Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Rieutort, le ruisseau de Landeyran et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Saint-Nazaire-de-Ladarez est une commune rurale qui compte 321 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 987 habitants en 1866. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Béziers.
Géographie
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En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 976 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune des Aires à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 111,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Un espace protégé est présent sur la commune :
le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[9]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[10],[11].
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Nazaire-de-Ladarez est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (67,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17 %), cultures permanentes (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Nazaire-de-Ladarez est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Landeyran et le Rieutort. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1992 et 1996[15],[13].
Saint-Nazaire-de-Ladarez est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[16].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 11,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 258 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 243 sont en aléa moyen ou fort, soit 94 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Nazaire-de-Ladarez est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[19].
Toponymie
La commune a été connue sous les variantes : in Lezateso (978), castello S. Nazarii de Lerades (1152), de S. Nazario de Leradensi (1323), rector S. Nazarii de Lezedesio (1351), San Nazari de Lezades (1363), Saint Nazaire de Lederes (1529, Saint Nazaire de Laderes (1571).
Le nom de Ladarez dérive probablement de celui d'un domaine gallo-romain ou pré-romain Lesate, peut-être le gentilice latin Lesius augmenté du suffixe prélatin -atis. L'évolution se fait 1°) par le rhotacisme -ʑ- > -r-, 2°) une métathèse -r-d- > -d-r̈, 3°) l'ouverture e > a[20]
Histoire
Préhistoire
D'après des vestiges retrouvés dans la plaine du Puech du Mont Peyroux, les premiers habitats se situaient à proximité du ruisseau du Landeyran. La grotte sépulcrale de la Grille, ainsi que les découvertes de meules à grains, pointes de flèches et grattoirs en sont la preuve. Le chemin du col des Tribes a certainement été emprunté pendant des millénaires, par des bergers et des hommes apportant du sel dans le Haut-Languedoc. Des vestiges de la Préhistoire ont été également trouvés dans le ruisseau de Souydou et au Tinel.
Antiquité
Une présence romaine est attestée au Puech de la Suque. Des fragments de poteries sigillée indiquent une présence durable, sous forme de villa rupestre. Les murs en pierres sèches à section trapézoïdale qui délimitent des parcelles paraissent avoir été construits à cette époque.
À la Lande, des sesterces frappés aux insignes des légions romaines de Nîmes ont été trouvés sur le chemin de la Mazade. Ce sont les restes d'un camp romain défendant la route Béziers-Cahors.
L'oppidum de Souydou défendait le chemin de Laurenque, qui deviendra au Moyen Âge un chemin emprunté par les pèlerins qui se rendaient à Saint-Jacques de Compostelle.
D'après les noms de lieux on devrait trouver également une présence romaine au Landeyran (tuiles romaines à la Granges de Cayrol), Pontillac et Pont Lirou.
Moyen Âge
D'après les documents existants, il semblerait que la seigneurie de Saint-Nazaire ait toujours été rattachée la châtellenie de Cessenon. Si l'on se réfère au livre de l'abbé Secondy, il convient par déduction de dire que Saint-Nazaire a appartenu
respectivement à :
1247-1265 Saint Louis donne Saint-Nazaire à Hugues d'Arcy
1365-1367 Passage sous la dépendance de Henri de Trastamarre
1370-1378 Passage sous la dépendance de Charles de Navarre
1422-1424 Passage sous la dépendance du Vicomte de Narbonne
1424-1427 Passage sous la dépendance du maréchal de Sévérac
1461-1463 Passage sous la dépendance de la reine d'Anjou
1465 Louis XI donne la seigneurie à sa cousine Gérautonne de Poitiers, femme de Pons de Guilhem, seigneur de Clermont Lodéve, lieutenant du roi en Languedoc.
1498-1499 Louis XII donne la seigneurie à Anne de Bretagne
1640-1651 La seigneurie fut vendue par Louis XIII au prince Henri II de Bourbon
1651-1666 Passage sous la dépendance de Henri Arnaud de Conti
1666-1666 Passage sous la dépendance de Louis Arnaud de Conti
1666-1683 Passage sous la dépendance de Louis-Francois de Conti
1683 Vente au comte de Provence
Raymond de Saint-Nazaire, damoiseau, figure au cartulaire de Cassenon, dans une charte de 1341. De même en 1362, Henri de Trastamarre est fait par Jean Le Bon châtelain de Saint-Nazaire, Cessenon, etc.
Époque moderne
En 1775, Saint-Nazaire a Marie-Antoinette Gabrielle de Carrion comme seigneuresse. Cette dernière qui se mariera le à Causses et Veyran avec le comte Augustin Marie Sauveur Marin De Spinola, souverain d'Arquate, possède également Murviel, Nizas, Tressan, Cazouls d'Hérault, Coujan, Veyran, Aumes, Mazens. Elle est également co-seigneur de Roquebrun, Vieussan, Montagnac et Aigues-Vives.
En 1782 elle est envoyée aux États du Languedoc par le Parlement de Toulouse. En 1789 bien qu'ayant la possibilité de se rendre aux États Généraux pour la noblesse, elle ne jugea pas utile de s'y rendre.
Devenue citoyenne Spinola, elle se retire à Paris en 1793. Elle revient à Murviel après la Terreur et meurt à Narbonne en 1798 à l'âge de 50 ans. Son mari meurt en 1816. Une de ses filles s'est mariée à monsieur de Comminges et a vendu le château de Murviel le .
Époque contemporaine
Après la Révolution, Saint-Nazaire a été rattaché au canton de Murviel. Des dissidences sont apparues peu de temps après sous l'initiative de Roquebrun, qui souhaitait sortir du canton de Cessenon et devenir chef-lieu de canton avec Vieussan, Causses et Veyran et Saint-Nazaire. Ces deux dernières communes étaient d'accord avec le projet.
Vente des biens du clergé en 1790 dont six maisons appartenant aux curés de Thézan et Saint-Nazaire. Jacques Cure, curé de la paroisse, a prêté serment et accepté la constitution civile du clergé, instituée par la loi du 12/7/1790.
Le , les citoyens sont invités à voler au secours de la patrie en danger. Ils doivent s'engager dans le bataillon de l'Hérault où à se rendre au camp de Soissons. Dans le canton de Murviel, Saint-Nazaire détient la palme des engagés avec 36 volontaires pour l'Armée du Var et 14 gardes nationaux sur un total de 700 habitants.
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1790
1792
Joseph Villebrun
1792
1794
André Lau
1794
1795
Antoine Carrière
1795
1797
Nazaire Cayrol
1797
1800
Louis Mailhac
1800
1805
Nazaire Cayrol
1805
1816
Antoine Carrière
1816
1818
Joseph Carrière
1818
1819
Joseph Bardou
1819
1830
Jean-Baptiste Jacques Guibert
1830
1832
Joseph Antoine Combal
1832
1835
Antoine Foulhié
1835
1846
Joseph Villebrun
1846
1865
Antoine Carrière
1865
1870
Auguste Lognos
1870
1871
Charles Cayrol
Président de la Commission Municipale
1871
1878
Auguste Lognos
1878
1895
Joseph Villebrun
1895
1896
Elie Gelly
1896
1900
Dieudonné Maury
1900
1912
Louis Blayac
1912
1932
Antoine Lau
1932
1944
Ernest Vidal
1944
1947
Pierre Paul Laissac
Président du Comité Local de Libération. Elu Maire le 13 Mai 1945.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2021, la commune comptait 321 habitants[Note 3], en évolution de −11,33 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 180 personnes, parmi lesquelles on compte 73,4 % d'actifs (63,6 % ayant un emploi et 9,8 % de chômeurs) et 26,6 % d'inactifs[Note 5],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 43 emplois en 2018, contre 39 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 117, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,1 %[I 11].
Sur ces 117 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 29 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 85,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,5 % les transports en commun, 3,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
17 établissements[Note 6] sont implantés à Saint-Nazaire-de-Ladarez au [I 14].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 47,1 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 17 entreprises implantées à Saint-Nazaire-de-Ladarez), contre 28 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises et commerces
Durant le XXe siècle, la principale activité du village a été la viticulture. Devant les fluctuations de ce marché et les incertitudes de cette profession, les fils et filles de viticulteurs ont préféré se retourner vers des emplois salariés. Beaucoup sont partis à travers toute la France, conservant dans le meilleur des cas la maison familiale, pour les vacances.
De la soixantaine d'exploitations existantes en 1950, il en reste moins de dix.
Les commerces de proximité ont fermé les uns à la suite des autres, concurrencés par les grandes surfaces.
La carrière de marbre qui occupait plus de 50 personnes en 1950 ne fonctionne plus.
Un petit essor semble cependant se de dessiner dans le domaine touristique. De nombreux gites, chambres d'hôtes et locations d'appartements, permettent chaque année un flux migratoire assez important, en saison notamment.
↑Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[26].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Louis Anglade et Jean-Paul Libes, « Le moulin de lau et le moulin du prieur, Saint-Nazaire-de-Ladarez (Hérault) », Les Moulins de l'Hérault, nos 26-29, , p. 53-66
Louis Anglade, « Visites des carrières de Cessenon et Saint-Nazaire-de-Ladarez, les carrières du Minervois et le travail des carrières », Cahiers d'Arts et traditions rurales, no 20, , p. 9-54
Jean Calais, « Présentation du journal de Louis Mailhac, procureur du Roy au lieu de Saint Nazaire de Ladarez (Hérault) », Cahiers d'Arts et traditions rurales, no 18, , p. 89-185
José Fornells, « La serrure de Souydou », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 31, , p. 97-102
Alain Madalle, Saint-Nazaire-de-Ladarez : des origines à 1940, Saint-Nazaire-de-Ladarez, Association Histoire et Patrimoine, , 279 p.
Michel Scanzi et Christine Nokin, « La chapelle Saint-Jean de Calem (commune de Saint-Nazaire-de-Ladarez) : sondage », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 35, , p. 17-50