade de marche du Cameroun, qui devient en août 1943 la Brigade mixte d'Afrique française libre (BM-AFL). Le BM 13 devient l'unité de défense contre blindés et défense contre avions de cette brigade. Le bataillon est dissous le : son infanterie renforce les trois autres bataillons de marche de la brigade et sa compagnie lourde (canons antichars et antiaériens), renforcée des sections d'artillerie de la BM-AFL, forme le bataillon lourd d'artillerie no 13[2],[3].
↑ a et bSylvain Cornil-Frerrot, « Les Forces françaises libres d’Afrique équatoriale française », Revue de la Fondation de la France libre, no 34, , p. 23-32 (lire en ligne)