À partir de 1526, la ville faisait partie de la monarchie de Habsbourg. L'exploitation minière fut pour la première fois documentée par un acte en 1529. Ensuite, la Reforme protestante s'est progressivement étendue à la région. Dévastée durant la guerre de Trente Ans, la ville a ensuite été reconstruite et obtiendra des privilèges commerciaux par l'empereur Léopold Ier en 1696. Le domaine a été acquis par la maison de Stolberg en 1719.
Sur son territoire se trouve la Wałbrzyska Wyższa Szkoła Zarządzania i Przedsiębiorczości (École supérieure de gestion et de développement de compétences de Wałbrzych)[1].
Wałbrzych et ses alentours comptent plusieurs centaines de ressortissants français, pour la plupart issus de familles binationales constituées initialement de Français d'origine polonaise, notamment du Nord de la France, rapatriés dans les territoires recouvrés (allemands jusqu'en 1945) dans les années 1946-1948[2].
Il existe plusieurs associations et une Alliance française, disparue en 2013.
Il existe aussi une Maison de la Bretagne (Dom Bretanii) qui s'appuie sur un partenariat avec le Conseil général du Morbihan et un jumelage avec la ville de Vannes (2001)[3].
Personnalités liées à la ville
Wolfgang Menzel (1798-1873), critique littéraire, écrivain et homme politique ;
Bolko von Hochberg (1843-1926), diplomate, metteur en scène et compositeur ;