27 juillet : La Corée du Sud et la Corée du Nord rétablissent les lignes directes entre les deux pays, plus d'un an après que Pyongyang ait rompu les relations en juin 2020. Cette décision intervient après des mois de correspondance par lettres de négociations entre le président sud-coréen Moon Jae-in et le guide suprême Kim Jong- un pour tenter d'améliorer les relations entre les deux pays[1].
27 septembre : tir d'un missile hypersonique par la Corée du Nord témoignant d'avancées technologiques de la part de ce pays[2].
19 octobre : la Corée du Nord affirmé avoir procédé à un tir de missile balistique à partir d'un sous-marin, information déclenchant le lendemain la réunion en urgence du Conseil de Sécurité de l'ONU[3]
17 juillet : Silsila Alikhil, la fille de l'ambassadeur d'Afghanistan au Pakistan Najibullah Alikhil, est enlevée à Islamabad, dès le lendemain l'ambassadeur et plusieurs hauts-diplomates sont rappelés à Kaboul le temps que les ravisseurs soient arrêtés[6].
4 juillet : cinquante personnes sont tuées et 49 autres sont blessées lorsqu'un avion de transport C-130 de l' armée de l'air philippine transportant 92 passagers et tentant d'atterrir dans un aéroport de Jolo. L'avion s'écrase dans la ville voisine de Patikul. Parmi les morts, il y a trois civils au sol, quatre autres sont parmi les blessés.
Nuit du 4 au 5 juillet : alors que les Talibans progressent dans la province afghane frontalière du Badakhchan, prenant le contrôle total de 6 districts, les troupes du gouvernement afghan battent en retraite, dont 1037 soldats afghans qui fuient au Tadjikistan avec l'accord de ce pays ; puisque parmi les zones prises par les Talibans au Badakhchan se trouvent des portions de frontière dont le principal poste-frontière, le président tadjik Emomali Rakhmon a ordonné la "mobilisation de 20 000 réservistes pour renforcer la frontière"[7].
15 février : Le ministère turc de l'Intérieur a annonce, l'arrestation de 718 personnes, dont des dirigeants du parti pro-kurde HDP, soupçonnées de liens avec le Parti des travailleurs du Kurdistan qu'Ankara accuse d'avoir exécuté des ressortissants en Irak. Erdogan, quant à lui, accuse les États-Unis de soutenir les "terroristes" kurdes.