Chez cette espèce de prêles, les tiges sont toutes susceptibles de porter un épi reproducteur.
Les tiges sont très rugueuses et comportent de dix à trente fines côtes longitudinales[1]. La section transversale d'une tige montre une grande lacune centrale.
Les gaines dentées situées au niveau des nœuds de la tige correspondent aux feuilles. Elles sont sombres, comme chez la plupart des autres prêles, mais cette couleur sombre se répand très souvent en dessous des dents, sur la gaine elle-même et elle est plus nettement noire. De plus, ces gaines semblent plus étroitement appliquées contre la tige.
Les tiges ne portent pas de verticilles de rameaux.
L'épi terminal, qui porte les sporangiophores (structure portant les sporanges), est court.
Cette plante est aussi vendue sous le nom d'Equisetum Japonica ou japonicum pour des raisons de marketing comme plante d'ornement de bassin.
Photos
Notes et références
↑R. Auger, J. Laporte-Cru, Flore du domaine atlantique du Sud-ouest de la France et des régions des plaines, Bordeaux, CNDP, , 516 p. (ISBN2-86617-225-6), p. 42