Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Jusqu'au baccalauréat, Élodie Jacquier-Laforge a suivi sa scolarité du secondaire au sein de l'établissement privé Notre-Dame-des-Victoires, à Voiron (Isère).
Arrivée troisième derrière Sandrine Nosbé, de peu deuxième devant elle, et la candidate RN Cécile Bène, largement première, elle est qualifiée dans le cadre d'une triangulaire, dans la circonscription où elle est sortante, à la suite du premier tour des élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet 2024, mais, comme certains candidats de la coalition présidentielle, elle annonce son désistement par opposition à l'extrême droite[3]. Sandrine Nosbé lui succède.
Élodie Jacquier-Laforge est l'auteure de la proposition de loi visant à renforcer la parité dans les fonctions électives et exécutives du bloc communal, en particulier dans les communes de moins de 1 000 habitants et leurs intercommunalités[6]. Nommée rapporteure du texte[7], elle obtient son vote en première lecture, notamment avec le soutien du groupe parlementaire socialiste et du groupe parlementaire GDR/Parti communiste[8].
Références
↑Sous la dir. de Jacques Chevallier, Les Femmes élues au Sénat (mémoire de diplôme d'études approfondies en science politique), Paris, université Paris-II, , 133 p. (SUDOC070701989).
↑Yann Gonon, « Législatives 2017. Elodie Jacquier-Laforge (LREM) devient députée de la 9e circonscription d’Isère - France 3 Auvergne-Rhône-Alpes », France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (lire en ligne, consulté le )
↑Marie Pouzadoux, Simon Auffret et Charles-Edouard Ama Koffi, « L’Assemblée nationale en direct : le RN obtient deux des six vice-présidences ... Suivez la séance d’attribution des postes du bureau », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )