Czechoslovak War Cross (en) Military Order of the White Lion (en) Milan Rastislav Stefanik Order (en) Ordre militaire pour la liberté (d) Croix de guerre 1939-1945 Commemorative medals of the Czechoslovak army abroad (d) Croix de la Défense de l'État (d)
Né à Rešice, près de Dukovany, il est le fils illégitime de Viktor Jarolím (1889-1942) et d'Anežka Opálková. Après la mort de sa mère en 1923, Opálka vécut chez sa tante Marie Opálková (1882-1942)[1]. Il suivit des études entre 1932 et 1936 avant de rejoindre l'armée tchécoslovaque peu après son diplôme[2]. Il servit dans le 43e régiment d'infanterie à Brno puis il fréquenta l'académie militaire de Hranice. Il intégra ensuite le 2e régiment de montagne à Ružomberok en tant que lieutenant.
Les accords de Munich mirent un terme à cette carrière militaire. Opálka dut fuir la Tchécoslovaquie avec son cousin František Pospíšil. Il s'engagea dans la Légion étrangère et fut sergent à Sidi Bel Abbès puis Oran. Après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, il partit pour Agde où essayait de renaître une armée tchécoslovaque[3].
En représailles, son père et sa tante furent assassinés.
Le nom d'Adolf Opálka est gravé sur un monument des Jephson Gardens(en), à Royal Leamington Spa, où l'armée tchécoslovaque en exil avait ses quartiers pendant la Seconde Guerre mondiale