Selon Amédée Guillotin de Corson on ignore tout de sa vie sinon que sur le point de mourir il reçoit la révélation divine que Melaine devait être son successeur ! En conséquence, il le fait venir à lui et le désigne au clergé et au peuple de Rennes assemblé comme évêque[1] D'après la vie de Saint Melaine d'Albert Le Grand il serait mort en 505[2]
↑Abbé Amédée Guillotin de Corson, Pouillé Historique de l’archevêché de Rennes, vol. 1, Mayenne, Éditions Régionales de l'Ouest, (ISBN2855540836), p. 46-47 IX Saint Amand.
↑* Les vies des saints de la Bretagne Armorique par Albert Le Grand, (1901) lire en ligne sur Gallica p. 568