Apollinaire Joachim Kyélem de Tambèla est né le à Tambèla. En 1971, il entre au petit séminaire Saint-Augustin de Baskouré, un établissement diocésain d'enseignement secondaire.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Polémiste populaire, analyste politique et proche de l'opposition, Kyélem est nommé Premier ministre du Burkina Faso le par le Président Ibrahim Traoré, presque un mois après le coup d'État militaire perpétré par ce dernier[3],[4],[5]. Peu avant sa nomination, il avait suggéré la suppression du poste lors d'une émission télévisée[6].
Le , il prononce son discours sur la situation de la nation dans lequel il fait le bilan de l’action gouvernementale[7].
Le , il annonce que les prochaines élections ne seront pas organisées au Burkina Faso tant que la sécurité ne sera pas rétablie, alors que le pays continu de subir régulièrement des attaques terroristes meurtrières dans le contexte de l'insurrection djihadiste[8].
Le , il appelle les Burkinabè à se départir de « l’aliénation envers les pays occidentaux » à la suite de l'annonce de la création de l'Alliance des États du Sahel (AES) et le retrait de ses membres de la CEDEAO[9].