14 janvier : le ministre de l’Instruction Emilio Broglio(it) nomme une commission présidée par Alessandro Manzoni à laquelle il confie le mandat de « rechercher et de proposer toutes les mesures et tous les moyens par lesquels l’on puisse favoriser et rendre plus universelle dans le peuple la diffusion de la bonne langue et de la bonne prononciation »[2].
29 février : le pape Pie IX publie le Non expedit (Il ne convient pas), un décret qui interdit aux catholiques italiens de participer aux élections[3].
7 juillet : promulgation de la loi sur la taxe sur la farine[6]. La lutte contre le « brigandage », la guerre avec l’Autriche et les importants travaux publics ont créé un important problème budgétaire. Le ministre des Finances Quintino Sella mène une sévère politique d’austérité pour atteindre l’équilibre. Il introduit une taxe sur la farine (macinato(it)), facilement perçue, qui frappe les classes les moins favorisées, notamment dans le sud (entrée en vigueur le ).
↑François Brizay, Les formes de l'échange - Communiquer, diffuser, informer, de l'Antiquité au XVIIIe siècle, Presses universitaires de Rennes, (ISBN9782753568860, présentation en ligne)
↑Natale Fabrini, Il conte Giovanni Acquaderni - la vita, l'amore al Pontefice, l'azione cattolica, l'opera dei congressi, l'eredità dei movimenti cattolici, Edizioni Studio Domenicano, (ISBN9788870940794, présentation en ligne)