Éveline Garnier a été la compagne d'une autre résistante, Andrée Jacob, rencontrée dans les milieux chrétiens gravitant autour de son oncle Jacques Maritain[6]. Ce dernier la désigna comma sa légataire principale[7].
Elle meurt le des suites d’une maladie cardiovasculaire à l'hôpital Sainte-Périne[réf. souhaitée].
Alors que son oncle se trouve bloqué au Canada et aux États-Unis pour cause d'enseignements à dispenser là-bas, elle se tourne rapidement vers la Résistance. Au sein du mouvement Combat, en étroite collaboration avec Claude Bourdet, elle participe à de nombreuses activités : renseignement, recrutement, organisation, action. Elle prête aussi main-forte au Père Foussard, au sein du Réseau Comète chargé de récupérer les aviateurs alliés parachutés sur le sol français[7],[10].
↑« À Paris, les voies de la Résistance », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
↑ ab et cCercle d'études Jacques et Raïssa Maritain Auteur du texte, « Cahiers Jacques Maritain », sur Gallica, (consulté le )
↑Marie-Jo Bonnet, « Andrée Jacob et Éveline Garnier, deux occultées de la Résistance », Le Patriote Résistant, juillet-août 2019.
↑ a et bMarcel Degliame-Fouché et Henri Noguères, Histoire de la Résistance en France de 1940 à 1945 (3) : Et du Nord au Midi : novembre 1942-septembre 1943, (Robert Laffont) réédition numérique FeniXX, , 764 p. (ISBN978-2-221-23604-8, lire en ligne)