Durant le néolithique le quartier joue un rôle de frontière avec sa forêt humide[1].
Le quartier tire son nom d'une de ses rues principales, la rue de l'Argonne, elle-même dénommée en hommage aux combattants des batailles de l'Argonne pendant la Première Guerre mondiale.
Une partie du quartier est classée zone franche urbaine le [4].
Entre 2018 et 2019, la majorité des immeubles vers la rue François-Couperin ont été détruits pour prévoir de nouvelles habitations[5]. Cela a été le cas en juin 2015 pour les barres d'immeubles longeant une partie du boulevard Marie-Stuart.
Le quartier regroupe quelques habitations à loyer modéré sous forme de pavillons et de groupes d'immeubles.
Malgré sa proximité avec le centre-ville d'Orléans, le quartier souffre d'un cloisonnement renforcé par les axes principaux du quartier : l'avenue des Droits de l'Homme qui borde le quartier au nord et à l'ouest ainsi que le boulevard Marie-Stuart qui traverse le quartier d'est en ouest et qui constitue un axe de transit entre l'est de l'agglomération orléanaise et le centre-ville.
Les voies secondaires et le réseau de desserte des habitations apparaissent peu structurés et les cheminements ne facilitent pas les déplacements entre les quelque trente résidences qui composent le quartier.
Administration
Marie de proximité de l'Argonne
Médiathèque de l'Argonne
Démographie
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Le marché de l'Argonne, organisé tous les vendredis
L'Église Saint Jean Bosco, ouverte en 1963
La mosquée pakistanaise
Notes et références
↑Louis-René Nougier, « Densité humaine et population au Néolithique », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 46, no 3, , p. 126–127 (DOI10.3406/bspf.1949.2514, lire en ligne, consulté le )