En partie détruite, l'abbaye conserve actuellement les restes d'une aile romane édifiée au XIe siècle, qui compte parmi les plus anciens bâtiments conventuels existant en France. Elle héberge depuis 1930 le musée archéologique de Dijon.
Situation géographique
L'abbaye Saint-Bénigne de Dijon est située à l'ouest du centre actuel de la ville, à l'angle des rues Michelet, Mariotte, Danton et Condorcet. Cependant, dans les premiers temps, elle était située à l'extérieur du castrum de Dijon, auquel elle a progressivement été reliée par le développement d'un bourg entre les deux constructions.
Histoire de l'abbaye
Fondation de l'abbaye
L'origine de l'abbaye est entourée de légendes, liées à la personnalité de saint Bénigne de Dijon qui serait apparu à l'évêque Grégoire de Langres pour lui demander d’élever un oratoire sur son tombeau. Cette histoire, rapportée par Grégoire de Tours, petit-fils du précédent, est probablement une façon pour la hiérarchie ecclésiastique de canaliser des dévotions populaires qui pouvaient être héritées du paganisme[1]. Quoi qu'il en soit, l'établissement religieux est donc attesté dès le VIe siècle. Il appartenait directement aux évêques de Langres[2]. Une communauté de moines y est attestée dès le VIIIe siècle, mais pourrait avoir été présente dès le VIe siècle[3]. Vers 870, le monastère est transformé : l'évêque de Langres Isaac et le roi Charles le Chauve y introduisent la règle bénédictine[2].
Réforme de Guillaume de Volpiano
En 989, Guillaume de Volpiano est envoyé à Dijon par l'abbé Mayeul de Cluny avec douze moines pour réformer l'abbaye, à la demande de Brunon de Roucy, évêque de Langres, . Elle n'est cependant pas affiliée juridiquement à l'ordo cluniacensis et garde son indépendance[4]. Brunon et Guillaume, d'un commun accord, se lancent en 1001 dans une ambitieuse reconstruction de l'église abbatiale, avec une basilique doublée d'une rotonde. Cette construction est un symbole du renouveau de la vie monastique mais aussi le fruit de la nécessité, compte tenu de l'adoption des usages clunisiens ainsi que de l'accroissement de la communauté : douze en 990, les moines sont en effet 80 en 1016, lorsque la construction de la basilique s'achève. La rotonde est terminée deux ans plus tard[5].
En parallèle, Brunon de Roucy s'emploie à affermir la situation financière de l'abbaye en restaurant ses possessions temporelles, tandis que plusieurs grands seigneurs de la région participent financièrement, notamment Otte-Guillaume, comte de Mâcon et avoué de l'abbaye jusqu'en 1016[5].
Le successeur de Guillaume de Volpiano, l'abbé Halinard, fait reconstruire les bâtiments conventuels dans les années 1030-1040, autour du cloître situé au nord de l'église et non au sud comme il est d'usage, peut-être à cause de la présence d'un cimetière ou d'un autre lieu sacré à cet endroit[6].
Reconstructions successives
En 1137 un important incendie ravage Dijon et l’abbatiale (seule la rotonde est épargnée par les flammes). L’abbé Pierre de Genève reconstruit l’église presque entièrement en architecture romane.
En 1791 durant la Révolution française, à la suite de la dissolution des ordres religieux à vœux solennels, les derniers moines quittent l'abbaye et en 1792 l'abbatiale (devenue d'abord église paroissiale) est consacrée cathédrale.
L'abbaye bénéficie de plusieurs protections aux monuments historiques : un classement pour son cellier le , une inscription pour l'ancien logis abbatial le [9].
La salle du chapitre date de la première moitié du XIe siècle ; elle est la plus ancienne salle capitulaire encore en élévation en France.
Jusqu'au XVe siècle, elle garde cette fonction et sert de lieu d'inhumation (4 sépultures furent relevées dans cette pièce, 5 abbés et 2 seigneurs).
Elle est plus tard transformée en cave par les moines de la congrégation de Saint-Maur qui s'installent dans l'abbaye au XVIIe siècle. Selon le plan mauriste de 1670, le chapitre est transféré au premier étage, dans le dortoir gothique.
Scriptorium
La salle attenante à la salle capitulaire longue de 30 mètres date elle aussi de la première moitié du XIe siècle. Elle est supposée être le scriptorium. Le rehaussement du niveau du sol en mille ans d'existence a transformé cette salle située autrefois au rez-de-chaussée, en crypte. Les accès extérieurs qui donnaient sur le cloître ont été condamnés.
Le dortoir est construit à la fin du XIIIe siècle, au-dessus du scriptorium de l'époque romane. Il est construit avec des voûtes d’ogives, en style gothique.
En 1652, les mauristes font surélever l'aile par un niveau supplémentaire pour ajouter de nouvelles cellules. Les baies sont agrandies. Le toit est recouvert de tuiles plates de couleurs: blanches, noires, rouges et vertes.
Dortoir des moines construit au XIIIe siècle (style gothique)
Située à l'entrée de l'abbaye, elle accueillait les pèlerins et les voyageurs.
Cloître
Cloître roman avec ses quatre ailes qui desservaient les principaux édifices abbatiaux.
On a retrouvé dans le cloître, les sépultures de 65 personnes réparties de la façon suivante :
Galerie orientale
Elle forme un angle droit avec l'église et abritait la salle capitulaire, le scriptorium au niveau du rez-de-chaussée et le dortoir au niveau I, les autres bâtiments : cuisine, réfectoire, bibliothèque, logement de l'abbé ont tous disparus en élévation. Dans cette galerie furent retrouvées les sépultures de:
14 moines, 11 seigneurs, 1 duc, 1 curé, 3 abbés
La rivière du Raisne, affluent de l'Ouche traverse les jardins inférieurs de l'abbaye[10].
Cimetière
Au Moyen Âge l'investiture du maire et des échevins se faisait dans le cimetière de l'abbaye Saint-Bénigne en face au portail de l'église Saint-Philibert[11].
Sculptures
Les différents édifices de l'abbaye furent ornés de plusieurs tympans richement sculptés. L'un ornait la façade occidentale de l'abbatiale, connu par une gravure, et dont quelques éléments sont conservés au Musée Archéologique. Les gravures de dom Plancher conservent le souvenir d'un tympan représentant le martyr de Benigne. On a parfois supposé qu'il provenait aussi de la façade occidentale, mais cela paraît peu probable. Son emplacement originel reste inconnu[12].
Un autre fut découvert en 1833 dans les maçonneries de l'église. Plusieurs fois déplacé, son emplacement d'origine est difficile à déterminer. Il ne semble pas possible cependant qu'il s'agisse du portail donnant dans le cloître comme on l'a pensé au XIXe siècle. Lors des travaux menés par les mauristes, il fut remployé comme décors de l'enfeu du tombeau du cardinal de Givry. Il représente le Christ en majesté, entouré des quatre vivants. Il pourrait être daté de la fin du XIIe siècle[12].
Un autre décorait la porte du cloître donnant accès au réfectoire, décoré de la Cène. Sa réalisation pourrait être placée dans le second tiers du XIe siècle. Assez différent des autres tympans sculptés de l'abbaye, ses sculptures se rapprochent du "relief Crosby" retrouvé à Saint-Denis[12].
Une clé de voûte, en Pierre d'Asnières, taillée, 1281-1287.Inv.Arb 1140, conservée au musée archéologique de Dijon, François Perrodin.
Cette clef de voûte décorée d'un masque de feuilles enrichissant le programme sculpté de l'abbaye Saint-Bénigne[13][style à revoir]
Sépultures
(liste non exhaustive)
Il reste un rouleau des morts de 1439-1441 n°: LXXXII conservé à la Bibliothèque de Troyes, ms 2256 et qui a fait l'objet d'un article dans Bibliothèque de l'École des Chartes, 1867, vol 28, 4e série, III, 153.
On a retrouvé dans plusieurs endroits de l'abbaye 86 sépultures dont deux d'abbés dont le lieu d'inhumation n'a pu être déterminé.Elles sont aujourd'hui conservées dans la crypte actuelle, à l'étage inférieur de la rotonde du XIe siècle[14]
1132 - Pierre de Saint-Bénigne, gisant disparu, connu par dessin le représentant dans un enfeu[15]
1241 - Hugues, chambrier de St Bénigne, inhumé dans le cloître, tombe plate disparue, connue par dessin[16]
1242 - Nicolas de Flavigny. Cet abbé de Flavigny contracta une association tant pour lui que ses successeurs entre son abbaye et l'abbaye Saint-Bénigne de Dijon (charte de )[17]. André Joseph Ansart, Histoire de Sainte-Reined Alise et de l'abbaye de Flavigny, Paris, 1783, p. 354-355.
1267 - Gauthier de Saulx, pierre plate disparue, connue par dessin, représenté en armure debout une lance dans la main droite, une épée au flanc gauche et tenant son bouclier en forme d'écu qu'il tient par le haut à hauteur de sa taille, dans une ouverture encadrée de deux colonnettes surmontées d'un arc trilobé, au-dessus duquel se trouve de part et d'autre un ange. Il est monté sur deux chiens à ses pieds, un aigle au-dessus de sa tête. L'épitaphe court et se lit à partir du haut vers la droite tout autour de la pierre[20].
1271 - Othe de Beire, pierre tombale plate disparue, connue par dessin
1378 - Hugues d'Arc, pierre plate disparue, connue par dessin figurant une épée sur la gauche, son sceau au milieu et son écu à droite avec sur le pourtour son épitaphe[24]
1379 - Pierre de Courbeton, docteur en théologie, abbé de St Bénigne de Dijon, plate tombe disparue, connue par dessin, représenté à genoux et priant les mains jointes sur la poitrine
1408 - Jacques Dampnon de Semur, pierre tombale plate disparue, connue par dessin
1413 - Simon de Vaulx, pierre plate conservée, mais déplacée, enfouie dans le sol
1417 - Alexandre de Montaigu, premier abbé de l'abbaye de Flavigny, inhumé dans le chœur de St Bénigne, plate tombe disparue, dalle de cuivre, connue par dessin[25]
1432 - Renaud de Genlis, plate tombe disparue, connue par dessin[26]
1434 - Étienne de La Feuillée, pierre plate disparue, connue par dessin
1450 - Jean de Ronchal, pierre plate disparue, connue par dessin
1462 - Charles Dombois, tombe plate dans laquelle sera inhumé en 1479 Godefroi Dombois.
1464 - Inconnu, pierre plate disparue, connue par dessin
1465 - Thibault de Noydent, ou de Noidant et Bénigne Chamilly (milieu XVe siècle), plate tombe disparue, connue par dessin représentant deux religieux, la capuche de leur bure rabattue sur le devant du visage avec au-dessus de chacun d'eux un phylactère[27]
1468 - Hugues de Montconis, abbé, plate tombe disparue, connue par dessin[28]
1468 - Humbert de Poilley, plate tombe disparue, connue par dessin
1473 - Jacques de Montmorte, pierre plate disparue, connue par dessin
1476 - Gauthier de Fallerans, pierre plate disparue, connue par dessin
1479 - Benoît de la Praye, pierre plate disparue, connue par dessin
1479 - Godefroi Dombois, tombe plate dans laquelle reposait déjà depuis 1462, Charles Dombois aujourd'hui disparue, connue par dessin sur laquelle sont gravés deux corps l'un en bure à gauche, l'autre en armure à droite les deux les mains jointes sur la poitrine[29]
1481 - Guillaume Regnauldin, pierre plate disparue, connue par dessin
1483 - André de Montmoret, pierre plate disparue, connue par dessin
1498 - Robert de Vaulx, pierre plate disparue, connue par dessin
1499 - Guillaume de Loges, pierre plate, disparue, connue par dessin
1499 - Pierre de Fontette, pierre plate disparue, connue par dessin
1503 - Garnier, pierre plate disparue, connue par dessin
1508 - Jean Callot, plate tombe disparue, connue par dessin, conservé dans les réserves du musée archéologique de Dijon. Gravures en biseau caractéristique de la fin de la période médiévale
1518 - Jean de Lantenay, tombe plate, dans laquelle sera inhumé Jean de Vigny en 1546conservée et dressée avec la représentation des deux personnages sur la pierre.
1519 - Claude de Charmes, inhumé dans le chœur de l'église abbatiale, tombe plate, disparue, connue par dessin[30]
1522 - Guillaume Sequanier, abbé, plate tombe, conservée et dressée reproduit dans Grillon page 305.
1522 - Pierre Henri, tombe plate conservée et dressée, en habit religieux, en 1545, un autre religieux y sera inhumé Jacques Perchet, les deux étant représentés sur la pierre tombale.
1540 - Flocelin, tombe plate disparue, connue par dessin
1545 - Jacques Perchet, inhumé avec Pierre Henry (1522) les deux en bure
1547 - Inconnu, pierre plate disparue, connue par dessin
s. d. - Abbé de St Bénigne, gisant disparu, connu par dessin
s. d. - Abbé de St Bénigne, gisant disparu, connu par dessin
s. d. - Nicolas de Flavigny, tombe plate disparue, connue par dessin
s. d. - Richard Bigot, tombe plate disparue, connue par dessin
s. d. - Hugues, religieux de St Bénigne, tombe plate disparue, connue par dessin[31]
Armoiries
D'azur à deux lances d'or posées en sautoir, accompagnées d'un levier d'argent en chef et d'un ange de même en pointe.
item :
D'azur à un saint Bénigne de carnation vêtu d'une aube d'or et d'une chasuble d'argent, les flancs percés de deux lances d'or en sautoir, les doigts percés d'alènes de même, et le front sommé d'un levier d'argent.
Sceau
1208: rond, à un saint Bénigne en buste, nimbé, barbu, vêtu d'une chasuble, tenant de la main droite une palme, et de la main gauche un livre
Légende : SIGILLVM SANCTI BENIGNI BVRGVNDIONVM APOSTOLI
1237 : Rond à un saint Bénigne à mi-corps, nimbé, imberbe, vêtu d'une aube, et d'une chasuble, tenant à la main droite une palme, et de la main gauche un livre, accompagné de deux dextrochères mouvant du flanc, tenant chacun une lance dont on aperçoit que la hampe, le fer étant longé dans le corps du martyr.
Légende : SIGILLVM CONVENTVS SANCTI BENIGNI DIVIONIS
Gui de Jaucourt (vers 1325-vers 1386), fut prévôt de cette abbaye et abbé de celle de Moutiers-Saint-Jean (1363-1386).
1671 : dom Thomas Le Roy, célérier et procureur, achève cette année-là son manuscrit sur l'histoire de l'abbaye et meurt quelque temps plus tard.
Trésor
N'ayant pas de trésor selon les termes de la loi de 1913 qui prévoit que celui est constitué par les œuvres en péril au sein du Diocèse et que ce dernier est de constitution récente (1730), pour y suppléer, un musée d'art sacré est créé en 1980.
Archives
Parmi les documents anciens concernant l'abbaye nous avons des IXe siècle et XIIe siècle, conservés à la Bibliothèque municipale de Dijon:
Les Archives de l'abbaye conservées depuis La Révolution aux Archives départementales de la Côte-d'Or représente près de 1 800 articles en faisant l'un des fonds religieux les plus importants. Elles portent principalement sur la gestion des biens de l'abbaye.
Iconographie
1674 - Abbaye Saint-Bénigne vue cavalière par Dom Prinstet, conservée à la Bibliothèque nationale de France ;
1792 - Démolition de la Rotonde , huile sur toile, tableau témoignage réalisé par Favier, cuisinier maître d'hôtel de l'évêque, Mgr de Mérinville. Propriété de la Commission des Antiquités, dépôt de l'Académie à la Bibliothèque municipale de Dijon[34] ;
1995 - Maquette de l'abbaye, réalisée par Laurent Renou et conservée au Musée archéologique de Dijon ;
1995 - Photographies de F. Perrodin de la Ville de Dijon.
Sources et bibliographie ancienne
12347 - Ms Chronicon breve Sancti-Benigni Divionenfis. Cette chronique était conservée au XVIIIe siècle dans la bibliothèque de monastère et dans celle du président Bouhier à Dijon.
12348 - auteur anonyme: Chronica venerandorum Abbatum illuftriumque Sanct-Benigni Divionenfis Monafterii Benefactorum atque Fundatorum, ab anno 485, ufque ad annum 1052, auctore anonymo Monacho hujus loci. Cette Chronique fut imprimée Dans Dom Luc d'Achery au tome I de son Spicilége p. 353[35]
12349 - Ejufdem Chronici continuatio ufque ad annum 1513. Cette Continuation est imprimée au tome I du Spicilége de Dom Luc d'Achery, p. 472[36].
12350 - Ismaël Bouillaud, (Ifmaelis Bullialdi) Diatriba de Sancto Benigno, fcrita anno 1640: Parifiis, 1657 in-8[37]
12351 - Abbé Philibert Papillon, Dissertation dans laquelle on montre que l'auteur de la Chronique Latine de Saint-Bénigne de Dijon, est un religieux anonyme[38].
12352 - Excerpta ex Chronico Sancti-Begnini Divionensis ab anno 753, ad annum 1223[39]
12353 - Ms Series Abbatum Sancti-Benigni Divionensis, ufque ad annum 1651; à Petro Franicisco Chiffletio, è Societate Jefu: exerpta ex Appendice quam Chronico Begnigniano adjecit[40]
12354 - Ms Histoire du Monastère de Saint-Bénigne de Dijon ou plutôt, Petites Remarques et Mémoires des choses anciennes et nouvelles arrivées en icelui pour plus facilement, par quelque personne intelligente, en composer une histoire fidèle, le tout recueilli et composé sur les titres et enseignements gardés ès archivés et Trésor dudit Saint-Bénigne etc. par Dom Thomas Le Roy, célérier et Procureur de ce Monastère; in-4° de 1121 pages. Cette Histoire était conservée dans la Bibliothèque de cette abbaye et se termine au , l'auteur mourut peu de temps après.
12355 - Mémoire apologérique por les religieux de Saint-Bénigne de Dijon sur l'accusation de s'être prévalus de Bulles fausses et supposées etc... - Mémoire pour les mêmes (au Grand Conseil) contre M. Poncelet de la Rivière, Évêque de Troyes, abbé de Saint-Bénigne et le sieur Pioret pourvu du Doyenné-Cure de Saint-Jean de Dijon, 1762 in-4° - Mémoire pour le sieur Pioret etc. contre les religieux, 1762, in-fol. Il s'agit du droit de nomination à la Cure de Saint-Jean de Dijon qui a été jugé alternatif entre l'Abbé et les Religieux.
12356 - Jean Mabillon, De fancto Bertillone Chorepifcopo & Abbate Monafterii Sancti-Benigni apud Divionen; auctore:Joanne Mabillon, Benedicto è Congregatione fancti Mauri[41]
12357 - Rodolphe Glabro, Monacho Cluniacenfi ejus æquali, Vita Sancti Guillelmi, Abbatis[42]
12358 - Il Monachifmo illuftrato di fan Gulielmo, Abbate Divionenfe, Panegerica Storia; di Francefco Amedeo Ormea, della Congregatione dell' Oratorio:in Torino Zapatta, 1623, in-fol. La même histoire traduite de l'Italien par Antoine Girard, Jésuite, Paris 1676, in-12°.
12359 - Histoire de la Vie & des Ecrits du même saint Guillaume; par D. Antoine Rivet, Bénédictin dans L'Histoire littéraire de France, t.VII, p. 318-325. Cet abbé est mort en 1031
12360 - Histoire de la Vie & des Ecrits de Javenton, abbé de Saint-Bénigne de Dijon par D. Antoine Rivet, bénédictin. Dans cet ouvrage, cet abbé est mort au t.IX, p. 526-554 en l'année 1112 ou 1113.
L'ensemble bibliographique ci-dessus de 12347 à 12360 est la bibliographie inscrite dans : Bibliothèque historique de la France, contenant..., par feu Jacques Lelong, prêtre de l'Oratoire, nouvelle édition par Fevret de Fontette, Conseiller au Parlement, Paris, 1778, p. 765-766.
Notes et références
↑Du culte des reliques à celui du Précieux Sang, dans Tabularia « Études », n° 8, 2008, p. 81-88 - lire en ligne.
↑Aujourd'hui cette rivière est canalisée en partie souterraine
↑Paul Foisset, « Saint-Philibert de Dijon et l’architecture romane en Bourgogne. », Mémoires de la Commission des antiquités du département de la Côte-d’Or, t. 6, 1861-1864, p. 5.
↑dans Vaivre, 1986, planche no 75 et Guillaume Grillon, op.cit., p.68. fig 101 au centre.
↑dessin de Pierre Palliot (J-B de Vaivre, Dessins inédits...) & gravure d'Ernest Petit dans Histoire des Ducs de Bourgogne..., t.VIII, pl10; calque de la CACO (fonds 69 J 74 Dijon II)
↑G. Dumay, Epigraphie bourguignonne.., planche 2, n°XLVII et dans Guillon, p.180, fig no 19. et dans G. Dumay, Epigrraphie Bourguignonne... reproduit dans Grillon, p.285, fig 224.
↑dessin reproduit dans Guillaume Grillon, op.cit, fig 101, p.68.
↑dessin conservé dans Adhémar et Dordor, 1974, p.186, planche 1048
↑Calque reproduit dans Guillaume Grillon, op.cit, p. 154, fig no 69.
↑BnF, Ms de la Collection Bourgogne, tome XI, reproduit dans Grillon, p.267, no 189
↑Guillaume Grillon, l'Ultime message: étude de monuments funéraires de la Bourgogne ducale XIIeXVIe siècle, thèse de doctorat, Université de Bourgogne ED LISIT 491-UMR 5594 ARTeHIS, 2 décembre 2011, p. 56. Dessin dans J-B de Vaivre, Dessins inédits..., 1986, planche 225.
↑J. Adhemar, Les tombeaux de la collection Gaignières..., planche no 1470
↑E. Petit, Histoire des Ducs de Bourgogne de la race capétienne, t.V, planche 12, reproduit dans Grillon, p.270, figure 194
↑« Et il y a beaucoup de choses semblables dans la Chronique de St Bénigne de Dijon et dans celle de Beze, en sorte que la première paraît avoir été copiée de l'autre. Dom Luc d'Achery qui les a données toutes les deux dans le premier volume de son "Spicilége", a omis plusieurs endroits de la dernière, déjà imprimés dans celle de Saint-Bénigne, qui est néanmoins plus récente. C'est ce que dit le Père le Cointe, au tome V de ses "Annales de l'Église de France", sur l'année 754, no 60&66. Adrien de Valois croit le contraire, car il dit que la première est plus ancienne, ce qu'il assure page 58 de la Défense de son Observation sur les années du règne de Dagobert, l'auteur de la Chronique de St Bénigne de Dijon a vêcu dit-il, environ quatre cents ans après Frédégaire, qui est mort en 641 et celui de la Chronique de la Fontaine de Beze, a vêcu environ cinq cents ans après le même Frédégaire. Il ajoute ensuite que ces deux chroniqueurs l'ont copié avec négligence et qu'ils se sont plus mis en peine de rapporter ce qui regardait les affaires de leurs monastères, que ce qui concernait celles du Royaume. cet habile homme a sans doute jugé de ces deux Chroniques par leurs dernières dates, celle de St Bénigne finissant en 1052 et celle de Beze en 1229. Mais il n'a pas fait attention que celle-ci a été continuée environ l'an 754; car l'auteur dit qu'il a appris de témoins oculaires un fait qui se passa dans ce temps-là: il parle d'une Anglaise qui était la maîtresse de Rémi, frère de Pépin, lequel Rémi gratifia cette Anglaise des revenus de l'Abbaye de Beze: c'est ce qu'a observé le Père Pommeraye dans la "Vie de Saint Rémi" selon l'Abbé Des Thuilleries, qui m'a communiqué cette observation. Cela arrive en 754 depuis l'élection de Pépin et avant son second sacre » remarque de Jacques Lelong, prêtre de l'Oratoire dans son ouvrage "Bibliothèque Historique de la France" t.I, nouvelle édition, Paris, 1778, p.765-766.
↑Voyez sur cette Chronique, Le Gendre t.II, p.23= Recueil des Historiens de France, t.III, Préface, p.14
↑Le Père des Molets a fait réimprimer dans "Ses Mémoires de Littérature", t.IV, p.206, part.I, cette dissertation d'Ismaël. Cet auteur est mort en 1694. Il fait une critique de la Chronique précédente. Mr Bouillaud ne critique que l'époque de la mission de St Bénigne. En avouant qu'on ne peut rien déterminer sur le temps de la vie et de la mort de ce saint, il prétend prouver qu'il n'a pu être envoyé par St Polycarpe, après la mort de St Irénée, ni souffrir lui-même le martyre sous Marc-Aurèle, que le Chronologue anonyme appelle par ignorance Aurélien
↑Elle se trouve dans les Mémoires de Littérature du Père Des Molets, t.IV, part.I, p.224
↑Ces extraits sont imprimés dans Labbe, au t.I de sa Nouvelle Bibliothèque des Manuscrits, p.293, Chronique différente de la précédente.
↑Suire conservée au XVIIIe siècle dans la Bibliothèque des Prêtres de l'Oratoire Saint-Maglore de Paris, entre les Manuscrits de MM de Sainte-Marthe.
↑Ceci est imprimé au tome VI des Actes des Saints de l'Ordre de Saint-Benoît, p. 338. Ce saint est mort en 878.
↑Cette Vie est imprimée dans Robeverius, qui a publié L'Histoire de l'Abbaye de Mouftiers-Saint-Jean, Prifiis, 1637, in-4° dans le " Recueil" de Bollandus auI de Janvier et au Tome VIII des Actes des Saints de l'Ordre de Saint-Benoît, p.320. Ce saint est mort dans l'abbaye de Fécamp dont il est censé être le premier abbé.
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Dominique Dinet, « Saint-Bénigne au temps de la congrégation de Saint-Maur », Annales de Bourgogne, vol. 76, no 1, , p. 41-58 (lire en ligne).
Erica Gaugé, « La salle du chapitre de l'ancienne abbaye Saint-Bénigne de Dijon », Bulletin du centre d'études médiévales d'Auxerre | BUCEMA, no 14, (DOI10.4000/cem.11625, lire en ligne, consulté le )
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Neil Stratford, « Remarques sur les quatre tympans du XIIe siècle de Saint-Bénigne de Dijon. », Congrès archéologique de France, vol. 1994, no 152, , p. 225-237 (lire en ligne).
Eliane Vergnolle, « Saint-Bénigne de Dijon. Cinquante ans de recherche sur l'abbatiale de l'an mil », Bulletin monumental, vol. 172, no 2, , p. 131-164 (ISBN978-2-901837-63-3)
Sili bambu Macrognathus aculeatus Status konservasiRisiko rendahIUCN166456 TaksonomiKerajaanAnimaliaFilumChordataOrdoSynbranchiformesFamiliMastacembelidaeGenusMacrognathusSpesiesMacrognathus aculeatus Bloch, 1786 Tata namaSinonim takson Ophidium aculeatum Bloch, 1786 Mastacembelus aculeatus (Bloch, 1786) Rhyncobdella aculeata (Bloch, 1786)[1] lbs Belut bambu, Macrognathus aculeatus, adalah ikan air tawar tropis Asia Tenggara yang termasuk dalam famili Mastacembelidae . [2] Mer...
The RexThe Rex auditoriumThe RexLocation within HertfordshireAddressHigh StreetBerkhamstedEngland, UKCoordinates51°45′32″N 0°33′37″W / 51.758809°N 0.560389°W / 51.758809; -0.560389OwnerNicholas King HomesDesignationlisted Grade IICapacity350 (originally 1100)ConstructionOpened1937Closed1988Reopened2004ArchitectDavid Evelyn NyeTenantsJames HannawayWebsitewww.therexberkhamsted.com The Rex is a cinema in the town of Berkhamsted, Hertfordshire, England. Design...
Rank in the Swedish Navy Lieutenant commanderÖrlogskaptenPennant of the lieutenant commander, Swedish Navy.Shoulder mark of a Swedish lieutenant commander.Sleeve insignia of a Swedish lieutenant commander.Country SwedenService branchSwedish NavyAbbreviationÖrlkn (Swedish),[1] LtCdr (English)[2]RankLieutenant commanderNATO rank codeOF-03Non-NATO rankO-4Formation1972Next higher rankCommanderNext lower rankLieutenantEquivalent ranksMajor Lieutenant commander (LtCdr) (Swedi...
World's Fair held in San Antonio, Texas 1968 San AntonioThe Tower of the Americas, the theme structure for HemisFair '68OverviewBIE-classSpecialized expositionNameHemisFair '68MottoThe Confluence of Civilizations in the AmericasBuilding(s)Tower of the AmericasArea96 acres (39 hectares)Participant(s)Countries30Organizations15LocationCountryUnited StatesCitySan AntonioCoordinates29°25′8.4″N 98°28′58.8″W / 29.419000°N 98.483000°W / 29.419000; -98.483000Timelin...
Anna MurashigeInformasi latar belakangNama lainAnyaLahir29 Juli 1998 (umur 25)AsalPrefektur Yamaguchi, JepangGenreJ-popPekerjaanIdola, penyanyiTahun aktif2011–sekarangArtis terkaitHKT48NMB48 Anna Murashige (村重杏奈code: ja is deprecated , kelahiran 29 Juli 1998) adalah seorang penyanyi idola Jepang, seorang anggota dari grup vokal perempuan idola HKT48 dan NMB48. Di HKT48, ia berada dalam Tim KIV (awalnya di Tim H), dan di NMB48 dalam Tim N. Pribadi Ibunya adalah orang Rusia, dan ...
Simplified or exaggerated artistic image For other uses, see Caricature (disambiguation). You can help expand this article with text translated from the corresponding article in French. Click [show] for important translation instructions. View a machine-translated version of the French article. Machine translation, like DeepL or Google Translate, is a useful starting point for translations, but translators must revise errors as necessary and confirm that the translation is accurate, rather th...
Scottish baseball player (1856–1918) Baseball player Jim McCormickPitcherBorn: (1856-11-03)3 November 1856Glasgow, ScotlandDied: 10 March 1918(1918-03-10) (aged 61)Paterson, New Jersey, U.S.Batted: RightThrew: RightMLB debutMay 20, 1878, for the Indianapolis BluesLast MLB appearanceOctober 7, 1887, for the Pittsburgh AlleghenysMLB statisticsWin–loss record265–214Earned run average2.43Strikeouts1,704 TeamsAs Player: Indianapolis Blues (1878) Cleveland B...
Microsoft Developer Network (disingkat menjadi MSDN) merupakan sebuah bagian di dalam perusahaan Microsoft, yang bertanggung jawab untuk mempererat hubungan antara perusahaan tersebut dengan para pengembang perangkat komputer. Jenis-jenis pengembang yang terdapat di dalam MSDN mencakup beberapa macam pengembang: para pengembang perangkat keras komputer yang memiliki keinginan untuk mengembangkan sistem operasi, para pengembang perangkat lunak komputer yang membuat program di banyak platform s...
هذه المقالة يتيمة إذ تصل إليها مقالات أخرى قليلة جدًا. فضلًا، ساعد بإضافة وصلة إليها في مقالات متعلقة بها. (أبريل 2019) داني هوب معلومات شخصية الميلاد 7 يناير 1959 (65 سنة) غينزفيل مواطنة الولايات المتحدة الحياة العملية المهنة لاعب كرة قدم أمريكية الرياضة كرة الق�...
2018 American filmBlazeTheatrical release posterDirected byEthan HawkeScreenplay by Ethan Hawke Sybil Rosen Based onLiving in the Woods in a Tree: Remembering Blazeby Sybil RosenProduced by Ethan Hawke Ryan Hawke Jake Seal John Sloss Starring Ben Dickey Alia Shawkat Sam Rockwell Steve Zahn Kris Kristofferson Richard Linklater CinematographySteve CosensEdited byJason GoursonDistributed byIFC FilmsRelease dates January 21, 2018 (2018-01-21) (Sundance) August 17, 20...
Newark-on-Trent is a market town, an inland port and a civil parish in the Newark and Sherwood district of Nottinghamshire, England. The town and parish contain over 360 listed buildings that are recorded in the National Heritage List for England. Of these, four are listed at Grade I, the highest of the three grades, eleven are at Grade II*, the middle grade, and the others are at Grade II, the lowest grade. The history of the town is reflected in its buildings, from the remai...
Gymnastics competition 2011 World Artistic Gymnastics ChampionshipsTokyo Metropolitan Gymnasium, where the competition took placeVenueTokyo Metropolitan GymnasiumLocation Tokyo, JapanStart dateOctober 7, 2011 (2011-10-07)End dateOctober 16, 2011 (2011-10-16)Competitors528← 20102013 → The 2011 World Artistic Gymnastics Championships were held in Tokyo, Japan, from October 7–16, 2011, at the Tokyo Metropolitan Gymnasium. Due to uncertainty o...
Vous lisez un « bon article » labellisé en 2010. Pour les articles homonymes, voir Frédéric III et Frédéric de Prusse. Frédéric IIIFriedrich III Le futur empereur Fréderic III en 1875. Titre Empereur allemand 9 mars – 15 juin 1888(3 mois et 6 jours) Chancelier Otto von Bismarck Prédécesseur Guillaume Ier Successeur Guillaume II Roi de Prusse 9 mars – 15 juin 1888(3 mois et 6 jours) Prédécesseur Guillaume Ier Successeur Guillaume II Prince héri...
Full immersion in an activity Flow state redirects here. For the album, see Flow State. Concentrating on a task, one aspect of flow Flow in positive psychology, also known colloquially as being in the zone, is the mental state in which a person performing some activity is fully immersed in a feeling of energized focus, full involvement, and enjoyment in the process of the activity. In essence, flow is characterized by the complete absorption in what one does, and a resulting transformation in...
Tim Willocks Tim Willocks es un psiquiatra y escritor británico nacido en Stalybridge en 1957. Willocks está especializado en el tratamiento de pacientes con problemas de drogadicción.[1] En su faceta como escritor de ficción son habituales las referencias al mundo de la medicina y de las artes marciales (Willocks practica habitualmente el karate Shotokan).[2] Su mayor éxito de ventas fue su último libro publicado, La orden, en el que se relata el sitio a Malta por los oto...
22nd United States national census Twenty-second census of the United States ← 1990 April 1, 2000 2010 → U.S. Census Bureau seal2000 U.S. census logoGeneral informationCountryUnited StatesResultsTotal population281,421,906 ( 13.2%)Most populous stateCalifornia (33,871,648)Least populous stateWyoming (493,782) The 2000 United States census, conducted by the Census Bureau, determined the resident population of the United States on April 1,...
ثقافة — جغرافيا — تاريخ — علوم — مجتمع — تقانة — رياضة قائمة البوابات مرحبًا بكم في بوابة الفيزياء بوابات شقيقة بوابة علوم بوابة رياضيات بوابة الكيمياء بوابة علم الفلك بوابة هندسة عدّل مُقدِّمة انطباع فني عن قرص التضخم للبلازما الساخنة التي تدور حول الثقب الأسود (من...
Legislature in the Philippine barangays Politics of the Philippines Government Constitution of the Philippines Charter Change Laws Legal codes Taxation Executive President of the Philippines Bongbong Marcos (PFP) Vice President of the Philippines Sara Duterte (HNP) Cabinet (lists) Executive departments Local government Legislature Congress of the Philippines 19th Congress Senate President Migz Zubiri (Independent) House of Representatives Speaker Martin Romualdez (Lakas) Districts Party-list ...