(à partir de l'embouchure) chenal de la Ferme, cours d'eau André-Roy, Rivière Nicolet Sud-Ouest, cours d'eau Roland-Pinard; ruisseaux: Maurice-Vincent, Houle, du Onzième, Martin, rivière des Rosiers, ruisseau Gosselin, ruisseau Noir, cours d'eau Nolin, ruisseau Morin, ruisseau Turgeon, décharge du lac à la Truite.
· Rive droite
(à partir de l'embouchure) Bellerose, Yves-Proulx, de la Concession du Petit-Saint-Esprit, Siméon-Provencher, Horion, J.-B.-Provencher, Maurice-Turmel, Alfred-Lemire, Grondin-Comeau, Douglas, Camirand, Lepitre, Saint-Onge, Dubuc, Rivière Bulstrode, ruisseaux: l'Abbé, Faucher, Taillon, rivière Gosselin; ruisseaux: Roux, des Roux, rivière Brooks, rivière Dumont, cours d'eau Lafontaine, cours d'eau Hamel; ruisseau des Aulnes, ruisseau de la Fromagerie, ruisseau Moras, ruisseau Girard, rivière des Vases, ruisseau Couture, ruisseau de l'Aunière.
La rivière fut initialement baptisée rivière Du Pont par Samuel de Champlain en 1609 pour honoré son ami François Gravé, sieur du Pont[4]. Elle a aussi porté le nom de rivière du Gast, en l'honneur de Pierre Dugua de Mons (général de la Nouvelle-France) et rivière Monet, en l'honneur de Pierre Monet, sieur de Moras[4]. Quant à son nom actuel, elle le doit à l'explorateur Jean Nicolet[4]. Elles porta aussi le nom des premiers seigneurs de Nicolet, soit Laubia et Cressé[4]. Les Abénaquis la nomme Pithiganitekw, ce qui signifie « rivière de l'entrée », au fait qu'elle se jette près de l'émissaire du lac Saint-Pierre[4].
Le bassin était habité par 96 665 habitants en 2003[7]. Le territoire est compris dans 37 municipalités. Les principales villes du bassin sont Victoriaville (39 799 habitants), Nicolet (7 963 habitants) et Val-des-Sources (6 627 habitants)[7].
Écologie
Environ 43 % du territoire du bassin versant est recouvert de forêt[8]. Celle-ci est composée de 65 % de forêt de feuillus, 27 % de forêt mixte et de 8 % de forêt de conifères[8]. 45,4 % du territoire est dominé par l'agriculture.
En 1875, la rivière Nicolet était reconnue comme l'un des cours d'eau les plus notés pour le saumon[11], où il pesait en moyenne de 18 à 24 livres. Sa présence historique pourrait inspirer des actions similaires à certains projet européens de restauration (exemple : Projet Meuse Saumon 2000).
Qualité d'eau
La partie aval de la rivière présente une eau de qualité douteuse[10].
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↑Claude Bellavance, Yvan Rousseau et Jean Roy, Histoire du Centre-du-Québec, Les Presses de l'Université Laval (coll. «Les régions du Québec»), , p. 1023 p.
Carline Ghazal, Sonia Dumoulin et Marie-Christine Lussier, Portrait de l'environnement du bassin versant de la rivière Nicolet, Corporation de gestion des rivières des Bois-Francs, , 173 p. (ISBN978-2-9809436-0-7, lire en ligne)