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Fonctions
Ministre de l'Éducation publique
5 août 1872 - 6 février 1874
Quintino Sella Girolamo Cantelli
Ministre des Finances du royaume d'Italie
31 décembre 1865 - 17 février 1866
Quintino Sella Agostino Depretis
Député; VIIIe législature du royaume d'Italie
18 février 1861 - 7 septembre 1865
Député; VIIe législature du royaume de Sardaigne
2 avril - 17 décembre 1860
Député; IVe législature du royaume de Sardaigne
20 décembre 1849 - 20 novembre 1853
Sénateur du royaume d'Italie
Naissance	1er août 1817; Naples
Décès	13 octobre 1877 (à 60 ans); Procida
Nom de naissance	Antonio Scialoja
Nationalité	italienne (17 mars 1861 - 13 octobre 1877)
Activités	Économiste, homme politique
Enfant	Vittorio Scialoja
Parentèle	Antonio Scialoja (d) (petit-fils)
Parti politique	Droite historique
Maîtres	Matteo de Augustinis (d), Pasquale Borrelli (d)

Cet article est une ébauche concernant un homme politique italien et le libéralisme.

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Antonio Scialoja (né le 1^er août 1817 à San Giovanni a Teduccio, un quartier populaire de Naples, en Campanie et mort le 13 octobre 1877, à Procida) est une personnalité politique du royaume d'Italie, héros ayant participé à la libération et au rattachement du royaume des Deux-Siciles à l'Italie.

Biographie

Antonio Scialoja est un économiste italien, diplômé de droit à l'université de Naples en 1841, il devient professeur d'économie politique à l'Université de Turin en 1846.

En 1848 Antonio Scialoja devient ministre de l'Agriculture et du Commerce dans le gouvernement libéral de Carlo Troja dans le royaume des Deux-Siciles. Arrêté après la répression de 1849, il est condamné à l'exil « perpétuel », puis est contraint de se réfugier dans le royaume de Sardaigne. Il a, en 1851, à Turin, un fils Vittorio Scialoja, qui sera juriste et ministre.

À Turin, il poursuit ses études d'économie dans le seul but d'entrer dans le parti libéral de Cavour. Il l'atteste dans ses célèbres œuvres : Carestia e governo (La famine et le gouvernement) (1853) et Note e confronti dei bilanci del Regno di Napoli e Stati Sardi (Notes sur l'état financier du royaume de Naples et des États sardes) (1857).