– : violents combats vers Servon, puis stabilisation du front et occupation d'un secteur vers le bois d'Hauzy et Bagatelle, réduit à gauche, le , jusqu'à l'Aisne : Guerre des mines.
7 - : attaques allemandes et contre-attaques françaises.
30, et : nouvelles attaques allemandes et contre-attaques françaises.
1915
– : retrait du front ; repos et instruction vers Laheycourt.
8 – : mouvement et transport par camions dans la région de Dommartin-sur-Yévre ; repos.
– : mouvement vers le front ; engagée, à partir du , dans la 1re bataille de Champagne : violents combats au nord du Mesnil-lès-Hurlus, vers la cote 196] et les Mamelles. Puis occupation, dans cette région, d'un secteur étendu à gauche, le 1er mars, jusqu'au nord-ouest
– : occupation d'un secteur vers Trésauvaux et la tranchée de Calonne, par alternance entre les deux brigades : Guerre des mines. Du 26 au et du 20 au , combats répétés vers la tranchée de Calonne.
: violente attaque allemande.
18 et : contre-attaques françaises.
5 au , du 21 au , du 10 au , repos à l'est de Verdun. Front réduit à gauche, le , jusqu'au niveau de Champlon, et, le , jusqu'au village des Éparges.
– 1er août : retrait du front et repos au sud de Verdun.
1er août – : occupation d'un secteur vers la tranchée de Calonne et Seuzey.
: participation à l'enlèvement de Tahure ; puis occupation et organisation du terrain conquis.
– 1er décembre : retrait du front et transport par camions de la région de Marson vers celle de Souilly ; repos, travaux et instruction.
1916
– : mouvement vers le front et occupation d'un secteur entre le plateau des Eparges (exclu), et le sud de Vaux-lès-Palameix, réduit à gauche, le , jusqu'au sud du village des Eparges.
18 – : retrait du front ; transport par camions dans la région de Maignelay ; repos. Puis transport par camions vers Proyart et mouvement vers le front.
– : engagée, pour la seconde fois, dans la bataille de la Somme, entre le sud de Belloy-en-Santerre, et l'est d'Estrées-Deniécourt.
– : mouvement vers Faverolles-et-Coëmy, puis occupation d'un secteur, d'abord vers Loivre et le nord de Godat, puis, à partir du , vers le Godat et le mont Sapin.
– : mouvement vers la région de Verdun. Des éléments en secteur à la cote 304 participent, le , à la 2e bataille de Verdun : Prise de la cote 304 et progression jusqu'au ruisseau de Forges.
: occupation d'un secteur vers Béthincourt et Haucourt.
1918
– : retrait du front ; puis transport par V.F. dans la région de Tannois ; repos.
– : occupation d'un secteur vers Haucourt et Avocourt.
1er juin : front étendu, à droite, jusque vers Grivesnes.
: coopération à une attaque franco-britannique (prise de Sauvillers-Mongival).
: poursuite des troupes allemandes en repli sur la rive est de l'Avre ; prise de Braches ; franchissement de l'Avre, prise et occupation de positions allemandes au-delà de la rivière (3e bataille de Picardie).
La loi du , sur l’organisation générale de l’armée, et la loi des cadres et effectifs du , fixent le nombre des divisions d’infanterie métropolitaines à vingt. Ces dernières sont considérées comme des forces de territoire affectées à la défense du sol métropolitain. Ces grandes unités d’infanterie sont de trois types, dix divisions d’infanterie de type « nord-est », sept divisions d’infanterie motorisées et trois divisions d’infanterie alpine.
et tous les services (Sapeurs mineurs, télégraphique, compagnie auto de transport, groupe sanitaire divisionnaire, groupe d'exploitation etc.)
En 1935, elle devient 3e division d'infanterie motorisée, sur le type renforcé de la division d'infanterie motorisée (apte au combat dès le début des hostilités)[1].
La 3e division d'infanterie motorisée est une division d'active placée en réserve de la 2e armée[2] qui doit en premier lieu protéger la ligne Maginot d'une manœuvre de contournement.
Formation exceptionnelle au moral excellent - Potentiel à matériel moderne (canons de 25 et 47), dotations réglementaire
La division participe à la bataille de Stonne et du Mont-Dieu.
(fr) Ministère des Armées, État-Major de l'Armée de Terre, Service Historique, Inventaire sommaire des archives de la Guerre 1914-1918, Imprimerie « LA RENAISSANCE » — TROYES - Dépôt légal : 4e trimestre 1969 — N° 19.982
AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).
Éric Denis, La 3e division d'infanterie motorisée : Une unité d'élite dans la tourmente 1939-1940, Ysec éditions, , 256 p. (ISBN9782846734103).