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La famille Zaouche est une famille tunisienne de la grande notabilité tunisoise d'origine andalouse[1], installée à Tunis au XVIIIe siècle après un séjour à Bougie (Algérie) où une branche de la famille demeure.
L'ancêtre de la famille, Mohamed Zaouche Al Charif Al Andaloussi, décédé en 1803 à Tunis, est un cadimalikite ; un poème lui est dédié dans le recueil (diwan) du célèbre poète du XVIIIe siècle, Mohamed Al Ouerghi. Les fils de Mohamed, Ahmed et Ali, forment une corporation de tisserands de soie. La notoriété de la famille s'accentue pendant la deuxième moitié du XIXe siècle à la faveur de la réussite des deux frères Tahar et Hassan Zaouche, entrés dans l'administration beylicale. Leurs descendants occupent des postes importants dans l'administration de l'aube du XXe siècle jusqu'à l'indépendance de la Tunisie en 1956, dont Abdeljelil Zaouche, ministre et réformateur.
La famille Zaouche est alliée depuis le XIXe siècle à des familles de vieille souche tunisoise.
Personnalités
Abdelaziz Zaouche (1874-1966), industriel et expert agricole
Abdelhamid Zaouche (1879-1933), industriel et membre fondateur du Cercle tunisien
↑Nazli Hafsia, Les premiers modernistes tunisiens : Abdeljelil Zaouche, 1873-1947, Tunis, MIM Éditions, , 253 p. (ISBN978-9973-736-01-7, lire en ligne), p. 17.
Voir aussi
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