Victor Sadler nait en 1937 au Royaume-Uni. À l’âge de 14 ans, en 1951, il apprend l’espéranto[1],[2],[3]. Il utilise l’espéranto alors qu’il étudie à Cambridge, où il rejoint le club estudiantin d’espéranto[1]. Il y rencontre d’autres étudiants qui deviendront de célèbres espérantistes : Humphrey Tonkin, John C. Wells et Duncan Charters(eo)[1]. En 1960, l’espéranto devient sa langue de tous les jours. En 1962, il finit son doctorat en phonétique, tout comme John C. Wells[1].
Implication dans l’espéranto
En , il participe à la réactivation de la Studenta Tutmonda Esperantiste Ligo, ligue mondiale des étudiants espérantistes, où il s’occupera de la revue Studento.
En , il est envoyé par l’Association mondiale d'espéranto au Sri Lanka où il enseignera l’espéranto à un millier de personnes[1]. Après son retour, il publie en Azia strategio, documentant son voyage[1].
Œuvres
(eo) Victor Sadler, Memkritiko, Roskilde, Koko, , 60 p.[4]
(eo) Victor Sadler, Perversaj rilatoj, New York, Mondial, , 65 p.[5]