Cette rue, ouverte en 1882, reçoit par arrêté du sa dénomination actuelle.
Littérature
Dans son poème liminaire Zone, extrait du recueil Alcools, Guillaume Apollinaire décrit une rue industrielle « Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des Ternes ». Il la qualifie de moderne, arpentée par des passants exerçant les métiers nouveaux de l'époque, qui aident à contraster la ville[pas clair] . Il s'agit donc d'un lien entre l'ancien Paris et le Paris « moderne ».