La vieille-ville de Pointe-à-Pitre voit la présence de prostituées issues de République Dominicaine en activité quand la nuit tombe[1],[2], et des maisons abandonnées font office de lupanars, faute d'autres lieux disponibles[3]. La zone de Grand-Baie est aussi connue comme un lieu de prostitution[4], et de nombreuses prostituées travaillent à Saint-François[4].
Des prostituées dominicaines travaillent aussi dans certains bars de la ville du Gosier[5]. En , un réseau de prostitution dominicain a été démantelé, et 16 personnes ont été arrêtées[6].
Le Centre Associatif de Santé et d’Accompagnement sur les risques sexuels (CASA), qui apporte soutien et information aux travailleuses du sexe, plus particulièrement dans le domaine de la santé, a appelé à une décriminalisation du travail du sexe et à l'ouverture de lieux dédiés pour exercer la profession[4].
Les prostituées sont appelées localement "pangnols" le diminutif "d'espagnol" en raison du faite que la plupart des prostituées sont souvent d'origine Hispanique [4].