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Le groupe est installé sur deux sites situés en France : Saint-Denis-de-l'Hôtel ferroviaire (SDHF) à Saint-Denis-de-l'Hôtel et les Ateliers bretons de réalisations ferroviaires industries (ABRFI) à Châteaubriant en Loire-Atlantique (Pays de Loire)[2].
Histoire
La holding est créée en 2003. Après le rachat de SDHF par ABRFI, les deux sociétés sont reversées dans AORF[2].
Jean-Luc Remondeau démissionne de son poste de directeur en mars 2011 et est remplacé par Éric Vinassac de Bernard Krief Capital[5].
Dans une réponse parue au journal officiel de la République française en avril 2011 et à la suite d'une question posée par le député de Loire-Atlantique, Michel Hunault, l'avenir du groupe AORF est évoqué pour la mise en place d'un éventuel plan de sauvetage[6].
Le tribunal de commerce d'Orléans accorde, le , un délai d'un mois supplémentaire au groupe AORF avant sa mise en redressement judiciaire lié à ses difficultés financières[7].
Le , le tribunal de commerce d’Orléans accorde un mandat de trois mois au groupe afin d'obtenir les préfinancements requis à la mise en œuvre de nouvelles commandes[8].
En septembre 2013, et à la suite du retrait d’Uralvagonzavod, candidat au rachat, le tribunal de commerce d'Orléans autorise AORF a poursuivre son activité ; 67 postes sont supprimés[11].
Le , AORF est de nouveau placé en redressement judiciaire alors qu'elle était en procédure de sauvegarde[12].
Le , les deux filiales du groupe sont liquidées[13].
Le , la filiale d'AORF, SDHF est rachetée par le fabricant de wagons de marchandises français Millet[14],[15].