Cette voie ouverte par la Ville de Paris en 1949, prend sa dénomination par un arrêté du et réaménagée en 1966 lors de la construction du boulevard Périphérique.
Sa situation exclavée, physiquement séparée du reste de Paris par le boulevard périphérique, mais administrativement détachée de Saint-Ouen, l'ont progressivement amenée à devenir un lieu de prostitution et de mécanique sauvage, et l'objet de griefs de la part de la ville de Saint-Ouen, qualifiant cette rue de laissée à l'abandon par la collectivité parisienne[1],[2].