Instituteur, il devient conseiller d'arrondissement en 1924, puis conseiller général d’Angoulême en 1928. La même année, il est élu député, poste qu'il conserve jusqu'à son élection au Sénat en 1938. Le , il vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. À la Libération, il abandonne la politique nationale et se consacre à sa mairie de Montignac.