Longtemps appelée « rue des Cordeliers », en raison de la présence du couvent qu'elle longeait, la voie est baptisée « rue Caylus » pendant la Révolution[3]
Le premier lieu consacré à l'histoire naturelle à Nantes est un cabinet particulier créé en 1799 par François-René Dubuisson, un pharmacien (le terme d'époque est « épicier-droguiste »[4]), amateur d'histoire naturelle[5], dans un cabinet de la « rue Caylus »[6]. Les collections qui y sont exposées sont rachetées par la municipalité en 1806, et installées, en 1810, dans les locaux de l'ancienne école de chirurgie de Saint-Côme, rue du Port-Communeau (au no 5 de l'actuelle rue Léon-Blum) à l'emplacement de l'actuelle école primaire Léon-Blum, puis, en 1875 dans l'actuel muséum d'histoire naturelle[6].
En 1867, le percement de la rue de Strasbourg entraîne un raccourcissement de la rue Saint-Jean, à son extrémité sud.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
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↑Catherine Olart (photogr. Laurent Allenou), Nantes secret et insolite : les trésors cachés de la cité des ducs, Paris, Les Beaux Jours/Compagnie parisienne du livre, , 176 p. (ISBN978-2-35179-040-3), p. 61.
↑Claude Kahn et Jean Landais, Nantes et les Nantais sous le Second Empire, Nantes, Ouest éditions et Université inter-âges de Nantes, , 300 p. (ISBN2-908261-92-8), p. 73.
Paul Bois (dir.) et al., Histoire de Nantes, Toulouse, Éditions Privat, coll. « Univers de la France et des pays francophones » (no 39), , 477 p. (ISBN2-7089-4717-6).