En 1981, il était parmi les rédacteurs du programme du gouvernement Andréas Papandréou I. Il est ensuite nommé à l'Agence d'État pour l'emploi, puis passe à l'Institut de la sécurité sociale en 1985. En 1989 et jusqu'en 2004, il a été élu dans le deuxième arrondissement de Athènes pour le PASOK.
Il est marié à la fille d'Andréas Papandréou (1919-1996). Ce dernier, dans son testament, l'accuse d'être une « honte pour la famille » (όνειδος της οικογένειας)[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9], ainsi que de chercher à profiter de son héritage politique et de celui de son fils Geórgios[10], deux anciens premiers ministres grecs[11],[3],[12].
En 1998, le journaliste Spýros Karatzaféris(el) publie dans le journal όνειδος une photo de Katsanévas avec la légende « honte ». En 2003, ce journaliste est condamné pour diffamation par un tribunal à Athènes à indemniser Katsanévas de 10 millions de drachmes (environ 30 000 euros). En , Katsanévas intente une poursuite judiciaire, en demandant une compensation de 200 000 euros et une peine d'un an de prison, contre l'un des contributeurs de la Wikipédia en grec, cette dernière rapportant cette information dans ses pages. En effet, Katsanévas croit que Diu, un administrateur, a ajouté l'information dans el:Θεόδωρος Κατσανέβας. Il poursuit en même temps l'association ELLAK (aussi appelée GFOSS(en)) qui promeut le libre/open source, croyant qu'elle est responsable du contenu de cette Wikipédia[1],[13].