À Paris elle intègre l'atelier de Lucien Simon, son professeur à l'école de Beaux-Arts[3]. Elle peint, parfois à la gouache, des figures, des paysages et des décorations murales[2]. Elle s'inspire des fauves[4].
Elle devient professeure de dessin dans les écoles parisiennes, travail qu'elle quitte après 18 ans pour devenir inspectrice de l'enseignement du dessin[3].
Elle expose dans plusieurs salons de Paris et ailleurs, comme celui de la Société des Beaux-Arts de la France d'Outre-Mer, et elle est récompensée à plusieurs reprises : elle reçoit quatre prix de l'Institut et deux prix de la Fondation Taylor[3]. En outre, elle reçoit souvent des commandes de la part de l'État ou de la Ville de Paris[3].
Elle peint soit dans son atelier parisien soit dans son atelier des Trois Cyprés, dans sa ville natale[4].
Lynne Thornton, Les africanistes, peintres voyageurs : 1860-1960, vol. 9, Courbevoie, Acr Edition, coll. « Les orientalistes », , 336 p. (ISBN2-86770-045-0, lire en ligne), p. 315.
Rénée Bernard, Randonnée à travers l'Afrique en 1947, Paris, 1988.
François Roussier, Musée Mainssieux, Femmes peintres en Dauphiné : XIXe et XXe siècles (catalogue de l'exposition du 14 juin au 31 octobre 2003), Voiron, Musée Mainssieux, , 134 p. (OCLC197808251).