Pendant le Front populaire, de au début de 1937, il est chef de cabinet adjoint du jeune ministre de l’Éducation nationale et des Beaux-arts, Jean Zay, aux côtés de Marcel Abraham et de Lucien Coudor, Pierre Boivin et René Paty[2].
Il est professeur invité titulaire de la Melodia E. Jones Chair de l'université de Buffalo en 1938-1939 et en 1949-1950. Il est président d'honneur de la Société française d’études victoriennes et édouardiennes et de la Société conradienne française.
Lorsque les événements de Mai 68 débutent, il est aussi assesseur du doyen de la faculté des lettres de Paris[3], Marcel Durry ; au cœur de ces événements, début juin, il est élu doyen de cette faculté par deux assemblées différentes, une ne réunissant que les professeurs et une autre mélangeant professeurs et maîtres de conférences.
Il reste à cette fonction de doyen jusqu'à l'éclatement de la faculté en 1971 et devient alors président de l'université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, poste qu'il occupera jusqu'à sa retraite en 1975.
Après celle-ci, il se consacre à plein temps à ses activités de conférencier pour l'Alliance française, dont il a été vice-président aux côtés de Marc Blancpain, ainsi qu'à de nombreuses traductions littéraires.
Il épouse, le , Anne-Marie Luc, femme de lettres, de son nom de plume Anne-Marie Soulac, union dont sont nés deux enfants, Marie-Laure Las Vergnas, ingénieur des Mines, et l'astrophysicien et vulgarisateur Olivier Las Vergnas.