Outre son chef-lieu Sidi Aïch-ville, la commune de Sidi Aïch est composée des localités suivantes[1] : Remila et Ighzer N'Chebib.
Urbanisme
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Toponymie
À l'origine cette localité était un lieu de rencontre autour du marché hebdomadaire du mercredi. Marché de fruits et légumes, de bestiaux et de différents produits artisanaux échangés entre les différentes régions limitrophes.
Avant 1870 cette localité s’appelait "Larvea", Mercredi en français.
Le nom de la localité est constitué de la base « Sidi », titre de noblesse issu de l'arabe maghrébin signifiant notamment « monsieur », « monseigneur » ou « maître », et du second composant « aïch », signifiant « de la vie ». Le nom complet de la localité signifie donc « seigneur, maître de la vie »[2].
Histoire
Un centre administratif français a été créé en 1874.
Pendant la colonisation française, la commune de Sidi Aïch dépendait à l'origine du département de Constantine. En 1957 elle a été rattachée au département de Sétif et en 1974, elle a été rattachée à la wilaya de Béjaïa.
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Administration et politique
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Économie
Le marché de Sidi Aïch a lieu tous les mercredis. Il fut classé deuxième en Algérie en 1962.
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Vie quotidienne
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Patrimoine
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↑« Décret no 84-365 du fixant la composition, la consistance et les limites territoriales des communes », Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire, no 67, , p. 1486 (lire en ligne).
↑Foudil Cheriguen, Toponymie algérienne des lieux habités (les noms composés), Alger, Épigraphe, , p. 79, 110.
Auguste Veller, Djamil Aïssani et Judith Scheele, Monographie de la commune mixte de Sidi Aïch (1888), Ibis Press, , 94 p. (ISBN9782910728458, présentation en ligne).