Le Royal Olympic Club Flémalle ou plus communément le ROC Flémalle, anciennement OC Flémallois et ROC Flémallois, était un club de handball situé à Flémalle près de Liège en Belgique.
En , après 85 années d'existence dont 32 saisons au plus haut niveau, le ROC Flémalle fusionne avec le VOO HC Herstal pour des raisons économiques et sportives pour former le VOO HC Herstal-Flémalle ROC.
Les premiers clubs du pays voient alors le jour en Province de Liège : Devlieger crée une section dans le club de l'Union beynoise qui devient le deuxième sport du club, Demaret fonde l'Unif de Liège, le Handball Villers 59 et l'Olympic Club Flémallois en 1924[5] avec le numéro de matricule 006.
Le club évolue alors sur le terrain de football situé derrière la Maison du peuple de Flémalle où l'on trouve aujourd'hui un parking[7].
De 1957 à 1966 : Flémalle au sommet du handball belge
À la fin des années 1950, les compétitions officielles voient le jour en Belgique et l'Olympic Club Flémallois s'impose comme le meilleur club du pays grâce notamment à des joueurs comme Richard Lespagnard, Lido Agnelli, Marcel Dewar ou encore le capitaine Jean Mossoux. Le club évolue alors dans le parc communal, derrière le château de la Petite Flémal' dans la commune de Flémalle-Haute où se trouve actuellement l'école communale du Parc[7]. Le terrain se situait donc à quelques mètres de la caserne de pompiers et de nombreux joueurs tels que le capitaine l'époque, Jean Mossoux[7], furent donc pompiers et pratiquaient le handball pour garder une condition physique acceptable.
En 1961, l'OCF réalise une nouvelle fois le doublé[8],[3] mais ne participe pas à la Coupe d'Europe puisqu'elle n'eut pas lieu à cause du Championnat du monde 1961.
Lors de la saison 1961/1962, les mauves et blanc réalisent pour la troisième fois consécutive le doublé. En Coupe des clubs champions, l'OC Flémallois rencontre le futur champion d'Europe, le Frisch Auf Göppingen, et concède une lourde défaite de 34 à 7.
À l'issue de la saison 1962/1963, l'OC Flémallois remporte de nouveau le championnat[8],[3] mais pas la Coupe de Belgique[3] puisque celle-ci ne fut pas organisée, ne suscitant pas un grand intérêt au sein des clubs malgré les efforts du Journal "Les Sports", l'organisateur des trois premières éditions, pour la rendre plus attrayante[3]. En Coupe des clubs champions, Flémalle connait sa première victoire, face aux luxembourgeois du HB Dudelange, battu 17 à 11 lors du premier tour. Mais, au deuxième tour l'OC Flémallois affonte à nouveau le Frisch Auf Göppingen et subit une seconde lourde défaite de 14 à 40.
Si le club remporte de nouveau le championnat lors de cette saison 1963/1964[8],[3], il a dû dire adieu à son statut d'invincibilité[3] en championnat puisqu'après 115 matchs victorieux, l'OCF a concédé à un match nul face à l'Unif, 13 à 13[3]. Cette même saison, la Coupe d'Europe n'est pas organisée à cause du mondiale de 1964.
En 1964, le club acquiert le statut honorifique de société royale du fait de ses quarante ans d'existance et prend alors le nom de Royal Olympic Club Flémalle.
Lors de la saison 1964/1965, Flémalle est pour la huitième fois champion de Belgique[8],[3] mais lors de cette saison, l'OCF concéda à sa première défaite, face au CH Schaerbeek Brussels 12 à 9 ce qui prouva que le championnat devenait de plus en plus compétitif. Sur le plan international, nouvelle participation et nouvelle élimination prématurée en Coupe des clubs champions après une défaite face aux Suisses du Grasshopper Club Zurich, 9 à 27.
Après cet épisode plus que choquant pour le club de la banlieue liégeoise, la saison 1966/1967 s’avère des plus difficile puisqu'en plus de Lespagnard, le club a perdu le meilleur handballeur de l'année en 1960, Marcel Dewar, qui a rejoint le Progrès HC Seraing à l'intersaison. Et c'est justement Seraing qui remporte le Championnat devant le KV Sasja HC Hoboken et le ROC Flémalle, seulement troisième[8],[3].
La saison 1967-1968 est de meilleure facture puisque le club joue un match décisif face au KV Sasja HC Hoboken la dernière journée du Championnat, le vainqueur du match devenant champion[3]. Mais sur le terrain du Sasja, le ROC ne fait pas le poids devant un public d'anversois déchaînés et s'incline lourdement 20 à 7[3].
Lors de la saison suivante, le ROC Flémalle réussit à remporter pour la neuvième fois le championnat de Belgique[8],[3]. C'est également en cette année 1969 qu'a eu lieu le jubilé de Lido Agnelli. Considéré comme le gardien historique du ROC Flémalle, il a joué 500 matchs, dont 141 matchs consécutifs sans défaite, et durant ses 15 années, il a été unanimement reconnu comme le meilleur gardien en Belgique[7].
Lors des saisons suivantes, le ROC Flémalle ne brille pas à l'instar de plusieurs clubs liégeois qui ne s'adaptent pas à un handball plus moderne puisqu'il se joue de plus en plus en salle plutôt qu'en extérieur. C'est ainsi que le ROCF inaugure sa nouvelle salle en 1973, le Hall omnisports André Cools en l'honneur d'André Cools, bourgmestre de Flémalle depuis 1965 et ancien handballeur au ROC Flémalle.
Par la suite, le ROC Flémalle ne remporta plus rien lors des saisons qui suivirent et se voit même descendre dans le classement au point de se faire reléguer lors de la saison 1979-1980 en division 2[3] alors qu'à l'issue de la saison 1981/1982, le club réussit à rejoindre l'élite du handball belge[3]
Mais quand le club retrouva cette élite lors de la saison 1982/1983, le ROC doit dire adieu à une autre de ses stars, Jean Mossoux qui décéda tragiquement le à l'âge de 54 ans, lors d'une chute mortelle dans une carrière de Flémalle, alors qu'il effectuait son travail de pompier en tentant de secourir des imprudents[6] .
Perdre une autre personnalité flémalloise du jeux à sept, n'aida surement pas le ROC Flémalle qui se vit à nouveau relégué lors de la saison 1982/1983[3] mais réussit une nouvelle fois à refaire l'aller retour et resta en division 1 pendant deux saisons avant de se refaire reléguer [3].
Alors entraîné par Franco Girotto, le ROC termina troisième de la division 2 lors de la saison 1986/1987 et donc ne retrouva pas l'élite[10].
Franco partant à la rescousse du KTSV Eupen 1889, le ROC change dès lors d’entraîneur et opte pour Thierry Herbillon mais le club n'arriva toujours pas à accéder à l'élite ce qui ne fut pas le cas de Thierry Herbillon qui partit entraîner le HC Herstal, formation de division 1.
C'est alors que Jean-Luc Dessart devient entraîneur du ROC mais sous sa houlette, les mauves et blancs se retrouvèrent même à la dernière place qu'ils partageaient avec Charleroi, finalement Franco Girotto revient en tant qu’entraîneur et les résultats modifièrent très clairement au point que le club réussit à résorber son retard en remportant huit matchs, soit 16 points et ainsi accéda à des Play-offs où le ROC Flémalle remporta tous ses matchs, mis à part deux partages contre Eynatten et Montegnée, et ainsi remporta son premier titre de Champion de Belgique de division 2 avec une génération composée entre autres de Patrick Potschalkine, Wildriane ou encore Vergnagnini[10].
Les années 1990
Mais dorénavant, cette époque où le ROC Flémalle avait le statut de favori en division 2 et d'outsiders en division 1 est révolue.
Et ce fut la descente aux enfers durant les années 1990 qui fut donc la période la plus noire du matricule 006 puisqu'il se retrouva même en D1 LFH, soit la division 3.
Cependant, on peut mentionner qu'au début des années 1990, le Fémina Liège[3], soit le club de handball féminin de Flémalle est absorbé par le Royal Olympic Club Flémalle, le matricule 006.
Ainsi, le ROC Flémalle possédait dorénavant une section féminine qui évoluait en division 1 lors des saisons 1991/1992[3] et 1992/1993[3] mais fut relégué depuis jusqu'à se retrouver en D1 LFH (division 3).
2000-2009 : Retrouvailles avec la D1 et déménagement
C'est alors que le ROC fit appel au service de Thierry Herbillon, ancien joueur du club, il réussit à faire monter le ROC Flémalle en division 2 puis en division 1 en 2005 grâce à un refus de montée du HC Maasmechelen 65, le club mosan retrouva enfin l'élite du handball belge après quinze ans d’absence[3].
Lors de la saison 2005/2006, Flémalle arriva à ne pas se faire reléguer tout comme lors de la saison 2006/2007 où le club termine sixième, ne se qualifiant pas pour les Play-offs[11].
À l'issue de la saison 2007/2008, le club était à deux doigts de se qualifier pour les Play-offs mais termina septième, à deux points du HC Atomix[12] et si le Flémalle n'arriva pas à concrétiser ses objectifs, il put se consoler grâce à une qualification en finale de la Coupe de Belgique, une finale qui bien qu'elle fût en quelque sorte à domicile pour le ROC Flémalle puisqu'elle se déroulait au Country Hall Ethias Liège, ne vit pas les mosans remporter le match face au anversois du KV Sasja HC Hoboken, défait 32 à 22.
À trois point du HCA Lommel, lors de la saison 2008/2009, le ROC réédita sa place de septième, soit encore une fois aux portes des play-offs[13].
Alors qu'en mai 2009, le président du ROC, Gilbert Van Bouchaute décida avec le reste de la direction du club de fusionner avec le VOO HC Herstal[14], club situé dans la ville de Herstal, de l'autre côté de l’agglomération liégeoise, ce club évoluait alors en division 2, cette fusion eut lieu car le ROC Flémalle était confronté à de graves problèmes économiques mais avait des joueurs d'expérience pour évoluer en division 1 alors lors que le VOO HC Herstal avait l'argent et pouvait ainsi accueillir un club de division 1 dans sa ville.
Cette nouvelle arriva comme une bombe, au sein des supporteurs, des jeunes, des dames et des anciens joueurs du matricule 006 puisque le club ainsi fusionné fut renommé VOO HC Herstal-Flémalle ROC, il prit les titres du ROC Flémalle ainsi que son matricule, le 006 et évolua alors au Hall Omnisports "La Préalle" à Herstal[15], les hommes tout comme les dames mais le club du VOO HC Herstal n'ayant pas d'équipe féminine, les dames du défunt ROC Flémalle auraient dû se déplacer jusqu'à Herstal pour y évoluer mais avec des joueuses amateurs, il n'y eut pas beaucoup de personnes aux entraînement, à cause du trajet alors la section féminine fut tout simplement supprimée.
Tandis que les sections de jeunes de l'ex ROC Flémalle auraient dû continuer à évoluer au Hall omnisports André Cools et les sections de jeunes du VOO HC Herstal auraient dû faire de même mais au Hall Omnisports "La Préalle", finalement ces sections ont trouvé le même chemin que la section féminine, la direction n'ayant pas respecté ses promesses[16].
Postérité
Les conséquences de cette fusion furent le départ de nombreux jeunes et dames dans des clubs de la région, tels qu'au Jeunesse Jemeppe, au HC Renaissance Montegnée ou encore au HC Grâce-Hollogne.
Mais Flémalle, cette commune qui avait porté l'un des meilleurs clubs du pays, dans les années 1960, se retrouvait toujours sans club de handball jusqu'en 2010 où les anciens du ROC, qui avaient autrefois portés haut les couleurs du club, décidèrent de ramener le handball à Flémalle[15].
Ainsi, Franco Girotto crée le Handball Club Flémalle, soit le matricule 599 avec pour but de recréer dans l'identité et sur les cendres, l'ancien ROC Flémalle[15] .
Le club fut rebaptisé en 2012, ROC Flémalle mais sous certaines conditions imposées par la LFH, l'une étant que le R dans l'acronyme ROC ne signifia pas Royal car en Belgique, il faut attendre 50 ans pour que le club soit dénommé Royal la deuxième étant que le nom fait trop référence au VOO HC Herstal-Flémalle ROC (soit le matricule 006), ainsi le club doit afficher son numéro de matricule dans son nouveau nom, le club est alors nommé Racing Olympic Club Flémalle Matricule 599 ou ROC Flémalle Mat.599.
Mais, le HC Grâce-Hollogne, le matricule 585 ne disparut pas puisque la direction du club décida de vendre son matricule au HC Trooz, le matricule 603, fondé en 2012.
La nouvelle direction du matricule 585, décida de rester à Trooz mais aussi à Herstal où comme à Flémalle trois ans plus tôt, le passage du matricule 006 a laissé un très grand vide, c'est pour cela que le club se nomma HC Herstal/Trooz et peut compter sur d'anciennes gloires telles que l'ancien joueur du ROC, Jean-Marc Casini.
Les dames
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Le handball féminin était déjà présent dans les années 1950[17] à Flémalle mais la première équipe féminine jouant dans une compétition officielle apparut en 1980, les dames jouant à Flémalle décidèrent de fonder leur première équipe, le ROC Flémalle, soit la même nom que l'équipe masculine mise à part que le "R" de ROC est Racing et non pas Royal car le club féminin à moins de 50 ans.
En division 1, Flémalle est considéré comme étant un outsider et se fait plusieurs fois reléguer en division 2, en 1981, en 1984 et en 1990, le club se renomma Fémina Liège puis en 1991, le club décida de disparaître pour se faire absorber par le Royal Olympic Club Flémalle et devenir la section féminine du prestigieux matricule 006.
Historique
1924:
Fondation de l'Olympic Club Flémallois par Joseph Demaret, le club obtient alors le matricule 006.
Après 137 matchs sans défaites, l'OCF concède à une défaite face au CH Schaerbeek Brussels, 12 à 9.
Le club acquiert le statut honorifique de Royal et passe de Olympic Club Flémallois (OC Flémallois) pour devenir le Royal Olympic Club Flémallois (ROC Flémalle).
Le club a disputé un total de douze matchs en Coupe des clubs champions pour un bilan d'une victoire, deux matchs nuls et neuf défaites (score du club en gras) :
1958/1959 : Paul Roekaerts, Willy Maréchal, Richard Lespagnard, André Elias, Lido Agnelli, Maurice Verstraelen, Guy Goffin, Julien Polesel, Jean Mossoux, Marcel Dewar.
1959/1960 : Guy Goffin, Jean Delchambre, Richard Lespagnard, Willy Maréchal, André Elias, Jobé, Maurice Verstraelen, Lido Agnelli, Jean Mossoux, Marcel Dewar.
1960/1961 : Jean Deschryver, Jean Mossoux, Pierre Duchesne, Louis Daems, Marcel Dewar, Richard Lespagnard, André Elias, Guy Goffin, Roland Pucci, Lido Agnelli, Maurice Verstraelen.
1961/1962 : Lido Agnelli, Jean Mossoux, Willy Maréchal, Guy Goffin, Marcel Dewar, Marcel Agnarelli, Roland Pucci, Guy Goffin, Richard Lespagnard, Robert Jobé, Luis Daems.
1962/1963 : Marcel Agnarelli? Willy Marechal, Roland Pucci, Jean Mossoux, Marcel Dewar, Richard Lespagnard, Lido Agnelli, Louis Daems.
1963/1964 : Marcel Agnarelli, Willy Marechal, Roland Pucci, Jean Mossoux, Marcel Dewar, Victorio Dececco, Jean-Claude Hornay, Richard Lespagnard, Lido Agnelli, Louis Daems.
1964/1965 : Willy Maréchal, Richard Lespagnard, Jean Mossoux, Louis Daems, Roland Pucci, Jean-Claude Hornay, Victorio De Cecco, Marcel Dewar, Lido Agnelli, Marcel Agnarelli.
1965/1966 : Roland Pucci, Jean-Claude Kulzer, Victorio Dececco, Jean Mossoux, Jean-Claude Hornay, Richard Lespagnard, Willy Marechal, Lido Agnelli, André Hinnesdaels, Marcel Dewar, Angelo Bettoli.
1966/1967 : Richard Lespagnard, M. Hadzimiratovich, Willy Schreurs, Willy Marechal, Lido Agnelli, Marcel Dewar, Jean-Claude Hornay, Roland Pucci, Franco Girotto, Jean-Claude Kulzer, Angelo Bettoli.
1966/1967 : Jean Mossoux, Franco Girotto, Bertino Dececco, Jean Tilman, Roland Pucci, André Maes, Victorio Dececco, Aroldo Vandelli, M Hadzimiratovich, Michel Thise, Marcel Agnarelli, Lido Agnelli, Jean-Claude Kulzer et Sesto Vandelli, Angelo Bettoli.
1967/1968 : Jean Mossoux, Franco Girotto, Bertino Dececco, Jean Tilman, Roland Pucci, André Maes, Victorio Dececco, Aroldo Vandelli, M Hadzimiratovich, Michel Thise, Marcel Agnarelli, Lido Agnelli, Jean-Claude Kulzer, Angelo Bettoli et Sesto Vandelli.
1968/1969 : Sesto Vandelli et Victorio De Cecco.
1969/1970 : Franco Girotto, Jean Tilman, André Bruyers, René Coletti, Sesto Vandelli, Charlie Mostar, Louis Hulin, André Maes, Lido Agnelli, stéphan, Bertino Dececco, Angelo Bettoli et Victorio Dececco.
1970/1971 : Jean Mossoux, Victorio Dececco, Charles Mostaer, André Maes, Bertino Dececco, Jean Tilman, André Bruyers, Sesto Vandelli, Franco Girotto, Michel Thys, Roland Pucci, Jean-Claude Kulzer , Angelo Bettoli et Lido Agnelli.
1972/1973 : Bertino De Cecco, Sesto Vandelli, Jacky De Geyter, Jean Tilman, André De Geyter, Victorio De Cecco, Bernard Deruisseaux, Mario De Cecco, Michel Thise, Franco Girotto et Jean Mossoux, Angelo Bettoli.
1973/1974 Guy Goffin, Robert Jassogne, André Bruyers, Roland Pucci, Serge Renard, Arnoldo Vandelli, Michel Deruisseaux, Michel Piron, Roger Dauchot, Camille Hary, Angelo Bettoli et Daniel François.
1974/1975 : Jean Mossoux, Bertino De Cecco, Alain Sohet, Jean Tilman, Jacky De Geyter, Victorio De Cecco, André De Geyter, Franco Girotto, Sesto Vandelli, Michel Thise, Mario De Cecco, Angelo Bettoli et Bernard Deruisseaux.
1975/1976 : Franco Girotto, Sesto Vandelli, Jacky De Geyter, Jean Tilman, Racan Zeljko, Victorio Dececco, Bernard Deruisseaux, Mario Dececco, Michel Thys, Jean Mossoux, Angelo Bettoli et Alain Sohet.
1976/1977 : Jean-pol Thiryon...
1977/1978 : Adrien Filippetto, Marc Wildrianne, Jean Mossoux, Victorio Dececco, Alain Pierre, Angelo Bettoli, Jules Magain et Bertino Dececco.
1978/1979 : Roland Pucci, Francis Gysens, Marco Depouhon, André Gérard, Denis Michel, Robert Tillière, Patrick Giltay, Guy Geysenbergh, Pascal Thiry, Louis Hulin, Dominique Blockxs, Fabian Pirlet, Daniel Pirotte et Walthère Gysens.
1979/1980 : Eddy Soltani, Victorio Dececco, Girotto Franco, Sesto Vandelli, Alain Sohet, Marc Depouhon, Jean Tilman, Gilbert Vanbouchaute, Jules Magain, Eric Dessart et Alain Pierre.
1981/1982 : Roland Pucci, Serge Ledur, Guy Goffin, Robert Tillière, Philippe Pirlet, Willy Schreurs, Daniel François, Aroldo Vandelli et Bertino Dececco.
1983/1984 : Jean Mossoux, Richard Hernandez, Dominique Perrin, José Perez, Roger Agnarelli, Jean-Marie Massin, Alain Sohet, Robert Brasseur, Eric Van Antwerpen, Philippe Perrin, Jean Perrin et Fabien Pirlet.
1984/1985 : Sesto Vandelli, Oriano Vergnanini, Jean-Marie Riga, Francis Gysens, Alain Germis, Gilbert Vanbouchaute, Luigi Gentille, Nicolas Kolbassin, Dominique Polomé, Eric Dessart, Jules Magain, Girotto Franco et Eric Monjoie.
1986/1987 : Laurent Massillon, jim lukianoff, Dominique Polomé, Michel Detré, Hervé Dehar, Manuel Dony, Alain Pierre, Pierre Haegelsteens et Thierry Herbillon.???
Maillot
Les couleurs du ROC Flémalle sont le mauve et le blanc en raison que le club évolue à Flémalle-Haute.
Parmi les clubs liégeois en élite, Seraing était le plus proche de Flémalle et c'est cette très proche géolocalisation qui est la principale raison de cette rivalité qualifiée dès lors de derby, car malgré la proximité des clubs, ceux-ci doivent essayer de garder supporteurs et joueurs.
Lors du début des années 1960, Flémalle est au-dessus de Seraing remportant tous ses matchs et huit titres d'affilée et trois coupes mais le championnat devient au milieu des années 1960 plus compétitif si bien que le PHC Seraing en profite et devient même champion de Belgique en 1967.
Mais le ROC revient en force remportant trois autres titres nationaux en 1969, 1970 et 1976.
Quant à Seraing, il remporta un nouveau sacre de champion en 1977 ainsi que deux Coupe en 1975 et 1976.
Par la suite les deux clubs se font tous deux relégués en division 2 dans les années 1980 où le PHC Seraing fusionnera avec la Renaissance Montegnée pour remonter en division 1, ce qu'il réussit pendant deux saisons sous le nom de Renaissance Progrès Seraing Montegnée ou RPSM mais la descente sera fatale au club qui se renomma par la suite seulement Renaissance Montegnée.
Ce fut le gros derby de ROC jusqu'à sa disparition en 2009.
Union beynoise
L'Union beynoise (matricule 3) fut une rivalité particulière car les deux clubs sont considérés comme les plus vieux de Belgique, avec le KTSV Eupen 1889 (matricule 5)
Infrastructures
Terrain de football: Entre 1924 et 1958, le club jouait au handball à onze, un sport qui était pratiqué sur le terrain de football, situé derrière la maison du peuple de Flémalle, aujourd'hui le terrain n'existe plus, il fut remplacé par un parking.
Terrain du parc communal: Entre 1958 et 1973, le club jouait sur le terrain du parc communal, un terrain en béton où les handballeurs jouait au handball à sept.
Salle André Cools: Entre 1973 et 2009, la Salle André Cools fut le repère du ROC Flémalle, une salle qui possède une capacité de 500 places.
Galerie photo
Notes et références
↑Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.