Après son retour en Suisse en 1990, il devient manager sportif et conseiller pour différentes organisations sportives[1]. Il est considéré par la radioalémaniqueSRF comme un « profond connaisseur de la FIFA », y ayant travaillé par le passé, mais faisant partie en 2019 d'un des critiques durs envers l'institution de football[2], en l'accusant d'être la mère du népotisme (« Die FIFA ist quasi die Mutter der Vetternwirtschaft »)[3],[4].
Premier des viennent-ensuite de sa liste électorale, il remplace le Jasmin Hutter à la suite de son retrait du Conseil national, et ce pour cause de grossesse[5]. Après ses réélections en 2011 et en 2015, il devient une des seules figures de l'UDC st-galloise connues au niveau national, avec Toni Brunner, alors président de l'UDC suisse[5].
Après sa réélection en 2019, il est le préféré de son parti, l'UDC, pour prendre la présidence du Conseil national, mais il annonce en ne pas vouloir briguer le poste[8].
↑ a et b(de + de-CH) Michael Genova et Regula Weik, « St.Galler SVP-Ständeratskandidat Roland Rino Büchel: «Jeder will Pestalozzi spielen» », St.Galler Tagblatt, (lire en ligne)
↑(de) « Nationalrats-Präsidium: Büchel verzichtet », Die Ostschweiz, (lire en ligne)