Reformé sous l'appellation 21e Bataillon de Tirailleurs Algériens il opère en Indochine, au Tonkin, en 1948-1949.
Fin , il participe, avec le 25e B.T.A, à l'opération PITON.
En 1954, il est reformé à partir des trois bataillons d'infanterie et de la compagnie de commandement du Groupe Mobile Nord Africain[réf. nécessaire]. Guerre d'Algérie
De retour en Algérie en 1955, il combat ensuite dans la région de l'Oranie.
Au cessez-le-feu du en Algérie, le 21°R.T créé comme 91 autres régiments, les 114 unités de la Force Locale.(Accords d'Evian du ) Le 21°R.T forme deux unités de la Force locale de l'ordre Algérienne, la 502°UFL-UFO composé de 10 % de militaires métropolitains et de 90 % de militaires musulmans, qui pendant la période transitoire devaient être au service de l'exécutif provisoire algérien, jusqu'à l'indépendance de l'Algérie.
Inscriptions portées sur le drapeau du régiment
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[1] :
Le 21e Bataillon de Tirailleurs Algériens reçoit le la Croix de Guerre des T.O.E avec palmes pour ses actions en Indochine.
Devise
Fier comme l'aigle, Piquant comme le chardon, con comme la lune
Insigne du 21e Tirailleurs Algériens
Le 1er modèle:
L'insigne comporte un croissant de lune doré, comportant le no 21 dans un cercle vert, posé dans un buisson d'épine; un aigle argenté, aux ailes déployées, regardant vers la droite s'appuie sur le croissant de sa serre gauche, la droite tenant un calice orné d'une croix.