Au soir même du scrutin, Manuel Inocêncio Sousa reconnaît sa défaite et félicite son adversaire pour sa victoire[2]. Le lendemain, le Premier ministreJosé Maria Neves, du PAICV, félicite lui aussi Fonseca pour sa victoire, qu'il qualifie de « grande journée de plein exercice de la liberté de choix démocratique » affirme son « entière disponibilité » au futur chef de l'État, dans le cadre institutionnel[3].
Le même jour, la mission d'observation électorale de l'Union africaine a rapporte « la maturité des acteurs politiques et des citoyens » et salue « la paix, la bonne entente entre les candidats » ainsi que « le respect du Code électoral »[4].