Acteur d'influence auprès des actionnaires[1], son activité tend vers les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG)[2]. Elle publie régulièrement des informations chiffrées sur les enjeux de gouvernance, notamment la rémunération des dirigeants d'entreprise[3]. Le banquier et haut fonctionnaire Alain Demarolle préside actuellement la société[4].
Prises de position
Contre les conditions financières de la fusion Alcatel-Lucent de 2006, contre l'approbation des conditions d'indemnisation des dirigeants et critique historique de la gouvernance d'Alcatel depuis 1996.
Contre les conditions des opérations de suppression des auto-contrôles du groupe Wendel en 1998 (Sofiservice) et en 2007 (Solfur).
Critique active des déséquilibres du système financier, en particulier du monopole incontrôlé de banque universelle : critique en 2007 de la gouvernance de la Société Générale, du Crédit Agricole et de Natixis.
Pour le plafonnement des émoluments des grands patrons à 240 fois le montant du SMIC (en 2006, ils sont de 300 fois le SMIC en moyenne)[6].
Contre le salaire de Carlos Ghosn en juin 2017[7].
Depuis 2020, contre les rémunérations des sociétés françaises si elles ne comportent pas de critères extra-financiers[8].
Pour l'augmentation de capital d'Unibail-Rodamco-Westfield de 3,5 milliards d'euros en [9].
↑« "Il fait péter les compteurs, mais il y a des limites" : le salaire du Carlos Ghosn au menu de l'assemblée générale des actionnaires de Renault », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le )
↑« L’inclusion de l’ESG dans les rémunérations mérite de vrais objectifs », Agefi, (lire en ligne, consulté le )
↑« Nos consignes de vote pour l'assemblée générale d'Unibail-Rodamco-Westfield », LesEchos, (lire en ligne, consulté le )