Portel-des-Corbières est une commune rurale qui compte 1 288 habitants en 2022, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne. Ses habitants sont appelés les Portelais ou Portelaises.
La commune est desservie par les lignes 10 et 17 des Autobus de Narbonne et par la ligne 8 du réseau liO.
Le village.
La Berre borde le village.
Le pont sur la Berre.
Notre Dame des Oubiels.
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographiqueRhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par la Berre, le ruisseau de Pech Agut, le ruisseau de Combe Longue, le ruisseau de Fontanilles, le ruisseau de Genentière, le ruisseau de la Vidale, le ruisseau de la Vidale, le ruisseau de Taura, le ruisseau du Fenouil, le ruisseau du Ginestas et le ruisseau du Viala, qui constituent un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Berre, d'une longueur totale de 52,7 km, prend sa source dans la commune de Quintillan et s'écoule d'ouest en est. Elle traverse la commune et se jette dans le golfe du Lion à Port-la-Nouvelle, après avoir traversé 10 communes[5].
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 610 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 2,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 15,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 660,0 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Statistiques 1991-2020 et records PORTEL-DES-CORBIERES (11) - alt : 29m, lat : 43°02'27"N, lon : 2°56'36"E Records établis sur la période du 01-01-1971 au 31-12-2003
La commune fait partie du parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, créé en 2003 et d'une superficie de 68 350 ha, qui s'étend sur 21 communes du département[13]. Composé de la majeure partie des milieux lagunaires du littoral audois et de ses massifs environnants, ce territoire représente en France l’un des rares et derniers grands sites naturels préservés, de cette ampleur et de cette diversité en bordure de Méditerranée (Golfe du Lion)[14].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directiveshabitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « Corbières orientales »[16], d'une superficie de 25 371 ha, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[18] :
le « cours amont de la rivière de la Berre » (188 ha), couvrant 8 communes du département[19] ;
le « cours aval de la rivière de la Berre » (109 ha), couvrant 3 communes du département[20] ;
le « massif de Fontfroide méridional » (1 679 ha), couvrant 4 communes du département[21] ;
le « plateau oriental de Villesèque-des-Corbières » (3 272 ha), couvrant 4 communes du département[22] ;
les « Corbières centrales » (68 810 ha), couvrant 56 communes dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales[23] ;
les « Corbières orientales » (30 263 ha), couvrant 19 communes dont 12 dans l'Aude et 7 dans les Pyrénées-Orientales[24] ;
le « massif de Fontfroide » (7 712 ha), couvrant 10 communes du département[25];
le « massif de Fontfroide septentrional » (2 581 ha), couvrant 5 communes du département[26].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Portel-des-Corbières.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Portel-des-Corbières est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[27].
Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (57,7 %), cultures permanentes (36,6 %), forêts (3,1 %), zones urbanisées (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Glandes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1992, 1994, 1996, 1999, 2003, 2005, 2009 et 2014[33],[31].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Portel-des-Corbières.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 77,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 639 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 637 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 3].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].
Toponymie
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Histoire
Un train des tramways de L'Aude.
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En 737, la bataille de la Berre, victoire des Francs face aux Omeyyades, se déroule à proximité.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2022, la commune comptait 1 288 habitants[Note 5], en évolution de −4,1 % par rapport à 2016 (Aude : +2,65 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 866 personnes, parmi lesquelles on compte 70,6 % d'actifs (58,7 % ayant un emploi et 12 % de chômeurs) et 29,4 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Narbonne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 7]. Elle compte 240 emplois en 2018, contre 347 en 2013 et 337 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 508, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,1 %[I 8].
Sur ces 508 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 155 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 87,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 4,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
91 établissements[Note 8] sont implantés à Portel-des-Corbières au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 11].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
91
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
11
12,1 %
(8,8 %)
Construction
17
18,7 %
(14 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
26
28,6 %
(32,3 %)
Information et communication
2
2,2 %
(1,6 %)
Activités financières et d'assurance
3
3,3 %
(2,7 %)
Activités immobilières
2
2,2 %
(5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
8
8,8 %
(13,3 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
14
15,4 %
(13,2 %)
Autres activités de services
8
8,8 %
(8,8 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (26 sur les 91 entreprises implantées à Portel-des-Corbières), contre 32,3 % au niveau départemental[I 12].
Entreprises
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[40] :
Ag-Tp 11, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (748 k€)
SARL Garcia Et Fils, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (229 k€)
La commune est dans la « Région viticole » de l'Aude, une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département[41], également dénommée localement « Corbeilles Minervois et Carcasses-Limouxin »[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 6].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 122 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 88 en 2000 puis à 60 en 2010[43] et enfin à 52 en 2020[Carte 7], soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[44],[Carte 8]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 112 ha en 1988 à 668 ha en 2020[Carte 9]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 13 ha[43].
Culture locale et patrimoine
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Portel-des-Corbières
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Portel-des-Corbières.
Terra Vinea vous permet de plonger 80 mètres sous terre et de découvrir tous les secrets du vin.
Le château de Lastours.
Personnalités liées à la commune
Marie-Priscille de Catellan née le à Narbonne, seigneuresse de Portel. La littérature l'attira dans la région toulousaine. Entre 1712 et 1715, les Jeux Floraux l'ont couronnée quatre fois et, récompense suprême, elle obtint, en 1717, l'amarante d'or, symbole de persévérance et d'immortalité et fut nommée, chose unique dans cet aréopage d'hommes, académicienne. C'est ainsi que trois siècles avant Marguerite Yourcenar, Portel offrait à la France sa première académicienne. Elle mourut à Lamasquère le . Elle repose au cœur de l'église de Lamasquère. Sa tombe a été inscrite au patrimoine des monuments historiques le , ainsi qu'une cloche datant de 1588.
Il fait ses études au lycée Arago de Perpignan dans le but de devenir ingénieur aux ponts et chaussées. Ayant réussi, il obtient en 1862 la direction du chantier de la ligne de chemin de fer allant de Perpignan à Port-Vendres. La livrant avec retard, il estime avoir failli à sa mission et démissionne. En , il part pour Suez et devient chef de section sur la construction du canal. Il se crée ainsi un grand réseau de connaissances qui lui serviront toute sa vie durant. En 1871, il devient responsable de l'organisation du chemin de fer en Galice, puis en 1875, il part au Portugal en tant que représentant de la société Financière de Paris. Il entreprend alors de grands chantiers dans ce pays à construire, en particulier la ligne de chemin de fer de la Beira Alta, qui traverse le Portugal d'est en ouest (Figueira da Foz à Vilar Formoso), mais aussi de nombreuses autres réalisations parmi lesquelles des ponts et des tunnels utilisant des techniques novatrices pour l'époque. Ayant des attaches particulières avec le Portugal, il acheta un vignoble de 500 hectares et produisit un vin d'apéritif, qui existe toujours de nos jours (fait en partie par les caves Byrrh, à Thuir). Enrichi, il revient en Catalogne Nord et, en 1885, rachète les anciens bâtiments appartenant aux hospices situés à proximité de la cathédrale de Perpignan. Après les avoir démoli, il en construit de nouveaux, plus modernes. C'est que de nos jours, on appelle encore "La Cité Bartissol" (rue Bartissol, évidemment). Dans l'ancienne église Saint-Jean-le-Vieux (du XIIe siècle), il construit une centrale électrique, la première de Perpignan, et devient ainsi le seul fournisseur d'électricité de la ville. Il s'intéresse ensuite à la destruction des remparts de Perpignan, qu'il obtient en 1904 lors de leur déclassement officiel et après le vote du conseil municipal. Edmond Bartissol sera curieusement élu maire de Fleury-Mérogis en 1899, grâce à ses nombreuses connaissances nationales (députés entre autres), mais reste dans l'histoire une figure emblématique catalane ayant beaucoup fait pour le renouveau urbain de Perpignan.
Ludovic Gardais sportif champion de France de karaté combat a séjourné dans sa jeunesse à Portel ses grands-parents paternels vivaient à Portel (dans la rue Principale).
Héraldique
Son blasonnement est : De sinople, à une fasce fuselée d'or et de sinople.
Voir aussi
Bibliographie
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↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )