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Jimmy Laird, psychothérapeutecalifornien, est en proie à un deuil sévère. Il commence alors à briser les barrières éthiques en disant à ses patients ce qu'il pense complètement. Son comportement entraîne dès lors des changements massifs dans sa vie et dans la leur.
Le , la série est renouvelée pour une deuxième saison[12].
Commentaires
Il est à noter que Shrinking est la seconde série, après 1923, dans laquelle Harrison Ford figure en tant qu'acteur récurrent[13],[3].
Le titre de la série est basé sur le mot shrink qui désigne en argot américain un psy (psychiatre, psychanalyste ou psychologue[14]). Le terme shrinking signifie quant à lui un rétrécissement, une réduction ou une contraction[15].
Tournage
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Fiche technique
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Pour Fanny Lombard Allegra, du site VL-Media, « Shrinking joue sur le terrain de la dramédie avec fluidité et naturel ». Elle précise : « Le drame finit par devenir une comédie ou l'inverse, sans qu’on ait l’impression de basculer d’un genre à l’autre en une seule scène. Quand la comédie prend le pas sur le drame, la série enchaîne les situations saugrenues, les répliques subtiles et les moments divertissants. Au contraire, quand l’émotion domine, elle affleure en laissant transparaître les problèmes personnels et les sentiments de ses personnages — et notamment de ces thérapeutes qui aident leurs patients mais sont incapables de surmonter leurs propres difficultés. Outre le fait que les deux séries ont été créées par Bill Lawrence, la comparaison avec Ted Lasso se justifie surtout parce qu’on retrouve la même sensation feel good, un habile mélange entre humour léger et émotion, la même attention portée aux personnages[2]. »
La chroniqueuse émet cependant plusieurs réserves : « Il est difficile de trouver des défauts flagrants à la série ; il est tout aussi difficile de lui trouver une vraie originalité. Shrinking manque un peu d’audace : l’ironie affleure parfois mais avec timidité, le ton et la narration restent confortables voire prévisibles et il n’y a guère de surprises. Il manque cette petite touche supplémentaire susceptible de faire jaillir la petite étincelle qui porterait la série à un autre niveau. Avec ses dix épisodes de trente minutes environ, Shrinking a aussi tendance à rester superficielle, et on aurait parfois aimé qu’elle s’accorde un peu plus de temps pour explorer certaines situations[2]. »