Le , alors que le club est 12e du championnat de France, le président Thomas Savare annonce une fusion avec le club voisin du Racing 92, à partir de la saison suivante. Cette fusion est dictée par des raisons économiques[1]
Le , farouchement opposés à une fusion, les joueurs du Stade français déposent un préavis de grève illimitée indiquant que la FFR était également totalement opposée à cette fusion[2].
Le , la LNR annonce que les matchs "Castres - Stade Français et Montpellier - Racing", qui doivent avoir lieu le lendemain, sont reportés[3] aux 22 et [4].
Le , face aux réticences et à la grogne des joueurs, de la FFR et du rugby français, le projet de fusion du Stade Français et du Racing 92 est annulé[5],[1].
Le la FFR annule le report des "Castres - Stade Français et Montpellier - Racing", cette décision provoque une nouvelle polémique[6],[7].