Rémy Dumoncel entre dans la résistance dans le réseau Vélite-Thermopyles. Par son action, il aide notamment des écrivains juifs en organisant leur fuite vers le Sud de la France[1].
Il est arrêté par la Gestapo le et déporté au camp de Neuengamme par le convoi parti de Compiègne le 4 juin 1944 (convoi I.223)[2].
À sa mémoire, le conseil municipal d'Avon décide en 1945 de donner son nom à une des rues de la ville. Également, un service religieux est célébré le de la même année à 10 h 30, en l'église Saint-Pierre d'Avon, en présence d'une grande affluence dont Georges Lucquin (maire d'Avon), la municipalité ainsi que des délégations de la Résistance d'Avon et Fontainebleau (dans les premiers rangs du transept)[4].
Famille
Ses deux filles, Christiane et Nicole, épousèrent les frères Denys (1914 / 1997) et Pierre-Charles Slove (1917 / 2013), elles furent les tantes de Cyril de La Patellière.[réf. nécessaire]
↑« Autour de Fontainebleau - Avon - À la mémoire de M. Dumoncel, ancien maire mort en captivité », L'Avenir de Seine-et-Marne, no 18, , p. 2/2 (lire en ligne, consulté le )
↑Ordre de la Libération - base des médaillés de la Résistance française, « Fiche Rémy Dumoncel » (consulté le )