Soldats et volontaires étrangers du Troisième Reich
La mise en forme de cet article est à améliorer ().
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Des Allemands, mais aussi des Français, des Belges, des Norvégiens, des Russes même, mais également des volontaires arabes et musulmans de surcroît, en passant par des Indiens bouddhistes et les élèves officiers thaïlandais et chinois des écoles de guerre allemandes réputées les meilleures du monde dans les années 1930.
Cette page a pour but d’analyser la géopolitique et la politique étrangères allemandes de l'époque en faisant le point sur les différentes phases du conflit ; les alliances, les zones d'influences, les accords, les invasions, etc. et de répertorier, de façon la plus exhaustive possible, les unités étrangères intégrées ou non au commandement allemand, que ce soit de la Wehrmacht, de la Waffen-SS ou de la police et de recenser les effectifs complets selon les critères ethniques et religieux.
Toutes les unités inscrites portent leurs dernières dénominations en allemand, au moment de leurs inscriptions aux archives de la Wehrmacht ou de la Waffen-SS.
Pourquoi autant de volontaires du monde entier
Pour comprendre, au moins en partie, le nombre significatif d'étrangers au sein des forces allemandes, il faut regarder au niveau géopolitique de l'époque, des alliances d’après guerre qui se font et se défont, les royaumes qui se terminent, les empires qui tombent, les républiques qui naissent et les colonies qui ont soif d'indépendance.
Le mécanisme insidieux et dangereux, qui va mener le monde entier à la guerre et les Hommes à choisir entre trois camps, le nationalisme, le communisme et le capitalisme.
La Seconde Guerre mondiale est une guerre d'idéologie.
Extensions territoriales du IIIe Reich
De 1935 à 1941, le Reich va annexer des territoires et les incorporer au sein de son territoire national, les jeunes gens (plus ou moins vieux en réalité) sont considérés comme sujets allemands, et donc soumis à la conscription obligatoire.
Les mobilisés des territoires annexés
La première étape pour recenser le nombre d'étrangers au sein des forces armées allemandes est de regrouper les territoires annexés et de comptabiliser le gain de population et donc de conscription une fois le service militaire obligatoire mis en place dans ces nouvelles régions du Reich. La population de ces territoires est considérée comme allemande, avec plusieurs degrés certes, mais toutefois comme allemande. Ce recensement va permettre de distinguer les Allemands considérés comme de pure souche et les Allemands d'annexion ; de fait ces Allemands sont à la base étrangers à l’Allemagne. Ce tableau comptabilise uniquement les "étrangers" assujettis au service militaire obligatoire ; les engagements volontaires sont développés dans un autre chapitre.
Ce tableau a pour objectif de faire la comparaison entre la population globale des territoires du Grand Reich et la population soumise au service militaire obligatoire, ne sont pas comptabilisés les engagements volontaires. Le total de la population globale comprend toutes les catégories de population dites "Indésirables" : Juifs, Tziganes, homosexuels, handicapés, communistes, opposants politiques, populations non "aryanisables". Il serait intéressant de comparer le nombre total de populations dites aryennes et le nombre de populations aryanisables et dites allemandes après annexions. Cela pourrait nous donner une idée de la proportion réelle d'Allemands de souche dans les forces armées, et cela sans même comptabiliser les engagements volontaires étrangers.
La question : jusqu’à quel point l'armée allemande était allemande ?
Malheureusement beaucoup de données sont introuvables, détruites ou perdues ; nous allons essayer dans le second tableau d'établir une proportionnelle concernant uniquement le territoire du Reich de 1933.
Le chiffre du Troisième Reich est obtenu en additionnant l'effectif de base de l'armée de métier (1 600 000 soldats) et de l'ensemble des vagues de mobilisation, soit (17 093 000 soldats), sont inclus dans les effectifs des conscrits des territoires annexés, l'ensemble de la Bundesheer (59 065 soldats) qui a été intégrée d'office dans la Wehrmacht, les conscrits autrichiens (972 035 soldats), les Volksdeutsches et les volontaires étrangers (la Waffen-SS et la Sturmabteilung ne sont pas comptabilisées).
BL’État Fédéral d'Autriche :
Bien que cet État éphémère n'ait jamais fait partie de l'Axe à proprement parler, il est cependant important de rappeler que l'Autriche, le gouvernement, du moins et l'état-major de l'armée, avaient prévu de se défendre face à une invasion allemande, la défense du pays a été confiée au FeldmarschallAlfred Jansa, qui réussit à transgresser l'obligation de l’Autriche à ne posséder qu'une armée de défense limitée à 30 000 hommes (en réalité selon les sources, les effectifs vont de 20 500 à 21 800 en mars 1936) et à monter les effectifs militaires à 221 933 soldats répartis ainsi ; 59 065 soldats de métier, 109 724 soldats mobilisés de l'armée de terre,
5 518 soldats de l'armée de l'air, 5 518 soldats de réserve et 108 soldats de la marine fluviale, à cela s'ajoutent 42 000 soldats miliciens ; la Jägermiliz.
Une fois l'Anschluss effectué, la Wehrmacht incorpore d'office les 59 065 soldats de la Bundesheer, les autres seront démobilisés pour ensuite être remobilisés successivement comme citoyens du Reich.
CL'Autriche annexée :
Les archives nationales autrichiennes ainsi que le muséum de la guerre de Vienne avancent le chiffre de 1 200 000 soldats ayant servi sous le casque allemand, Wehrmacht et Waffen-SS compris. On estime que 14 % de l'effectif maximal de la Waffen-SS était autrichien, soit 168 000 soldats, à cela on ajoute les 59 065 soldats de la Bundesheer incorporés de force dans l'armée régulière allemande, le calcul donne le nombre de mobilisés, soit 972 035 soldats.
DLe royaume d'Italie et son Empire colonial :
ELa République Sociale italienne :
a, Chiffre obtenu en additionnant 10 000 fantassins et 5 000 cavaliers de l'armée régulière, 20 000 miliciens des Chemises Noires et 32 000 travailleurs italiens armés issus de la population de colons. Ces effectifs ne sont pas inclus dans les effectifs de la Regio Esercito.
b, Chiffre obtenu en additionnant 110 000 fantassins et 45 000 cavaliers érythréens et somaliens et 50 000 “Bandas” soldats irréguliers.
A : le 11 mars 1938, l'Armée autrichienne était composée de 126 145 soldats (59 065 soldats professionnels et de 67 080 conscrits) qui ont été immédiatement incorporés dans les effectifs de la Wehrmacht. D’après les chiffres officiels mentionnés par le Musée de la Guerre de Vienne, 1 200 000 soldats autrichiens ont servi sous casque allemand (Wehrmacht et waffen-ss), pour la période de 1938 à 1945, on estime aussi que 14 % des waffen-SS étaient autrichiens, ce qui donne le chiffre de 168 000 soldats (pour 1 200 000 de SS). Ce calcul permet d'avancer le chiffre de 905 855 conscrits sur la période de 1939 à 1945.
Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei Österreichs - (NSDAOP) - Hitlerbewegung
La Wehrmacht
Deux types d'unités sont distinguées :
Les unités sous commandement ; unités d'armées étrangères avec leur état-major propre, sous le commandement de l'Allemagne.
Les unités intégrées ; unités équipées et habillées par la Wehrmacht, dont l’état-major est entièrement ou partiellement allemand et faisant partie intégrante de la Wehrmacht.
À l'inverse de l'armée régulière allemande, la Waffen-SS n'a pas eu d'unités étrangères sous son commandement, hormis de façon ponctuelle et concernant des unités de la Wehrmacht. Ce corps d'armée a cependant mis sur pied plusieurs unités constituées d'étrangers, au point qu'à la fin de la guerre la proportion Allemands/volontaires étrangers était de 44% pour les unités allemandes et 56% pour les unités étrangères.
Pour ne pas froisser les engagés des premières unités, les autorités de la Waffen-SS ont créé une différence de noms dans les unités, les unités constituées d'Allemands ou de Volksdeutsche commence par “SS”, suivi du nom de la division ; concernant les unités étrangères la dénomination “der Waffen-SS” se trouve à la fin du nom de la division. L'on peut traduire : unités “de” la Waffen et unités “à disposition” de la Waffen.
Certaines unités composées d'étrangers sont cependant considérées comme ayant du sang aryen et ont donc le droit d'avoir la première dénomination.
Toutes les unités inscrites portent leurs dernières dénominations en allemand, au moment de leurs inscriptions aux archives de la Wehrmacht ou de la Waffen-SS.
Pour une division d'infanterie soit : 13 081 soldats.
Dont : 332 officiers, 63 sous-officiers supérieurs, 2 048 sous-officiers, 9 049 soldats du rang et 1 229 soldats volontaires étrangers.
Conclusion : à compter du (date de la création du Kstn type 44), toutes les unités allemandes, sont dotées d'effectifs étrangers, en plus des unités étrangères officielles.
Insignes des formations de volontaires étrangers de la Wehrmacht, de la Waffen SS et des divers mouvements de collaborations.
Drapeaux d'unités
Toutes les nationalités des volontaires n'ont pas forcément été représentées par un insigne à leurs couleurs ou leur appartenance ethnique ; par exemple les volontaires portugais ont porté l'insigne espagnol, les volontaires albanais et bosniaques ont porté (dans un premier temps du moins pour les Albanais) l'insigne croate, les arabes qu'ils soient tunisiens, marocains, libyens ou algériens ont porté l'insigne de la légion arabe (et dans de rares cas l'insigne français).
La religion sous le Troisième Reich
Les armées allemandes, que ce soit la Wehrmacht ou la Waffen-SS, n'avaient en aucune sorte d'unité dite « religieuse » ; en général, la plupart des soldats allemands étaient des chrétiens, comme la population allemande en général, mais il y avait aussi des minorités minuscules qui pratiquaient le paganisme ou étaient athées. Cependant, toutes les religions ont été représentées dans l'armée sous le Troisième Reich : les chrétiens, musulmans, orthodoxes, bouddhistes, sikhs et même les juifs (au sens de la pratique du judaïsme) eurent leurs places dans cette armée.
On évalue approximativement la répartition suivante : 425 000 musulmans, 150 000 orthodoxes, 120 000 juifs, 20 000 bouddhistes et sikhs. Les soldats chrétiens n'ont pas été quantifiés.
Personnalités étrangères ou allemandes de confessions diverses dans la Wehrmacht ou la Waffen-SS
À cette époque, les idées raciales et eugénistes ne s'appliquèrent plus seulement aux peuples appartenant à d'autres civilisations ou à d'autres ethnies (Noirs africains, Amérindiens, Asiatiques, etc.). Les compatriotes, blancs et de même culture, mais de confession juive, appartiendraient désormais à une race différente et inférieure.
Dans de nombreux livrets militaires se trouvent des indications telles que « demi-juif » ou « quart-juif » qui mettent en avant une classification raciale de la judéité, ce qui permettra à certains d'obtenir des postes dans la Wehrmacht ou chez les Waffen-SS (voire une aryanisation dans certains cas).
De plus les nazis hiérarchisaient également les musulmans. Les Arabes, sémites, devenaient de ce fait moins fiables que les musulmans européens tels que les Bosniaques, les Tatares, tout autre musulman caucasien ou asiatique (indiens).
officier d'état-major de l'amiral Lütjens à bord du Bismarck, a reçu le Deutschblütigkeitserklärung (clarification de race allemande) de la main de Hitler
↑Régiment d'infanterie de volontaires locaux, inscrit sans numéro particulier, ce qui sous-entend que l'on ne peut pas clairement identifier un régiment en particulier.
↑ a et bCette unité, pourtant inscrite dans les archives de la Wehrmacht, n'a jamais existé. Elle existe dans les archives mais n'a jamais été mise sur pied (inscrite en 1943).
↑Le K.St.N. ou Kstn, pour Kriegs-Stärke-Nachweisung, est le « tableau d'ordre de marche » d'une unité (littéralement « présentation détaillée des forces en guerre ») ; il en existe plusieurs selon les formations ou les corps d'armée, ou même les années de conflit, celles-ci ayant constamment grevé les effectifs des forces allemandes, lesquelles ont dû en conséquence réorganiser leurs unités.
↑Valeur de la population ayant été contrainte au service militaire obligatoire
↑ abcdefghijklmnopqrstuvwx et y(de) Soldaten-Atlas, Turnisterschrift der Oberkommandos der Wehrmacht Abteilung Inland, , 42 p., p. 7
↑ a et b(de) Zenner Maria, Partis et politique en Sarre sous le régime de la Société des Nations 1920-1935, Cologne, , p. 316-317
↑ ab et c(en) Festa Janice, Anschluss 1938 : Austria's potential for Military Resistance, Montreal, National Library of Canada, , 112 p. (ISBN0-612-43863-5), p. 38, 39, 40
↑Ne sont pas inclus dans ce chiffres, les 59 065 soldats professionnels de l'armée autrichienne qui ont été incorporés, sur volontariat, directement dans la Wehrmacht une fois le territoire annexé, ni les 168 000 soldats volontaires des Waffen-SS
↑Date de la capitulation du Royaume, le Reich ayant plusieurs fois repoussé la date d'annexion officielle, il n'y en a jamais eu, cependant les régions ont été annexées "de facto"
↑ a et bBoris Mlakar, « L'occupation de la Slovénie pendant la Seconde Guerre mondiale », Guerres Mondiales et conflits contemporains, Presses universitaires de France, no 234, , p. 82 (ISBN9782130572589, ISSN0984-2292, lire en ligne [PDF])
↑ a et bBoris Mlakar, « L'occupation de la Slovénie pendant la Seconde Guerre mondiale », Guerres Mondiales et conflits contemporains, Presses universitaires de France, no 234, , p. 86 (ISBN9782130572589, ISSN0984-2292, lire en ligne [PDF])
↑Ne sont pas comptés le 84 000 soldats "volontaires" intégrés au SA-Wehrmannschaft Gruppe-Steimark, enrôlés pour avoir adhéré à une des deux organisations nazies des régions slovènes annexées
↑ a et bChristophe Brull, « Les "enrôlés de force" dans la Wehrmacht - un symbole du passé mouvementé des Belges germanophones au XXe siècle », Guerres mondiales et conflits contemporains, PUF Presses Universitaire de France, no 241, , p. 63 à 74 (ISBN9782130587170, ISSN0984-2292, lire en ligne)
↑Ce résultat est la somme du recensement du 31 décembre 1947 à la suite d'un accord de rapatriement russo-belge, soit : 5 417 soldats rapatriés entre le 1er août 1945 et le 31 décembre 1947, 106 soldats encore prisonniers, 1 327 soldats déclarés disparus, 1 298 soldats déclarés morts au combat. Parmi ces conscrits on note 1,2 % ont été volontaires pour la Waffen-SS. Ne sont pas comptés les 700 soldats engagés volontaires dans l'unité spéciale Bau-Lehr-Batalion Z.b.V. 800 "Brandenburg", avant l'annexion au Reich et la mise en place du service militaire obligatoire.
↑ a et bKnepper Aimé, Les réfractaires dans les bunkers, Luxembourg, , p. 10
↑Ce chiffre est obtenu selon le récit d'Aimé Knepper, dans son ouvrage il mentionne le nombre de 11 168 soldats appelés pour le service militaire obligatoire, d’après l'auteur, 3 510 jeunes appelés sont réfractaires. Il existe un autre ouvrage, un mémoire d'étude de 1968 écrit par le Sous-Lieutenant BUCK Marc de l'armée Luxembourgeoise, "Les jeunes Luxembourgeois enrôlés de force dans la Wehrmacht", qui détaille en profondeur les désertions.
↑Ne sont pas comptabilisés les 2 100 soldats alsaciens volontaires pour l'incorporation dans la Wehrmacht avant le service obligatoire de 1942.
↑Le service militaire obligatoire n'est mis en place que le 16 mars 1935, de ce fait les soldats de la nouvelle Wehrmacht, issue de la Reichweir, limitée à un effectif de 100 000 hommes sont donc des soldats professionnels.
↑7 divisions d'infanterie et 3 divisions de cavalerie
↑20 100 tués au combat et 400 disparus entre les mois de septembre et décembre 1939
↑62 700 tués au combat et 1 800 disparus pour les mois de janvier à décembre 1940
↑291 400 tués au combat et 27 800 disparus entre les mois de janvier et décembre 1941
↑443 300 tués au combat et 94 600 disparus entre les mois de janvier et décembre 1942
↑489 300 tués au combat et 343 000 disparus entre les mois de janvier et décembre 1943
↑518 500 tués au combat et 1 141 200 disparus entre les mois de janvier et décembre 1944
↑(en) Festa Janice, Anschluss 1938 : Austria's potential for Military Resistance, Montreal, National Library of Canada, , 112 p. (ISBN0-612-43863-5), p. 8
↑ ab et c(en) Festa Janice, Anschluss 1938 : Austria's potential for Military Resistance, Montreal, National Library of Canada, , 112 p. (ISBN0-612-43863-5), p. 38
↑ a et b(de) « Republik und Diktatur », Site officiel du Musée de la Guerre de Vienne, sur Musée de la Guerre de Vienne.
↑ a et b(it) Secondo Diego Meldi, La Républica de Salo, Santarcangelo di Romagna, Casini Editore, (ISBN978-88-6410-001-2), p. 39
Christian Ingrao, Les chasseurs noirs - La brigade Dirlewanger, Paris, Phoebe Green, , 284 p. (ISBN978-2-262-03067-4) — Étude sur la Divisions Dirlewanger.
M. Gil Martinez Edouardo, Les Forces Blindées hongroises, durant la Seconde Guerre mondiale, Heimdal Éditions — Étude des forces blindées de l'armée hongroise.
(de) Rolf H. Oberheid & Alexander Braun, Der Muckenwald - Die Turkestaner Legion, Schwabish-Hall, Auto-Edition, Collection Privé, , 180 p. — Étude et récit sur la 162 Infanterie-Division et de la 162. Infanterie-Division (Turkestanisches).
(it) Afiero Massimiliano, Indische Freiwilligen Legion der Waffen SS - La Legione SS Indiana di Subhas Chandra Bose, Voghera, MARVIA Edizioni, , 112 p. (ISBN978-8-889-08916-3) — Étude sur les volontaires Indiens du 950 Indisches-Infanterie-Regiment et la Légion Indienne SS.
Amandine Rochas, La Handschar : histoire d'une division de Waffen-SS bosniaque, Paris, L'Harmathan, , 211 p. (ISBN978-2-296-03117-3, lire en ligne) — Étude des volontaires SS musulmans bosniaques.
Guy Sajer, Le soldat oublié, Paris, Robert Lafont, , 765 p. (ISBN978-2-262-08091-4) — Biographie du soldat Guy Sajer, engagé volontaire Franco-allemand au sein de la Gross-Deutschland division.
Jean Lopez, La Wehrmacht : La fin d'un mythe, Paris, Édition Perrin, , 482 p. (ISBN978-2-262-08003-7) — Décortication des effectifs des grandes opérations militaire.
Jean Lopez et Lasha Otkhmezuri, Barbarossa - 1941. La guerre absolue, Paris, Passés composés / Humensis, , 956 p. (ISBN978-2-37933-186-2) — Étude de l'ensemble des unités allemandes de l'opération Barbarossa.
Michaël Prazan, Einsatzgruppen : Les commandos de la mort nazis, Paris, Éditions du Seuil, , 600 p. (ISBN978-2-7578-5154-8) — Étude des unités allemandes et baltes impliquées dans l'épuration ethnique de l'Est.
Pierre Giolitto, Volontaires français sous l'uniforme allemand, Paris, Éditions Perrin, , 528 p. (ISBN978-2-262-02641-7) — Étude des volontaires français SS.
Vassilii Panarin, De l’Armée Rouge à l’Armée de Vlassov, Paris, Éditions Jourdan, , 333 p. (ISBN978-2-87466-627-8) — Récit sur les prisonniers russes devenus volontaires de la R.O.A.
Derrik Mercer & Thomas André, Chronique de la Seconde Guerre Mondiale, Bassillac, Editions Chronique, , 792 p. (ISBN2-20505-325-6) — Chronique au jour le jour de tous les événements de la Seconde Guerre mondiale.
David Motadel, Les musulmans et la machine de guerre nazie, Paris, Éditions La Découverte, , 439 p. (ISBN978-2-7071-9934-8) — Étude géopolitique sur les volontaires musulmans d'Europe dans le système nazi.
(de) Ernst Ott, Jager am Feind, Allemagne, Private collection, , 411 p. — Étude et mouvement de la 97e divisions et de ses unités, ainsi que sur les volontaires belges et azéris de la division.
(de) Wilhelm Tieke, Das Finnische Freiwilligen-Batalion der Waffen-SS (III.(finn.)/Nordland), Allemagne, Munin Verlag Gmbh - Osnabruck, , 289 p. (ISBN3-921242-40-1) — Étude des volontaires finlandais de la Waffen-SS.
(en) Bryan M.Rigg, Hitler Jewish Soldiers : (La tragédie des soldats juifs d'Hitler), Kansas / Paris, University Press / Éditions de Falloy, 2002 / 2003, 364 p. (ISBN978-2-87706-469-9) — Étude des soldats de confessions juives de la Wehrmacht et Waffen SS.
(de) Ernst Schilling, Ein Beitrag zur Geschichte der 90. leichten Afrika-Division, Allemagne, Private collection, , 67 p. — Étude et récit personnel sur la 90e Division, et sur le 361e Régiment de légionnaires arabes.
(de) Georg Tessin, Verbände und Truppen der deutschen Wehrmacht und Waffen-SS im Zweiten Weltkrieg 1939-1945, vol. 1-17, Osnabrück, éditions Biblio Verlag, 1966-1980 — archives complètes de la Wehrmacht et de la Waffen-SS, liste complète de toutes les unités existantes.