Formées en 1872, ces unités se trouvent être les plus anciennes des troupes de montagnes actuelles. Leur mission d'origine était de défendre les frontières montagneuses du nord de l'Italie face à la France et l'Autriche-Hongrie (les Alpes). En 1888, les Alpins effectuent leur premier déploiement outre-mer, en Afrique. Ils se signalent durant le premier conflit mondial en combattant pendant trois ans dans les Alpes, s'opposant aux troupes de montagne allemandes et autrichiennes. Durant le second conflit mondial, ils sont principalement engagés sur le Front de l'Est et dans les Balkans.
Avec la fin de la guerre froide et la réorganisation de l'armée italienne, il ne subsiste plus que deux des cinq brigades existantes. En , les Alpins étaient engagés en Afghanistan.
Histoire
Origines du corps militaire alpin
Les origines des Alpins sont très anciennes : au cours des siècles, les habitants des Alpes ont toujours été des combattants valides et fiers, défendant inlassablement leur terre. Les légions alpines à l'époque romaine, les Cimbres, les milices vaudoises, les milices d'autodéfense des vallées de Trente, du val du Piave et du Frioul, pour ne citer que quelques exemples, peuvent être considérés comme des précurseurs des Alpins. Le corps militaire n'a été constitué officiellement qu'en 1872, après l'époque du Risorgimento, le royaume d'Italie devait faire face au problème de la défense de ses frontières terrestres, c'est-à-dire l'arc alpin.
Le capitaine Giuseppe Perrucchetti, considéré comme le « père des Alpins », proposa de confier la défense des cols alpins à des soldats recrutés sur le territoire, qui auraient permis un contrôle majeur, en raison surtout de leur connaissance du milieu. La proposition fut accueillie positivement, et le , à Naples, par le décret royal no 1056, les premières 15 compagnies alpines furent créées, chacune composée de soldats provenant de la même vallée. Le recrutement sur le territoire fut aussi un élément de cohésion sociale, qui renforça sensiblement l'esprit des Alpins, qui allait se former.
Les dimensions du corps alpin crûrent rapidement, en 1873 le nombre des compagnies fut élargi à 24, divisées en sept unités alpines ; en 1875, 10 bataillons furent créés, pour un total de 36 compagnies, et en 1882 enfin, les premiers six régiments furent constitués, et ils devinrent sept en 1887 et huit en 1910. En 1887 naquirent les premières 5 batteries de l'artillerie de montagne. Nés pour défendre les Alpes, les Alpins eurent leur baptême à Adoua, en Éthiopie, et la première médaille militaire fut remise au capitaine Pietro Cella pour la Campagne d'Érythrée des années 1887-1888. Ensuite les Alpins participèrent à la seconde campagne d'Érythrée (1896-1897) et à la guerre de Libye de 1911, où ils démontrèrent un courage et une capacité d'adaptation vraiment exceptionnels. Le , après une période d'essai au 3e régiment, les Alpins furent équipés de ski.
Au cours de la Première Guerre mondiale, les troupes alpines parviennent à leur épanouissement, avec 88 bataillons, 274 compagnies, 67 groupes d'artillerie de montagne et 175 batteries.
Le , à l'entrée en guerre de l'Italie, les Alpins s'installent aux points chauds des cols, comme au col du Stelvio, sur les Alpes juliennes, au col du Tonale et sur le mont Pasubio, et participent aux batailles les plus sanglantes, comme celle du mont Ortigara et celle de Caporetto, jusqu'à la contre-offensive du général Armando Diaz, qui amène la victoire.
Les Alpins jouent un rôle de protagonistes dans un conflit caractérisé par ses batailles sur les Alpes, et sur tous les fronts, du Massif de l'Adamello aux Dolomites, du Karst au mont Grappa, des hauts-plateaux de la Vénétie au Piave, où ils démontrent leur valeur et leur courage, avec plus de 35 000 morts et plus de 85 000 blessés[1].
Aux années 1930, la défense des frontières est confiée au nouveau corps des Gardes de frontière (abrégé en GAF), tandis que les Alpins sont employés aux endroits où il y avait nécessité, même en dehors du territoire alpin. En ce sens, en 1934, de nouvelles divisions sont créées : la Taurinense (Piémont et Vallée d'Aoste), la Tridentina (Vénétie et Trentin-Haut-Adige), la Julia (Frioul-Vénétie-Julienne), la Cuneense (Coni), auxquelles est ajoutée la Pusteria (Val Pusteria) en 1935. C'est le moment de la naissance des Troupes alpines auxiliaires.
En 1934, à Aoste est créé le Centre alpin d'instruction, abrégé en SMALP, ayant son siège principal au château Jocteau, à Beauregard (sur la colline d'Aoste). Appelé aussi École militaire centrale d'alpinisme, au fil des années il est devenu un centre d'excellence pour la préparation aussi dans le domaine des sports d'hiver, jusqu'au point qu'il a été surnommé Université de la montagne.
De 1935 à 1936, les Alpins sont employés encore en Afrique, pour la guerre d'Éthiopie. Ils débarquent à Massaoua, où la division Pusteria participe aux opérations pour la conquête de l'Empire italien, aux batailles de l'Amba Ardam, du Amba Alagi et du Maychew. Des unités alpines participent aussi à la guerre d'Espagne, avec l'uniforme du Tiers étranger.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, les Alpins sont employés sur le front alpin occidental, qui concernait les divisions Taurinense, Cuneense, Tridentina, Pusteria, et Alpes grées, dont faisait partie l'abbé Secondo Pollo(it), le bienheureux patron des Alpins. Ils sont ensuite déplacés sur le front grec-albanais, où était déjà présente la division Julia[2],[3].
« Entre et , jusqu'à 230 000 soldats italiens ont combattu dans les plaines ukrainiennes et russe aux côtés de leurs alliés allemands. Ce qui, au départ, avait été présenté comme une promenade militaire, dans le sillon d'une Wehrmacht invaincue, s'est terminé par une tragédie épouvantable : devant Stalingrad, après que le front de l'Axe a été brisé par de massives attaques soviétiques à partir de , les colonnes de soldats italiens en déroute, mélangés à des Allemands, des Roumains, et des Hongrois, ont entamé une retraite dantesque, à pied, par des températures polaires, constamment harcelés par l'ennemi. Ceux qui ont été capturés sont morts par dizaines de milliers dans les camps soviétiques. Au total, en moins de deux mois, 85 000 italiens sont morts ou disparus... »
Armée italienne en Russie ( Armata Italiana in Russia , ou ARMIR ). L'Armée était également connue sous le nom de 8e armée italienne et comptait initialement 230 000 soldats[4].
En 1942, les divisions d'infanterie et les divisions alpines envoyées en Russie par Mussolini pour soutenir l'action des Allemands étaient regroupées en trois corps d'armée : le Trente-cinquième, le Deuxième, et le Corps d'élite que forment les divisions alpines. Pendant l'été, une avancée spectaculaire conduit les Allemands et leurs alliés du Donets au Don. Après plusieurs mois d'immobilité apparente, le , les Russes déclenchent une très puissante offensive qui fera voler en éclats l'ensemble du front sud, étendu sur plus de mille kilomètres. Le , l'ordre est donné de quitter le Don : l'ensemble du Trente-cinquième corps d'armée - la 298e division allemande et les deux divisions italiennes « Pasubio » et « Torino » - doit se replier, car les Russes, qui ont enfoncé en plusieurs endroits le front, sont en train d'enfermer ces divisions dans une gigantesque poche.
Dépourvues de carburant, obligées de laisser sur place leur matériel, leur ravitaillement et leur armement lourd, leurs camions, les troupes italiennes, mal équipées, entreprennent une effroyable anabase vers les lignes amies. Cette marche ne prendra fin que le . Abrossimovo, sur le Don, où se trouvait la division Pasubio, le village d'Arbousov, rebaptisé « la Vallée de la Mort » théâtre de combats acharnés, la ville de Tchertkovo, où les Allemands et les Italiens, assiégés, parviennent à repousser les Russes, jalonnent cette retraite pour échapper à la mort, ces marches désespérées dans la neige, par des températures qui atteignent parfois -40°C[5].
En 1942, un contingent d'Alpins composé des divisions 2eTridentina, 3eJulia et 4eCuneense(Corps des Montagnes) de la 8e armée est envoyé sur le Front de l'Est. Ses membres participent à la défense du Don, et sont obligés à une retraite à pieds dans le gel des steppes russes, en s'ouvrant le chemin par des batailles historiques, parmi lesquelles il faut rappeler celle de la bataille de Nikolaïevka. La bataille est un succès car malgré des pertes importantes, les troupes de l'Axe, bien que décimées et complètement désorganisées réussissent à passer le barrage des troupes soviétiques parviennent à atteindre Chebekino le , en dehors des « tenailles » russes. Les deux autres divisions alpines (3e division alpine Julia et 4e division alpine Cuneense(en)) et la Vicenza sont prises au piège et forcées de se rendre à Valouïki (au sud de Nikolaïevka) par les unités de la 6e armée (Union soviétique) qui sont présentes sur le lieu depuis le .
La force des alpini, c'est leur esprit de corps, qui persiste même dans ces conditions terribles. Un chant triste, lent, funèbre et poignant les représentants : Sul ponte di Perati, bandiera nera, relatant les sanglants combats de la division Julia en Grèce[6].
Après l'Armistice de Cassibile du , les Alpins sont employés dans les deux déploiements contre-posés : au sein de la République sociale italienne, est créée la division alpine Mont-Rose, à laquelle s'ajoutent d'autres unités alpines faisant partie de la division Littorio, ou autonomes. Dans l'armée royale italienne(en italien, « Regio Esercito »), les Alpins sont alors représentés par les bataillons Piémont et L'Aquila. Beaucoup d'Alpins entrent dans la lutte partisane.
L'après-guerre
Après la Seconde Guerre mondiale, l'adhésion de l'Italie à l'OTAN amena à la reconstitution de l'armée.
Les troupes alpines furent réorganisées en cinq brigades :
La brigade Cadore, ayant siège dans la Vénétie. La garnison se trouve à Belluno, et les unités sont disposées au Val Cadore, la vallée du Piave ; la zone de recrutement comprend les provinces de Belluno et de Vicence et la région des Apennins de l'Émilie-Romagne ;
En 1948, l'École militaire alpine à Aoste a été reconstituée comme Centre alpin d'instruction (Château Jocteau), depuis 1998 l'école est sous le contrôle du Commandement des troupes alpines et est devenue Centre d'instruction alpine. Les troupes de frontière (Guardia alla frontiera, GAF) furent absorbées par les troupes alpines, ce qui créé l'unité des Alpins d'arrestation.
Dans les années 1950, les premières unités d'Alpins parachutistes sont créées, elles représentent l'élite du corps militaire alpins encore de nos jours.
Une autre nouveauté est la création du Centre d'instruction pour les recrues.
Les brigades alpines furent réunies au sein du IVe corps d'armée alpin, dont le premier commandant est Clemente Primieri, élu en 1952. Cette unité avait pour but la défense de l'arc alpin nord-oriental, en cas d'attaque de la part des pays membres du Pacte de Varsovie. Outre à cela, un contingent appelé Cuneense représentait l'armée italienne au sein des Forces mobile alliées (AMF) de l'OTAN.
Au début des années 1990, après l'écroulement de l'Union soviétique, l'armée fut à nouveau réorganisée, et certains unités alpines historiques, telles que les brigades Orobica et Cadore, sont supprimées. En 1997, le IVe corps d'armée alpin est transformé en Commandement des troupes alpines, avec trois brigades : la Taurinense, la Tridentina et la Julia. La brigade Tridentina est supprimée en 2002.
Les années 1990 marquent le début de la présence des troupes alpines dans le cadre des missions internationales. Les Alpins participent notamment aux missions au Mozambique, en Albanie, en Bosnie, au Kosovo, en Afghanistan et au Liban. Cela a amené à une réduction de l'activité en montagne, qui les caractérisait, mais a sans aucun doute augmenté leur prestige au niveau international.
Les 24 derniers mulets utilisés par les Alpins sont vendus aux enchères à Belluno par volonté du Ministère de la défense italien[7].
Un autre changement radical, qui marqua une dénaturation ultérieure des Alpins, est l'abolition en 2005 du service militaire obligatoire en Italie. Cet événement a éliminé la pratique du recrutement régional, un élément historique de cohésion pour les Alpins.
La devise des Alpins
« Di qui non si passa », qui signifie « Par ici on ne passe pas ! », c'est la devise traditionnelle des Alpins, créée par le général savoyard Luigi Pelloux en 1888, lors d'un dîner des officiers alpins à Rome.
« La devise de mes Alpins, quant à moi, se réduit à peu de mots : “Par ici on ne passe pas !”. »
Cette devise a été évoquée fréquemment, surtout pendant la Première Guerre mondiale, lors des batailles de haute montagne, et lors de la défense à outrance le long du Piave.
Chansons des Alpins
Egalement connue sous le nom de plume noire (ou "plume sur le chapeau"). C'est une chanson particulièrement réputée qui dès le premier verset décrit l'une des caractéristiques distinctives du corps des chasseurs Alpins (Italiens), ou la classique plume noire positionnée sur le chapeau[8].
Les Paroles de la chanson s'entonne ainsi :
Sur le chapeau que nous portons il y a une longue plume noire qui nous sert de drapeau sur les montagnes à guerroyer.
Oilalà.
Sur les montagnes où nous serons, nous cueillerons les edelweiss (étoile des alpes) pour les donner aux demoiselles, pour les faire pleurer et soupirer.
Oilalà.
Sur les montagnes où nous serons, nous "planterons" (installerons) le camp, toast au régiment, vive le corps des chasseurs Alpins
Oilalà.
Sur les montagnes où nous serons, nous "planterons" (installerons) le drapeau, Oh Trentino (région d'Italie) de mon cœur nous te viendrons te libérer
Oilalà.
Et vive, vive le régiment, et vive vive le corps des chasseurs Alpins
La partie finale de la chanson, fait la louange du Corps des Chasseurs Alpins[9].
Structure actuelle
En ce début du XXIe siècle, les troupes alpines comprennent différentes spécialités de l'armée italienne : l'infanterie, l'artillerie, la cavalerie mécanisée, les sapeurs, les transmissions, les transports et les matériaux, et les corps logistiques. Presque toutes les unités s'adressent au Commandement des troupes alpines, abrégé en COMALP, un commandement au niveau de corps d'armée, héritage du IV corps d'armée alpin, ayant siège à Bolzano.
Ces deux brigades ont une structure semblable, avec trois régiments d'infanterie alpine, un régiment d'artillerie de montagne, un régiment de cavalerie mécanisée et un régiment de sapeurs. La Taurinense a été l'une des premières unités de volontaires de l'armée italienne a participé à plusieurs missions internationales. La Julia, au contraire, a gardé pendant longtemps les caractéristiques typiques des troupes alpines originaires, étant composée surtout par des soldats appelés. Avec la récente abolition du service militaire obligatoire, les différences entre les deux brigades a disparu. Et depuis fin 2013, il a été incorporer un régiment de cavalerie a cette même brigade, avec les mêmes missions internationales.
Le Centre alpin d'instruction à Aoste : héritage de l'École militaire alpine (Château Jocteau), c'est l'institut qui s'occupe de l'instruction dans le domaine du ski et de l'alpinisme, non seulement des Alpins, mais aussi d'unités d'armée italiennes et étrangères. Ici a lieu aussi la préparation d'athlètes de haut niveau de disciplines sportives hivernales.
Les Unités de support, sensiblement réduits par rapport au passé. Ces unités sont des troupes alpines effectives, et sont caractérisées, comme toute autre troupe, par la structure et le nom traditionnels, ainsi que par les traditions et le chapeau typique. Elles sont constituées aujourd'hui par :
L'unité de commandement à Bolzano, qui assure le soutien logistique au COMALP ;
Le 6e régiment alpin, dont la garnison se trouve au Val Pusteria, qui a pour but de gérer les centres d'instruction de la région ;
Le 4e régiment alpin des parachutistes Mont-Cervin, unité d'élite des troupes alpines, employée pour des missions spéciales.
Trois régiments de support (d'artillerie, des transmissions et logistique).
La brigade est le cadre de la formation multinationale de la Force terrestre multinationale, complétée par une unité (bataillon ou régiment) de Slovénie et une de Hongrie. En opération depuis 2001, il reçoit des instructions d'un comité tri-national politico-militaire devant être utilisées dans les missions de l'OTAN, de l'ONU, de l'Union européenne et de l'OSCE[10].
Le chapeau
Le chapeau est le symbole le plus représentatif des Alpins. Il est composé par plusieurs éléments, qui marquent le grade, le bataillon, le régiment et la spécialité[11].
La plume
Elle se trouve sur la gauche du chapeau et mesure de 25 à 30 centimètres. C'est une plume de corbeau noir pour les militaires du rang, d'aigle marron pour les sous-officiers et les officiers subalternes et d'oie blanche pour les officiers supérieurs et les officiers généraux.
Cette plume à laquelle les Alpins sont très attachés, a été conservée à toutes les époques pour toutes les coiffures, casque compris, même pour les casques bleus venant de régiments d'Alpins.
Le pompon
C'est le disque en laine où la plume est infilée. En origine, la couleur du pompon distinguait les bataillons à l'intérieur de chaque régiment : le premier bataillon portait toujours un pompon blanc, le deuxième un pompon rouge, le troisième vert, et, là où il y avait un quatrième bataillon, bleu. Les couleurs sont celles du drapeau italien, le bleu est la couleur de la Maison de Savoie.
Ensuite, d'autres pompons ont été créés et ajoutés, avec des couleurs, des chiffres et des sigles correspondant aux spécialités et aux unités des troupes alpines.
Les pompons utilisés aujourd'hui sont les suivants :
Infanterie alpine
Blanc : 5e régiment des Alpins (bataillon Morbegno), 7e régiment des Alpins (bataillon Feltre), 8e régiment des Alpins (bataillon Gemona)
Rouge : 8e régiment des Alpins (bataillon Tolmezzo), Centre alpin d'instruction (bataillon Aoste)
Vert : 2e régiment des Alpins (bataillon Saluces), 6e régiment des Alpins (bataillon Bassano)
Bleu : 3e régiment des Alpins (bataillon Suse), 9e régiment des Alpins (bataillon L'Aquila), Centre alpin d'instruction (sauf le bataillon Aoste), personnel hors du corps
Bleu, disque noir, "B" blanc : supports de brigade
Bleu, disque noir, "CA" blanc : supports de corps d'armée : Unité de commandement COMALP et 4e régiment des Alpins parachutistes
Artillerie de montagne
Vert, ovale noir, n° en jaune : batteries obusiers, batteries SAOC, batteries TST (le chiffre correspond au n° de la batterie)
Vert, ovale noir, "CG" en jaune : BCSL régimentaires (CG = Commandement de Groupe, puisque les batteries de commandement sont liées aux groupes)
Vert, ovale noir sans sigles : personnel hors du corps
Génie, transmissions, services
Amarante : Génie (2e et 32e régiments des sapeurs) et transmissions (2e régiment de transmission)
Violet : Services logistiques (24e régiment)
Les adjudants, les officiers et les supérieurs portent un pompon en métal doré. Les officiers généraux portent un pompon en métal argenté.
L'insigne
Il se trouve sur la partie antérieure du chapeau et marque la spécialité d'appartenance :
Officiers généraux : Un aigle avec une couronne de lauriers et un écusson avec le sigle 'RI' au centre ;
Alpins : Un aigle, un cor, deux fusils croisés ;
Artillerie de montagne : Un aigle, deux cors de chasse, deux canons croisés ;
Génie pionnier : Un aigle, deux cors de chasse, deux haches croisées ;
Génie sapeur : Un aigle, deux cors de chasse, un glaive, une granade enflammée et deux haches croisées ;
Transmissions : Un aigle, deux cors de chasse, une antenne, des éclairs et deux haches croisées ;
Transports et matériaux : Un aigle et un rouage ailé ;
Santé (officiers-médecins) : Un aigle, une étoile à cinq pointes avec une croix rouge, les bâtons d'Esculape croisés ;
Santé (sous-officiers et troupes) : Un aigle, une étoile à cinq pointes avec une croix rouge ;
Administration et commissariat : Un aigle, une couronne tourelée, un rond violet et une couronne de lauriers
La facture du symbole change selon le grade :
Fil métallique doré ou en plastique dorée pour les officiers, les sous-officiers et les militaires de troupe en service permanent ;
Plastique noire pour les militaires en service temporaire
Les grades
Sur le côté gauche du chapeau des Alpins se trouvent les grades, en face de la plume et du pompon, sous forme de galons :
Liste des grades des Alpins
Rang
Grade
Galon
Commentaire
1
Général de corps d'armée
Trois étoiles dorées sur un ruban argenté
2
Général de division avec fonction de grade supérieur
Une étoile dorée bordée en rouge et deux étoiles dorées sur un ruban argenté
3
Général de division avec charges de grade supérieur
Une étoile brunie et deux étoiles dorées sur un ruban argenté
4
Général de division
Deux étoiles dorées sur un ruban argenté
5
Général de brigade avec fonction de grade supérieur
Une étoile dorée bordée en rouge et une étoile dorée sur un ruban argenté
6
Général di brigata avec charges de grade supérieur
Une étoile brunie et une étoile dorée sur un ruban argenté
7
Général de brigade
Une étoile sur un ruban argenté
8
Colonel avec fonctions de grade supérieur
Une étoile dorée bordée en rouge sur un ruban argenté
9
Colonel avec charges de grade supérieur
Une étoile brunie sur un ruban argenté
10
Colonel commandant
Un double galon à l'envers et trois petits galons à l'envers dorés sur un fond rouge
11
Colonel
Un double galon à l'envers et trois petits galons à l'envers dorés
12
Lieutenant-colonel avec fonctions de grade supérieur
Un double galon à l'envers, deux petits galons à l'envers dorés et un petit galon à l'envers bruni bordé en rouge
13
Lieutenant-colonel avec charges de grade supérieur
Un double galon à l'envers, deux petits galons à l'envers dorés et un petit galon à l'envers bruni
14
Lieutenant-colonel
Un double galon à l'envers, deux petits galons à l'envers dorés
15
Major avec fonctions de grade supérieur
Un double galon à l'envers doré et un petit galon à l'envers doré et bordé en rouge
16
Major
Un double galon à l'envers et un petit galon à l'envers dorés
17
Capitaine
Trois galons à l'envers dorés
18
Lieutenant commandant d'unité
Deux galons à l'envers dorés et un galon à l'envers bruni
19
Lieutenant
Deux galons à l'envers dorés
20
Sous-lieutenant
Un galon à l'envers doré
21
Premier adjudant lieutenant
Un galon à l'envers doré marbré de noir sur un fond rouge et une étoile dorée bordée en rouge
22
Premier adjudant
Un galon à l'envers doré marbré de noir sur un fond rouge
23
Adjudant Adjudant ordinaire Adjudant-chef
Un galon à l'envers doré marbré de noir
24
Sergent-chef Sergent Caporal-chef Caporal
Aucun insigne de grade sur le chapeau
L'Alpin et son mulet
Le mulet, un croisement entre un âne et une jument, est devenu pendant la Première Guerre mondiale un duo gagnant des Alpins. En effet, cet animal était utilisé comme moyen de transport de mitrailleuses, d'obusiers et d'autres matériaux. Ensemble avec les Alpins, leurs mulets connurent la faim et le froid du premier conflit mondial, au cours duquel on compta environ 520 000 mulets, provenant surtout de l'Italie du sud.
L'armée italienne disposait de trois types de mulets :
Le mulet de somme, utilisé par l'infanterie ;
Le mulet des Alpins, semblable au précédent, mais avec une structure squelettique plus solide ;
Le mulet de trait, pour les charrettes des bataillons.
Les convois de ravitaillement portaient des vivres, des munitions et le courrier aux détachements en avant-garde, sur les montagnes, n'importe quelles étaient les conditions météorologiques.
Les mulets furent utilisés par les Alpins de 1872 à 1991. Ils furent remplacés par le quad militaire MTC 90 Fresia F18 4x4, mais ils resteront à jamais les meilleurs amis des soldats alpins.
CASTA
Les CASTAs sont les championnats de ski des troupes alpines.
Cette compétition a lieu au Val Pusteria, en Haut-Adige, en particulier dans les communes de Braies, Dobbiaco, Villabassa, San Candido et Sesto. Le premier but est celui de vérifier le niveau de formation et d'instruction atteint par les unités alpines, et deuxièmement pour renforcer les liens d'amitié entre les troupes.
↑28 octobre 1940, 5 h 45 : la division italienne Julia entreprend sa marche sur la Grèce. La guerre italo-grecque : 1940-1941 de Dominique Lormier.
↑L'ouvrage de Dominique Lormier s'achève sur le destin tragique des divisions italiennes sur le front de l'Est en 1943 à la suite du désastre allemand de Stalingrad.
↑La plupart ne reviendront pas, paru en 1947, bouleversa les Italiens. De ce fourvoiement honteux que l'on s'efforça d'oublier - l'alliance avec l'Allemagne -, la campagne de Russie était l'épisode le plus douloureux. Une génération entière fut engloutie dans cette guerre qui ne fut pas la sienne, absorbée à jamais par l'immensité russe et les camps.
↑Eugenio Corti, La plupart ne reviendront pas. [...], des 30 000 Italiens environ du Trente-cinquième corps d'armée encerclé sur le Don, nous étions à peu près 8 000 à être arrivés à Tchertkovo. Le soir du 15 janvier 1943, nous étions 7 000 environ, y compris les troupes que nous avions trouvées dans la ville à notre arrivée. Nous avions été peut-être 5 000 à en partir, et un peu plus de 4 000 à sortir de la poche. De ces 4 000, au moins 3 000 étaient atteints d'engelures ou blessés. Une grande partie des mille qui restaient étaient, eux aussi, en piteux état : les nerfs brisés, malades, pouilleux. Des troupes de ligne d'un corps d'armée actif, il ne restait, après un mois d'encerclement, qu'une poignée de misérables qui avaient du mal à tenir encore debout. Des fantômes plutôt que des hommes. Pages 226.
↑Julien Sapori, Marcher ou mourir, op. cit., p. 182-183. & Egisto Corradi, La ritirata di Russia, p. 90.
↑Tullio Vidulich, Storia degli Alpini, ed. Panorama, Trente (2002)
↑Gary Sheffield, La première Guerre mondiale en 100 objets : Ces objets qui ont écrit l'histoire de la grande guerre, Paris, Elcy éditions, , 256 p. (ISBN978 2 753 20832 2), p. 194-195
Voir aussi
Bibliographie
Germano De Zolt, Gli alpini da AbbaGarima a Nikoljewka, Panfilo Castaldi, Feltre, 1958 ;
Dario Iovino Gavino, Le glorie delle truppe alpine nel centenario della fondazione, Teate, Chieti, 1972 ;
Paolo Proserpio, Le battaglie degli alpini: dalle origini alla campagna di Russia, Varesina éditrice, Varèse, 1972 ;
Emilio Faldella, Storia delle truppe alpine: 1872-1972, Cavalotti Landoni, Milan, 1972 ;
Luciano Vizzi, Gli Alpini, 1872-1945, Ciarrapico, 1978 ;
Carlo Chiavazza, Scritto sulla neve, Città armoniosa, Reggio Emilia, 1980, (ISBN88-7001-106-2) ;
Nuto Revelli, La strada del davai, Einaudi, Turin, 1980 ;
Celestino Margonari, Alpini, una famiglia, Manfrini, 1983, (ISBN88-7024-215-3) ;
Luciano Viazzi, 1940-1943 i diavoli bianchi: gli sciatori nella 2 guerra mondiale: Storia del Battaglione Monte Cervino, Arcana, Milan, 1984, (ISBN88-85008-61-5) ;
Gianni Oliva, Storia degli alpini, Rizzoli, 1985, (ISBN88-17-53583-4) ;
Franco Brunello, Le parole degli alpini, Rossato, 1987, (ISBN88-8130-022-2) ;
Irnerio Forni, Alpini garibaldini. Ricordi di un medico nel Montenegro dopo l'8 settembre, Mursia, Milan, 1992, (ISBN88-425-1155-2), 208pag
G. Paris, Alpini. Canti e immagini, Bellavite, Lecco, 1992, (ISBN88-86832-02-8)
les ouvrages de Mario Rigoni Stern basés souvent sur ses souvenirs de guerre en Grèce et en Russie
Vincio Delleani, Non vogliamo encomi: cronache del 30° battaglione guastatori nella campagna di Russia, 1942-1943, Mursia, Milan, 1996, (ISBN88-425-2115-9)
Giorgio Gazza, Urla di vittoria nella steppa: fronte russo 1943, gli alpini del Val Chiese a Scheljakino, Malajewka w Arnautowo, Murisa, Milan, 1996 (ISBN88-425-2103-5)
(en) Hope Hamilton, Sacrifice on the Steppe: The Italian Alpine Corps in the Stalingrad Campaign, 1942-1943, Casemate Books, (ISBN978-1612003924)
Julien Sapori, Marcher ou mourir : Les troupes italiennes en Russie, 1941-1943, Tours/59-Linselles, Editions Sutton, coll. « Monographies », , 272 p. (ISBN978-2-8138-1124-0)
David Zambon, Les Italiens sur le front de l'Est : Juillet 1941 - Mars 1943, Chamalières/30-Nîmes, Lemme, coll. « Illustoria », , 115 p. (ISBN978-2-917575-79-6)
Untuk kegunaan lain, lihat Lost Highway. Lost HighwayAlbum studio karya Bon JoviDirilis8 Juni 2007 (2007-06-08)(see Release history)DirekamNashville, Los AngelesGenreHard rock, country rockDurasi49:50LabelIsland / Mercury NashvilleProduserDann Huff John Shanks Desmond Child (Executive Producer)Kronologi Bon Jovi Have A Nice Day (2005)Have A Nice Day2005 Lost Highway (2007) The Circle (2009)The Circle 2009 Templat:Extra album cover 2 Singel dalam album Lost Highway (You Want to) Make ...
Gereja Katedral PangkalpinangGereja Katedral Santo Yosef PangkalpinangLokasiPangkalpinang, Bangka BelitungNegaraIndonesiaDenominasiGereja Katolik RomaArsitekturStatus fungsionalAktifTipe arsitekturGerejaAdministrasiKeuskupanKeuskupan Pangkalpinang Gereja Katedral Pangkalpinang atau yang bernama lengkap Paroki Katedral Santo Yosef Pangkalpinang adalah sebuah gereja katedral Katolik di Pangkalpinang, Bangka Belitung. Gereja Katedral Pangkalpinang didekisasikan untuk Santo Yosef. Katedral ini me...
Andrew OgilvyOgilvy with the Vanderbilt Commodores in 2010Personal informationBorn (1988-06-17) 17 June 1988 (age 35)Sydney, New South WalesNationalityAustralian / IrishListed height211 cm (6 ft 11 in)Listed weight115 kg (254 lb)Career informationHigh schoolOakhill College(Sydney, New South Wales)CollegeVanderbilt (2007–2010)NBA draft2010: undraftedPlaying career2005–2022PositionCenterCareer history2005–2007Australian Institute of Sport2010–2011Beşikta�...
Halaman ini berisi artikel tentang kota. Untuk kabupaten bernama sama, lihat Kabupaten Tangerang. Untuk kegunaan lain, lihat Tangerang (disambiguasi). Koordinat: 6°10′17″S 106°38′26″E / 6.17139°S 106.64056°E / -6.17139; 106.64056 Kota TangerangKotaTranskripsi bahasa daerah • Aksara SundaᮒᮍᮨᮛᮀDari Atas, Kiri ke kanan: CBD Alam Sutera, View Kota Tangerang dari Ketinggian, Bundaran Kota Tangerang, Kawasan Karawaci, Menara Jam Banjar ...
Painting by Pablo Picasso Yo, PicassoEnglish: I, PicassoArtistPablo PicassoYear1901 (1901)MediumOil on canvasMovementBlue PeriodDimensions73.5 cm × 60.5 cm (28.9 in × 23.8 in)LocationPrivate collection Yo, Picasso (English: I, Picasso), is an oil-on-canvas painting by Pablo Picasso, which he painted in 1901. It is a self-portrait of the artist that depicts him in his youth, aged 19. The painting was created at the beginning of Picasso's Blue Pe...
1972 Polish parliamentary election ← 1969 19 March 1972 1976 → All 460 seats in the Sejm Majority party Minority party Third party Leader Edward Gierek Stanisław Gucwa Zygmunt Moskwa Party PZPR ZSL SD Last election 255 seats 117 seats 39 Seats won 255 117 39 Seat change 0 0 0 Parliamentary elections were held in Poland on 19 March 1972.[1] The results, like with the other elections in communist Poland, were controlled by the communi...
This article has multiple issues. Please help improve it or discuss these issues on the talk page. (Learn how and when to remove these template messages) This article needs additional citations for verification. Please help improve this article by adding citations to reliable sources. Unsourced material may be challenged and removed.Find sources: I Get Money Birdman song – news · newspapers · books · scholar · JSTOR (May 2020) (Learn how and when ...
Ловля методом херабуна Херабуна (англ. herabuna, от яп. ヘラブナ, — японский белый карась) — любительский способ ловли рыбы на поплавочную снасть на специализированные насадки, а также насадки, снасть и удилища, используемые при этом способе. Ловля заключается в забрасыва...
Voce principale: Potenza Sport Club. Potenza Sport ClubStagione 1967-1968Sport calcio Squadra Potenza Allenatore Alfredo Mancinelli poi Antonio Pin Presidente Giovanni Ferri Serie B21º posto. Retrocesso in Serie C. Coppa ItaliaQualificazione al secondo turno. Maggiori presenzeCampionato: Colautti, Zanon (34) Miglior marcatoreCampionato: Pagani (6) 1966-1967 1968-1969 Si invita a seguire il modello di voce Questa pagina raccoglie le informazioni riguardanti il Potenza Sport Club nelle c...
Voce principale: Società Sportiva Lazio. SS LazioStagione 1939-1940 Sport calcio Squadra Lazio Allenatore Géza Kertész Presidente Remo Zenobi, poi Andrea Ercoli Serie A4º Coppa ItaliaQuarti di finale Maggiori presenzeCampionato: 2 giocatori[1] (30)Totale: 2 giocatori[1] (33) Miglior marcatoreCampionato: 2 giocatori[2] (9)Totale: Piola (10) Stadiodel Partito Nazionale Fascista 1938-1939 1940-1941 Si invita a seguire il modello di voce Questa voce raccoglie le ...
MTV television series This article is about the TV show. For the soundtrack, see Celebrity Deathmatch (soundtrack). For the video game, see Celebrity Deathmatch (video game). Celebrity DeathmatchGenreSports entertainmentStop-motion (clay animation)Dark comedyParodyCreated byEric Fogel[1]Developed byEric FogelGordon BarnettDirected byEric Fogel (1998–2002)Andrew Horne (2006–2007)Jack Fletcher (2006)StarringSteve Austin (1998-2002) Maurice Schlafer (1998–2002)Len Maxwell (1998–2...
Dutch swimmer (born 1965) In this Dutch name, the surname is van Bentum, not Bentum. Conny van BentumConny van Bentum in 1983Personal informationFull nameCornelia van BentumNationality NetherlandsBorn (1965-08-12) 12 August 1965 (age 58)Barneveld, NetherlandsSportSportSwimmingStrokesButterfly Medal record Olympic Games 1984 Los Angeles 4×100 m freestyle 1988 Seoul 4×100 m freestyle 1980 Moscow 4×100 m freestyle World Championships (LC) 1982 Guayaquil 4×100 m freestyle 1986 ...
Ini adalah nama Korea; marganya adalah Choi. KantoInformasi latar belakangNama lahirChoi Kwang-ryulLahir23 Mei 1994 (umur 30)Provinsi Gyeonggi, Korea SelatanGenreHip hopPekerjaanrapperkomposerInstrumenVokalTahun aktif2014–sekarangLabelBrand New MusicArtis terkaitTroy Nama KoreaHangul최광렬 Alih AksaraChoe Gwang-ryeolMcCune–ReischauerChoe KwangryŏlNama panggungHangul칸토 Alih AksaraGan-To Choi Kwang-ryul (lahir 23 Mei 1994),[1] lebih dikenal dengan nama panggungnya Kanto...
American physician, educator, and phonologist of Japanese (1815–1911) James Curtis HepburnBornMarch 13, 1815 (1815-03-13)Milton, Pennsylvania, U.S.DiedSeptember 21, 1911(1911-09-21) (aged 96)East Orange, New Jersey, U.S.NationalityAmericanAlma materPrinceton University University of PennsylvaniaKnown forMedical missions in China and Japan Hepburn romanization system James Curtis Hepburn (/ˈhɛpbərn/; March 13, 1815 – September 21, 1911) was an American physician, edu...
1932 United States House of Representatives election in Minnesota ← 1930 November 8, 1932 1934 → Nominee Magnus Johnson Paul J. Kvale Henry M. Arens Party Farmer–Labor Farmer–Labor Farmer–Labor Popular vote 388,616 380,444 361,724 Percentage 5.00% 4.90% 4.65% Nominee Ernest Lundeen Theodore Christianson Einar Hoidale Party Farmer–Labor Republican Democratic Popular vote 350,455 337,110 321,949 Percentage 4.51% 4.34% 4.14% Nominee R...
Cet article dresse la liste des députés élus dans le département des Côtes-d'Armor, appelé Côtes-du-Nord jusqu’en 1990. Article connexe : Liste des circonscriptions législatives des Côtes-d'Armor. États généraux puis Assemblée constituante de 1789 Articles connexes : Liste des députés aux États généraux de 1789 et Liste alphabétique des membres de l'Assemblée constituante de 1789. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est...