Son expérience pluridisciplinaire est évidente dans son ouvrage Dictee, une expérience de juxtaposition de différents niveaux sémantiques. Dictee est enseigné comme cas d’étude dans certains cours de littérature contemporaine[10].
Une fin tragique
Theresa Hak Kyung Cha est violée et tuée par Joey Sanza, un vigile violeur en série, à New York, une semaine après la publication de Dictee, en 1982[11],[12]. Joey Sanza est reconnu coupable après trois procès, au bout de cinq ans. Avant sa mort, Theresa Hak Kyung Cha était en train de réaliser une œuvre pour une exposition de groupe à l'Artists Space dans le quartier de SoHo[13]. L’exposition d'Artists Space est devenue plus tard un mémorial dédié à l'artiste.
Pause Still (1979), 80 Langton Street, San Francisco.
Expositions personnelles
Penser Theresa Hak Kyung Cha, Bétonsalon, Paris, 2013[3].
A Portrait in Fragments, Kensington and Chelsea College, Londres, 2013
Theresa Hak Kyung Cha | Immatériel, du au , au centre Phi, Montréal[21],[22].
Bibliographie
The Politics of Blood in Theresa Hak Kyung Cha’s Dictée, par Richard Snyder, pour la revue Arcade de l'Université de Stanford, non daté[23],
Postmodernism, Readers, and Theresa Hak Kyung Cha's "Dictee", par Juliana M. Spahr, pour la revue College Literature, Vol. 23, N°. 3, Octobre, pp. 23-43, 1996[24],
Rewriting Hesiod, Revisioning Korea: Theresa Hak Kyung Cha's "Dictee" as a Subversive Hesiodic "Catalogue of Women", par Kun Jong Lee pour la revue College Literature, Vol. 33, N°. 3, pp. 77-99, 2006[25]
The link and the chain : The individual and communal self in Theresa Hak Kyung Cha's DICTEE, par Stephen Joyce, édité sur le FIAR, de l'Université de Bielefeld, 2008[26],
Theresa Hak Kyung Cha – Berkeley – 1968, par Zabunyan Elvan, éd. Les Presses du réel, 2013[27].
Canon Fodder: Dictée by Theresa Hak Kyung Cha, article de Megan Sungyoon pour la revue Columbia Journal, 2019[28]
↑(en-US) Juliana M. Spahr, « Postmodernism, Readers, and Theresa Hak Kyung Cha's "Dictee" », College Literature, oct., 1996, pp. 23-43 (lire en ligne)
↑(en-US) Kun Jong Lee, « Rewriting Hesiod, Revisioning Korea: Theresa Hak Kyung Cha's "Dictee" as a Subversive Hesiodic "Catalogue of Women" », College Literature, vol. 33, no 3, , p. 77–99 (ISSN0093-3139, lire en ligne, consulté le )