De retour en Tunisie en 1932, il s'installe comme médecin et manifeste une activité politique importante. En 1935, il est secrétaire général du troisième bureau politique du Néo-Destour, au sein duquel il milite avec son frère Noureddine, pharmacien et trésorier du troisième bureau.
Il succède ensuite à Mahmoud El Materi à la tête du Conseil de l'Ordre des médecins dont il devient le deuxième président tunisien, entre 1963 et 1971 ; il y est secondé par Tawhida Ben Cheikh, en tant que vice-présidente.